Le stérilet, solution classique pour les femmes de plus de 45 ans. Pour les femmes qui approchent de la ménopause, d'autres solutions que la pilule sont donc souvent choisies. La première d'entre elles, c'est le stérilet. Il est placé pour trois à cinq ans selon les modèles.
Relevons que parmi ces méthodes, les plus sûres sont les pilules de 2e génération (avec lévonorgestrel), le patch et l'anneau. Et que, dans tous les cas, l'OMS recommande d'arrêter complètement les combinés hormonaux chez les femmes de plus de 50 ans.
Ainsi, en période de péri-ménopause, le médecin peut vous proposer de remplacer votre contraception estroprogestative : par une contraception progestative, ou par un contraceptif "barrière" afin de suivre l'évolution des règles et de pouvoir confirmer la ménopause lorsque l'arrêt des règles dure depuis une année.
On conseille alors aux femmes de se tourner vers le stérilet hormonal ou vers les micro-pilules, qui ne contiennent qu'un progestatif et pas d'œstrogène (l'hormone qui augmente le risque vasculaire, N.D.L.R.) ».
Le stérilet Mirena au levonorgestrel (un progestatif) convient en revanche bien à cet âge de la vie.
La réponse de l'expert. SI je comprends bien, vous avez un stérilet au cuivre. Ce type de contraception ne fait pas prendre de poids.
Si vous préférez la contraception hormonale, alors la pilule minidosée ou le stérilet hormonal sont considérés comme les alternatives les plus sûres.
Le stérilet, solution classique pour les femmes de plus de 45 ans. Pour les femmes qui approchent de la ménopause, d'autres solutions que la pilule sont donc souvent choisies. La première d'entre elles, c'est le stérilet. Il est placé pour trois à cinq ans selon les modèles.
Il existe plusieurs méthodes de contraception naturelle
Les plus fréquemment utilisées sont au nombre de 4 : 1) Le coït interrompu ou ou méthode du retrait. Elle consiste à interrompre le rapport sexuel vaginal avant l'éjaculation pour éviter toute fécondation.
Le DIU, anciennement appelé stérilet au cuivre, est la contraception sans hormones la plus souvent recommandée. Ce dispositif en forme de « T » est placé dans l'utérus par un gynécologue ou une sage-femme et a une durée d'efficacité qui va minimum jusqu'à 5 ans.
Contrairement à la ménopause, pendant la préménopause ou le climatère, bien que la probabilité soit très faible, il est possible de tomber enceinte.
Le stérilet, ainsi que les contraceptifs locaux (spermicides, éponge vaginale contraceptive, ovule contraceptif) peuvent alors être une alternative intéressante pour les femmes de plus de 45 ans.
Elle survient le plus souvent entre 45 et 55 ans et s'accompagne, chez trois femmes sur quatre, de désagréments comme des bouffées de chaleur ou des troubles de l'humeur.
Une patiente peut arrêter la contraception après un an d'aménorrhée si celle-ci survient après 50 ans, et après deux ans d'aménorrhée si elle survient avant 50 ans. En Angleterre, les recommandations proposent l'arrêt de la contraception à 55 ans, même pour les patientes présentant encore des cycles menstruels.
"D'un point de vue médical, les pilules oestroprogestatives sont déconseillées à la quarantaine car elles présentent des risques vasculaires et peuvent être à l'origine d'une prise de poids, notamment chez une patiente qui a longtemps été exposée aux hormones.
La pilule sans œstrogène est idéale pour les femmes qui veulent une contraception en toute sécurité, en particulier pour les femmes qui allaitent ou qui ne tolèrent pas les œstrogènes.
Les stérilets font partie des méthodes les plus efficaces.
La méthode dite «du retrait» figure effectivement parmi les moyens de contraception naturels. Elle consiste, pour l'homme, à retirer son pénis du vagin de sa partenaire juste avant l'éjaculation. Elle est très pratiquée dans les pays méditerranéens.
Selon cette définition, la contraception hormonale (progestative ou estroprogestative), la contraception intra-utérine et la stérilisation (masculine et féminine) sont les moyens les plus efficaces pour éviter les grossesses non désirées.
Le diagnostic de la ménopause repose sur l'absence de règles depuis 12 mois chez une femme d'environ 50 ans. Aucun examen n'est, a priori, nécessaire dans ce cas. En cas de doute, le médecin peut recourir au « test à la progestérone ».
«C'est connu depuis très longtemps qu'il n'y a pas de risques liés à la prise de la pilule en continu, indique le Pr Deruelle. Il faut donner une information complète aux femmes, en leur disant qu'elles peuvent choisir. Beaucoup de gynécologues et sages-femmes le font déjà.»
Prendre la pilule ne va pas retarder l'âge de la ménopause. La seule chose qui peut modifier l'âge de la ménopause, c'est le tabagisme. Les femmes fumeuses seront ménopausées un ou deux ans avant les autres.
Les pilules de 3ème génération, comme on pouvait s'y attendre après les divers scandales, sont pointées du doigt. Les femmes qui y ont recours ont deux fois plus de chances de subir une embolie pulmonaire que celles qui utilisent les pilules de deuxième génération, par exemple.
Le principal effet secondaire du stérilet en cuivre est l'allongement de la durée des règles. Elles peuvent également être plus abondantes que d'ordinaire. Les effets secondaires du stérilet hormonal sont les mêmes que ceux de la pilule contraceptive : maux de tête, prise de poids, légers saignements.
Effets secondaires/indésirables
La pose peut provoquer des douleurs modérées, des saignements, de légères crampes. Il est également possible d'observer une modification du cycle menstruel (saignements irréguliers, ménorragies, douleurs et crampes au moment des règles).