Lupanars, mères maquerelles, proxénètes... La société antique reconnaît le rôle social de la prostitution.
Depuis Charles Péguy, on sait que, après celui de parent, le plus beau métier du monde est celui de maître d'école et de professeur de lycée.
On entend souvent dire que la prostitution est le plus vieux métier du monde sans jamais savoir trop bien pourquoi. Il faut savoir que dans l'histoire, la prostitution était sacrée à Babylone et les jeunes filles vendaient leurs charmes pour la déesse Ishtar et c'est le roi Josias en 640 avant JC qui abolit cet acte.
Le métier de thérapeute de désintoxication digitale fait partie des professions d'avenir qui connaîtront un succès florissant en 2050. En effet, l'une des plus grandes addictions des dernières décennies et qui s'aggravent d'ailleurs est celle liée à l'internet.
Changement climatique, avènement de l'intelligence artificielle... Bon nombre de métiers sont amenés à disparaître dans les générations futures. Mais à contrario, beaucoup de métiers de demain n'existent pas encore.
La première communauté française des métiers connue sous la royauté date de 1170 : c'est celle des marchands de l'eau (négociants qui étaient autorisés, seuls, à faire le commerce par la Seine, depuis Paris jusqu'à Mantes), c'est-à-dire des marchands qui faisaient arriver des produits à Paris par les voies fluviales.
Selon leurs projections, en raison des 462 000 départs à la retraite et 26 000 créations d'emplois, c'est le métier d'agent d'entretien qui recrutera le plus à l'horizon 2030. Il serait suivi des enseignants et des aides à domicile, avec respectivement 329 000 et 305 000 besoins en recrutement.
Un million d'emplois créés d'ici 2030
Dans le détail, devraient être créés : 410 000 postes de médecins, infirmiers, professions paramédicales, aides à domicile et aides-soignants. 180 000 postes dans les métiers de l'informatique et de la recherche. 135 000 postes d'ouvriers de la manutention.
A l'horizon 2030, les professions qui offriront le plus d'opportunités professionnelles sont liées au secteur de la santé, à celui du numérique ainsi qu'au domaine de la construction. Concernant les créations d'emplois, elles concerneront majoritairement les diplômés du supérieur.
Premier constat : arrivent en tête des jobs les plus demandés, les fonctions commerciales (responsable des opérations commerciales (1), responsable du développement (2), conseiller clientèle (4), chargé des relations entreprises (21)) et les nouveaux métiers du numérique (ingénieur en fiabilité de site (5), consultant ...
Comptables, agents d'entretien, cadres administratifs, enseignants, aides à domicile... Ces métiers et bien d'autres recrutent et recruteront encore demain. Le Centre d'information et de documentation jeunesse a recensé ces professions qui recrutent jusqu'en 2020.
Les robots, les assistants vocaux, les objets connectés, les voitures intelligentes… toutes ces choses ont un point commun : un créateur. Être ingénieur en intelligence artificielle est de plus en plus connu mais certaines facettes du métier sont encore à explorer comme être programmeur de personnalités.
Le verbe travailler vient du latin populaire tripaliãre, qui signifie torturer avec le tripalium. Depuis, ce mot est resté et est arrivé en France au Moyen Age (la corvée : travail forcé). Au XIIe siècle, le sens de travailleur devient plus moderne, signifiant celui qui tourmente.
Le syndicat majoritaire fête la création de la profession, en 596, par la reine Brunehilde. mérovingienne: ils ont modestement fêté hier le 1.400e anniversaire de leur profession.
Le travail apparaît donc, non seulement comme un mot et une notion historiquement datés, mais aussi comme une réalité inventée, construite par le XVIIIè siècle européen. Il correspondrait à l'émergence du rapport salarié et du travailleur libre vendant sa capacité de travail.