Dans le cerveau, l'amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur.
2 Les glandes surrénales sont localisées au-dessus des reins et libèrent les hormones de la peur dont l'adrénaline. Comment, alors, l'amygdale infuse-t-elle la peur dans l'organisme ? En stimulant une autre structure du système limbique, l'hypothalamus.
Du point de vue de la neurologie, la peur correspond à une activation de l'amygdale (ensemble de noyaux au niveau des lobes temporaux) qui induit un sentiment de danger imminent. Elle peut entraîner une inhibition de la pensée, et prépare l'individu à fuir ou se défendre.
Le cerveau est constitué de trois grandes parties : le néocortex, le système limbique, et le système reptilien. Ce dernier représente le cerveau primaire, responsable des instincts (survie, fuite…). Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire.
La peur entraîne le Qi vers le bas et affecte les Reins. De la même façon, un Vide du Yin des Reins prédispose la personne à se sentir anxieuse.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Ils se situent dans une région du cerveau nommée complexe amygdalien (ou amygdale), structure composée de plusieurs noyaux connue pour être le siège de la peur. L'amygdale est au centre du circuit cérébral de la peur.
Le cœur et l'intestin grêle sont liés à la joie, l'amour, la haine, l'impatience, l'agressivité. L'estomac et la rate/pancréas sont liés à la confiance, l'ouverture, la rumination, l'anxiété.
Il existe quatre cerveaux décisionnels : le néocortex préfrontal, les territoires reptiliens, le cortex automatique et les territoires paléo-limbiques.
Parmi les plus fréquemment utilisés dans le traitement de la phobie, on peut citer : le citalopram (Celexa®), l'escitalopram (Lexapro®), la fluoxétine (Prozac®), la paroxétine (Paxil®) et la sertraline (Zoloft®).
Le traitement le plus efficace des phobies simples consiste en une thérapie comportementale et cognitive (TCC). Avec l'aide d'un professionnel formé, médecin généraliste, psychiatre ou psychologue, vous apprendrez petit à petit à vous confronter aux situations qui vous font peur.
Le stress est lié à l'action d'hormones comme l'ACTH (ou hormone corticotrope), le cortisol, l'adrénaline, l'ocytocine et la vasopressine.
Conséquences de la peur • être plus mort que vif, se cacher, s'enfuir, prendre les jambes à son cou, détaler. Les mains • s'agitent, se crispent, se ferment. La voix • le son de la voix voilé, sourd, atone, rauque. le ton de la voix triste, amer.
La peur devient toujours un trouble lorsqu'elle se manifeste de manière répétée dans des situations où il n'y a pas de danger ou de menace réelle; en d'autres termes, lorsqu'elle est disproportionnée.
La gastrite nerveuse est une inflammation de la muqueuse de l'estomac consécutive à un excès de stress.
Le ventre a une place particulière dans l'expression des émotions. Le système nerveux intestinal et le microbiote contribuent à l'expression du stress et de l'anxiété. Lors d'une peur, le ventre se noue et se contracte, provoquant cette sensation désagréable de boule dans le ventre.
Elle peut se manifester par des pleurs, une perte d'appétit ou encore une perte de vitalité. Dans les cas les plus sévères, la tristesse peut entrainer une léthargie plus ou moins profonde, ainsi qu'un isolement social.
Dans le cas de la peur, cela passe par la libération des hormones du stress : la noradrénaline et l'adrénaline. Une fois relâchées dans le cerveau et dans le sang, elles entraînent la modification des paramètres physiologiques du corps, le préparant à agir.
Méthode 1 sur 2: Se faire sursauter. Regardez en ligne une vidéo destinée à faire sursauter. Ce genre de vidéos, qui joue sur l'effet de surprise, est probablement le moyen le plus rapide de se procurer une poussée d'adrénaline.
L'amygdale reçoit constamment des informations sensorielles qu'elle évalue. Fonctionnant comme un système d'alerte, le complexe amygdalien du cerveau décode les stimuli afin de pouvoir orienter et dicter des réactions comportementales.
Si vous avez besoin de pleurer pendant un cours, vous pouvez tourner votre visage vers le bureau ou le couvrir avec un livre. Ne faites pas de bruit et ne sanglotez pas. Essayez de ne pas renifler non plus. Gardez un mouchoir dans votre main et essuyez rapidement vos larmes dès qu'elles se mettent à couler.
Pour faire face à nos émotions perturbatrices, nous pouvons avoir recours à plusieurs moyens : l'exercice physique, la relaxation, le yoga, la méditation zen... Bref, les outils ne manquent pas ! Mais, nous avons souvent besoin de réagir sur le coup d'une émotion.
Les non-dits sont source de déséquilibre du foie. Exprimée en excès la colère cause une montée du feu du foie avec des symptômes tels que maux de tête, rougeurs (visage, yeux, cou), sensation de chaleur dans la tête, vertiges et acouphènes.