Précisément, la concentration de cette hormone est dix fois moins importante dans l'organisme féminin que dans l'organisme masculin. Chez la femme, la testostérone est produite en partie par les ovaires et en partie par les glandes surrénales. Elle pourrait contribuer au maintien de la libido.
Chez la femme, 50 % de la testostérone circulante sont produits directement par les ovaires et les glandes surrénales alors que l'autre moitié provient de la conversion périphérique de précurseurs hormonaux tels que la DHEA (déhydroépiandrostérone).
Chez l'homme
La testostérone est produite en duo par les glandes surrénales et les cellules de Leydig, situées dans les testicules. Elle intervient dans le développement des caractéristiques physiques masculines comme la maturation des organes génitaux, la pilosité et la mue de la voix.
A quoi sert la testostérone chez la femme ? La testostérone agit à plusieurs niveaux : La libido : son principal rôle est de permettre le bon fonctionnement de l'appareil sexuel et également d'agir sur le désir sexuel. Un déficit de testostérone peut engendrer une baisse de libido.
La sécrétion anormale d'androgènes peut donc être d'origine surrénalienne ou ovarienne. Parmi les causes surrénaliennes, la plus fréquente est l'hyperplasie congénitale des surrénales, liée au défaut de fonctionnement d'une enzyme nécessaire à la production d'hormones surrénaliennes.
Sous la forme de racine, la réglisse a une action hormonale, et elle diminue notamment le taux d'androgènes. Une autre étude démontre que la réglisse peut également aider les femmes : 3.5 grammes de réglisse par jour diminuaient les niveaux de testostérone de 32% en un cycle menstruel (4).
Un traitement médicamenteux anti-androgènes (acétate de cyprotérone) en cas d'hirsutisme majeur peut être préféré afin de diminuer la production d'androgènes ou de bloquer leurs actions au niveau de la peau et des follicules pileux.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
Il a été proposé que l'ocytocine augmente également pendant la phase d'excitation et l'orgasme en fonction de l'intensité de celui-ci. L'ocytocine apporte- rait ainsi une sensation de satisfaction et de satiété après la relation sexuelle [32].
Les œstrogènes augmentent la libido, tandis que la progestérone la diminue. C'est pourquoi chez de nombreuses femmes, le désir sexuel est boosté aux alentours de l'ovulation (et donc, du pic d'œstrogènes), mais baisse après ce pic, lorsque le taux de progestérone augmente.
Chez la femme, la testostérone est également produite par les glandes surrénales, mais aussi par les ovaires. À la puberté, sous l'effet de la testostérone, la pilosité se développe, la peau devient plus grasse (ce qui augmente le risque d'acné)... Les hommes ont environ 6 à 7 fois plus de testostérone que les femmes.
Ce syndrome est caractérisé par une diminution du bien-être ou des troubles de l'humeur; par une fatigue persistante et inexpliquée; par une dysfonction sexuelle avec baisse de la libido et du plaisir.
Les valeurs usuelles de testostéronémie sont variables en fonction du sexe, de l'âge et du stade pubertaire. À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de testostérone, qui peuvent varier d'un laboratoire à l'autre, sont : chez l'homme : 8,2–34,6 nmol/L. chez la femme : 0,3–3,0 nmol/L.
Une hormone sécrétée par des gros neurones de l'hypothalamus, l'ocytocine, est libérée dans le cerveau en réponse aux stimulations de la sphère génitale. Elle accompagne la montée en puissance du couple désir/plaisir en provoquant l'amplification des systèmes dopaminergiques.
La testostérone est une hormone stéroïdienne sécrétée par les glandes sexuelles des mammifères mâles : les testicules. Les cellules fabriquant de la testostérone à partir de cholestérol sont les cellules de Leydig.
Le sang afflue vers les organes génitaux, les tissus qui entourent l'orifice vaginal (lèvres) et le clitoris (qui correspond au pénis chez l'homme) gonflent, les seins augmentent légèrement de volume et ces zones du corps peuvent aussi picoter.
L'endorphine : déclenchée suite à une activité physique intense, excitation et orgasme, elle provoque la détente, la relaxation et l'envie de dormir. La dopamine : lorsque vous satisfaisez un besoin naturel de votre corps comme un désir sexuel, la dopamine vous apporte un sentiment de bien-être.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
La ménopause et la prise de poids sont-elles liées ? Lors de la ménopause, les hormones féminines, les œstrogènes, ne sont plus produites alors que les hormones masculines, la testostérone, le sont toujours, à plus faible dose. Ce changement hormonal provoque une nouvelle répartition des graisses.
Le foie, en particulier, est responsable du métabolisme des graisses dans notre corps.
On augmente donc considérablement l'excès de testostérone et dans ce cas, il y a des risques cardiovasculaires qui apparaissent liés notamment à la polyglobulie parce que le taux de globules rouges augmente (risque de caillot, risque d'accidents vasculaires…).
Soja et produits à base de soja
Les aliments à base de soja sont également riches en phytoestrogènes, qui sont des substances à base de plantes qui imitent les effets de l'œstrogène sur votre corps en modifiant les niveaux d'hormones et en réduisant potentiellement la testostérone (3).