La plus imposante : celle de Ganesh, dieu de la sagesse à tête d'éléphant. Il est célébré tout au long de l'année. Mais, aujourd'hui, vendredi 19 avril, les fidèles fêtent la pleine Lune ou Sittirai Pournami.
Les Ganesh en bois sont généralement vénérés pour assurer longue vie, bonne santé et succès. Ils doivent donc être placés vers le nord, le nord-est ou l'est. Ils ne doivent jamais être placés dans la direction du sud-est.
L'une des meilleures façons d'adorer le seigneur Ganesh est de réciter l'un de ses mantras. Le fait de dire un mantra vous permettra de vous rapprocher plus de ce dieu, ce qui l'amènera à vous bénir. En fait, réciter les mantras vous rapprochera plus de vos objectifs dans la vie. Pensez à réciter ces mantras.
Le chiffre sacré de Ganesh est le 21 et ses couleurs préférées sont le blanc, le bleu, le jaune, le rouge et le vert.
Dans la religion hindoue, le dieu Ganesh est connu pour apporter la bonne fortune et avoir le pouvoir d'ôter les obstacles de notre chemin. Chaque année courant septembre, il vient visiter les hommes pendant onze jours et ces derniers l'accueillent avec tous les honneurs.
Ganesh est un des symboles de l'union entre le macrocosme et le microcosme, le divin et l'humain. Cette symbolique se retrouve dans les tailles respectives de Ganesh, l'éléphant, le plus grand animal terrestre, et son vâhana, le rat, un très petit mammifère.
Dans cette activité de « guérisseurs », ils « travaillent » parfois avec une ou plusieurs divinités du panthéon hindou ou, plus généralement, avec un gourou (ou goulou), l'esprit d'un mort. Habituellement, il s'agit de l'âme d'un parent décédé qui était souvent pousari lui-même de son vivant.
Mûshika, dans l'hindouisme, est le vâhana ou véhicule de Ganesh. Il a l'apparence d'un rat. Ce dernier symbolise parfois le dieu à lui seul, comme peut le faire le taureau blanc Nandi pour son père Shiva.
Ganesh, dieu du foyer et de l'écriture- il n'a qu'une seule défense parce qu'il s'est servi de l'autre pour écrire le Mahabharata -, ne peut pas se glisser partout. Mais son rat Mushika, lui, le peut et il apporte la force de l'éléphant aux plus petits des êtres .
Ses 4 bras: Dans toutes ses représentations, le dieu Ganesh a quatre bras. Ils font référence au mental, à l'intellect, l'égo et la conscience.
Puja dans le bouddhisme
Dans le bouddhisme, la puja désigne un rituel d'offrandes. Il exprime de la gratitude envers le bouddha, ou une déité, forme pure de l'esprit, telle que Tchenrézi, personnifiant la compassion, Manjushri, la sagesse, etc.
- pour protéger votre maison, placez un couple d'éléphants dans votre entrée ; - un éléphant placé au sud-ouest, avec sa trompe en l'air, vous portera chance ; - pour booster la fertilité de votre couple, c'est un éléphant trompe en bas qui vous aidera, dans votre chambre bien sûr…
Ganesh ou Ganesa est l'un des dieux les plus connus et les plus sacrés du panthéon hindou. Facilement identifiable en raison de sa tête d'éléphanteau, il est invoqué avant toute action afin qu'il abatte les obstacles qui pourraient en entraver le bon déroulement.
Il existe de nombreuses explications de cette monstruosité dans la mythologie indienne. L'une veut qu'il soit le fils de Shiva par parthénogenèse et que la déesse Parvati, jalouse de ne pas avoir participé à sa naissance, lui ait collé une tête d'éléphant et un ventre bedonnant pour l'enlaidir.
Oh véridique, Oh la déesse qui est sainte, la grue sainte ai de la taille de la cuisse Et le crochet qui perce a de la taille de la main, De pierre précieuse Mari qui secoue ces gens(peuple) qui sont des rebelles, Oh la pierre précieuse Mari vous qui êtes saluée même par de mauvais êtres qui tombent à vos pieds.
Ganesh est le fils de Shiva et Parvati et il est le frère de Karthikeya (ou Subrahmanya), le dieu de la guerre.
Krishna représente, pour les hindous, le modèle de l'amour divin sous une forme humaine ; il est pour cette raison, très vénéré.
C'est la Grande Trinité hindoue : Brahma, Vishnu et Shiva. Trois dieux, en principe de force égale, reflet des trois aspects de la puissance divine : création, préservation, destruction.
C'est le serpent Shesha, dont le nom signifie "Reste". Il est appelé aussi Ananta, "Sans fin".
On prétend aussi qu'après la destruction des géants, Kali agitée et emportée par l'ivresse de sa victoire fit trembler le monde ; aussi à la demande des autres dieux, Shiva voulut l'arrêter mais la déesse ne le remarqua pas et le piétina. Lorsqu'elle eut remarqué son irrespect, elle tira la langue de honte.
LE TEMPLE ET LES PRATIQUANTS
Avant de se rendre au temple, les pratiquants doivent faire au minimum 3 jours de carême (régime alimentaire strictement végétarien, abstinence sexuelle, pas de pensées négatives). Ce carême a comme finalité de purifier le corps et le mental avant d'entrer dans la maison des Dieux.
Traditionnellement, il est répété une fois par jour 108 fois. Un mala vous permettra de tenir le compte. Le mala Rudraksha appelé aussi « larme de shiva » est tout indiqué pour ce mantra. La force d'un mantra est dans la répétition.
Le bouddhisme a lui aussi ses dieux. Pourtant, contrairement à l'hindouisme, les bouddhistes ne vénèrent pas ces dieux. L'idée même d'un Dieu créateur est obsolète. Dieu n'est qu'en fait l'ensemble du monde, il n'est en rien créateur ou protecteur des hommes, il représente le tout et le rien, l'universel.
Vishnou (en sanskrit विष्णु / Viṣṇu, en tamoul விஷ்ணு), on trouve aussi Vichnou, également appelé Hari, Padmanabhi ou Padmanabha), est le deuxième dieu de la trimūrti (également appelée la « trinité hindoue »), avec Brahma et Shiva.