La spécialiste préfère donc transformer la question d'Antoine en : "Où a-t-on le plus de bactéries dans le corps ?" La réponse est bien évidemment sans appel : "C'est dans l'intestin, c'est dans tout ce qu'on appelle le tractus gastro-intestinal.
Nous hébergeons des microorganismes au niveau de la peau (microbiote cutané), dans la bouche (microbiote bucco-dentaire), dans les organes génitaux (microbiote vaginal) et dans l'intestin (microbiote intestinal). Nous concevons aisément d'avoir des bactéries dans des zones de contact avec l'extérieur (peau, bouche).
Saviez-vous que votre nombril est la partie la plus sale du corps ? A cause de sa difficulté d'accès, il reste sale même après la douche, rappelle le site Reader's digest. A moins d'y mettre les doigts pour le nettoyer avec de l'eau chaude et du savon, évitez de toucher à votre nombril.
C'est le nez ! Il vous démange ? Gardez vos doigts éloignés de ce véritable nid à bactérie ! La peau qui recouvre l'intérieur du nez est extrêmement mince et en cas d'écorchure accidentelle à l'intérieur du nez, une infection peut se propager très vite et vous risquez de tomber malade.
D'après les données qu'il cite, les femmes auraient les mains et les bureaux plus propres, mais laisseraient des toilettes plus sales que les hommes. Pas moins de 93% des femmes se lavent les mains en sortant des toilettes publiques, contre 77% des hommes, explique-t-il.
Une étude publiée le mois dernier vient cependant réévaluer ce rapport à environ 1:1, en estimant le nombre de bactéries du corps humain à 3,8.1013, et le nombre de cellules humaines à 3,0.1013 (valeurs pour un homme de 70 kg et de 170 cm).
La plus grosse est l'ovule dont le diamètre est de l'ordre de 100 micromètres. Et les cellules les plus longues sont les neurones, dont certains peuvent mesurer plus d'un mètre.
Pour savoir si une maladie est due à un virus ou une bactérie, il est possible d'utiliser un test de diagnostic rapide (TDR), par exemple dans l'angine à streptoque Beta hemolytique du groupe B (Figure 1) 3. Il existe de nombreux antibiotiques différents, qui ont chacun un mécanisme d'action spécifique.
Le vagin possède en outre une capacité autonettoyante. «Des glandes au niveau du col de l'utérus sécrètent du mucus. Cela va faire comme un tapis roulant qui élimine les débris», décrit le Dr Bohbot. Si une infection se déclenche, il est important de rééquilibrer la flore.
Pour le simple confort physiologique, l'eau tiède est idéale. Mais si vous désirez resserrer votre orifice intime, une bonne douche à l'eau froide peut être très efficace. Alors que si vous cherchez plutôt à vous détendre et vous ouvrir, l'eau chaude est la plus recommandée.
S'essuyer de l'avant vers l'arrière
Si aucune limitation physique ne vous empêche de vous essuyer de l'avant vers l'arrière, cette méthode est généralement considérée comme la plus sûre, parce que vous éloignez les matières fécales des parties les plus vulnérables de votre corps, ce qui réduit le risque d'infection.
L'éponge de la cuisine
C'est sans aucun doute l'objet le plus sale de notre cuisine ! Selon une étude menée par des microbiologistes allemands et publiée dans la revue Scientific Reports en juillet 2017, chaque centimètre cube d'une éponge contiendrait près de 118 bactéries provenant de 73 familles différentes.
Les virus : ce sont les microbes les plus nombreux, qui n'ont pas la capacité de se reproduire seuls. Ils doivent trouver une cellule hôte pour se multiplier ; Les champignons : ce sont des cellules qui possèdent un noyau pouvant donner de très grosses colonies. Il s'agit notamment des levures et des moisissures.
Le staphylocoque, les moisissures, les germes fécaux, la salmonelle ou encore Escherichia coli sont autant de microbes que vous pouvez retrouver dans votre maison.
Puis viennent les paumes, le visage, les orteils et enfin la plante des pieds. A l'inverse, les cuisses et les épaules font partie des zones les moins sensibles.
Ebola. Ebola est l'un des virus les plus mortels de la planète. Il peut tuer dans 25% à 90% des cas, selon les souches du virus, ce alors qu'il n'existe à l'heure actuelle aucun traitement homologué. La transmission se fait via un contact direct avec les fluides corporels.
Les bactéries pathogènes pénètrent dans l'organisme par l'intermédiaire des plaies, de la nourriture, des relations sexuelles non protégées et de l'air qu'on respire. Elles se dirigent ensuite autour de cellules et tissus spécifiques pour se protéger des mécanismes de défense du corps humain.
Grand oublié du savonnage sous la douche, le nombril est pourtant un vrai nid à bactéries. Une mauvaise hygiène de cette zone peut ainsi entraîner des mauvaises odeurs voire, dans le pire des cas, une infection. De même, il faut penser à le sécher correctement, car l'humidité est favorable au développement des germes.
Avec quoi se laver le corps naturellement ? Avoir une hygiène irréprochable tout en chouchoutant sa peau, c'est possible. Le pain dermatologique est tout particulièrement recommandé. Sans savon, il contient des agents hydratants naturels comme le beurre de karité, l'huile de coco ou encore l'huile d'amande douce.
Malgré ce que l'on peut lire sur divers articles publiés sur Internet, la barbe n'est pas sale. La barbe c'est comme les cheveux, elle est propre si on la lave correctement. Une question de logique… Alors non, la barbe n'est pas aussi sale qu'une cuvette de toilettes, c'est une fausse idée reçue.
Le symptôme le plus fréquent de la prolifération bactérienne dans l'intestin grêle est le ballonnement. Parmi les autres symptômes, on peut citer une gêne abdominale, une diarrhée. (Voir aussi Diarrhée chez l'enfant) La seule fréquence des selles n'est pas une caractéristique suffisante...
L'élimination des aliments riches en graisses, la suppression du tabac et la réduction de la consommation d'alcool peuvent aider votre corps à mieux se préparer à combattre les infections et les virus.
Les micro-organismes vivants du microbiote intestinal peuvent malheureusement être détruits sous l'influence de différents facteurs. Une alimentation déséquilibrée, la consommation de tabac ou d'alcool, la pollution sont autant d'éléments qui peuvent perturber l'équilibre de la flore digestive (on parle de dysbiose).
La bactérie, un staphylocoque blanc dont le nom savant est Staphylococcus epidermidis, est apparentée au staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à l'antibiotique méticilline (le SARM) plus connu et plus mortel. La bactérie S. epidermidis est naturellement présente sur la peau.