Les muscles de la jambe sont bien entendu les plus sollicités lors de la course à pied. Plus particulièrement les quadriceps, les ischio-jambiers, les fessiers et les mollets. Trois exercices efficaces vont permettre de tous les muscler : les squats, les fentes et le leg curl.
Le sprint permet de muscler principalement les fessiers et les ischio-jambiers, même si vous verrez également vos quadriceps, vos mollets et éventuellement vos épaules, biceps, triceps et pectoraux se développer, puisque tous ces groupes musculaires sont sollicités lors de ce type d'entraînement.
Fibres musculaires «rapides»
Celles-ci réagissent très rapidement et fortement, mais ne peuvent maintenir la force ou rester contractées qu'un court moment. Elles peuvent être fabriquées par un entrainement adéquat, mais certaines personnes naissent avec déjà plus de fibres rapides que les autres.
Commencez avec un nombre de répétitions bas, ou diluez sur plusieurs séries, sur une côte pas trop raide, pour augmenter la difficulté au fur et à mesure. Réservez les côtes raides à des sprints courts et les côtes plus douces à des répétitions plus longues (100-200-300 mètres) où vous pouvez courir sans sprinter.
Est-ce que courir fait travailler les muscles abdominaux? La bonne nouvelle c'est qu'il importe peu qu'on voit vos abdominaux puisque la course à pied vous permet de travailler cette région musculaire. À peu près tous les exercices du monde vont, d'une façon ou d'une autre, solliciter vos muscles abdominaux.
La course à pied est un exercice extrêmement efficace pour brûler des graisses. En fait, quand il s'agit de perdre du poids, c'est même le plus efficace. Selon les données du Conseil américain pour le sport, un coureur pesant 80 kg brûle 170 calories lorsqu'il court pendant 10 minutes à un rythme régulier.
Courir sculpte et muscle les muscles de la cuisse (quadriceps, ischiojambiers) et ceux du mollets. Par ailleurs, le maintien du tronc lors des foulées favorise le développement musculaire des muscles du ventre, des abdominaux et du dos.
Aller trop vite en footing est une des causes principales du « je ne progresse pas ». Car la différence entre l'endurance fondamentale et une allure plus rapide de 15 ou 30″/km est très importante ! En particulier pour les coureurs peu expérimentés en longue distance, ces allures vont générer une vraie fatigue.
Il est possible de travailler l'explosivité du bas du corps grâce aux flexions-extensions. Vous enchaînez un squat avec un saut le plus haut possible. Pour le haut du corps, réalisez des pompes sautées. Au moment où vous finissez votre pompe, avec les bras tendus, poussez pour taper dans vos mains et recommencez.
VMA courte :
Le principe est simple : alterner 30 secondes de course rapide (entre 100% et 105% de VMA) puis 30 secondes de récupération. Pour les coureurs débutants : 10 x 30/30 ou encore 8 x 40/40 seront un bon début.
Les grands avantages de la course lente:
Lors d'une course lente, votre corps « brûle » d'abord les lipides de votre corps. Si vous avez un objectif de réduction de poids, c'est donc l'idéal; Bienfaits cardiaques: la vitesse du coeur augmente de manière limitée en course et diminue après celui-ci.
Alternez jogging et sprint : courrez à allure modérée sur 10 mètres, puis faites un sprint sur 50 mètres. C'est un excellent exercice pour s'habituer aux changements de vitesse. Le changement de tempo améliore votre « vitesse en rafale », c'est crucial pour votre effort en sprint.
Pour faire simple : non. Il vous faut au minimum un jour de repos par semaine pour permettre à vos muscles de récupérer. En outre, le surentraînement peut provoquer des blessures, du stress et de la fatigue prolongée.
Le soir. Les avantages : Le footing du soir possède un bienfait incontestable. Celui de relâcher complètement la pression et la fatigue de la journée. Au-delà de ça, il s'agit surtout d'un créneau à privilégier pour tous les coureurs avides de performance.
Courir 30 minutes par jour favorise le retour du sang vers le cœur en faisant des efforts avec plusieurs groupes musculaires. De plus la course à pied est étroitement reliée au phénomène de l'ostéoporose et permet d'en réduire le risque. C'est une maladie qui touche des millions de personnes et affaiblit les os.
Les muscles autour des bras (deltoïdes, biceps, grand dorsal) qui permettent un meilleur balancier et un allègement de la foulée. Cela est d'autant plus vrai que le terrain est en pente ou en fin de course.
LES EFFETS DU SPORT SUR LE CORPS APRÈS 3 À 6 MOIS
Tous les efforts consentis les premiers mois de votre pratique sportive seront véritablement visibles à partir de 3 mois environ. Si vous avez bien suivi votre entraînement et que vous avez mangé les "bons" aliments, le travail va payer, on vous l'assure !
La course à pied
C'est le meilleur allié pour perdre des cuisses et avoir des jambes fuselées. L'idéal ? Courir deux à trois fois par semaine, sur une distance de 6km à 8km. Il vaut mieux privilégier l'endurance, plutôt que la vitesse.
« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.