Une boule de Berlin. La formule « Ich bin ein Berliner » a laissé son nom au discours de Kennedy, car il la prononce deux fois. John Fitzgerald Kennedy, dans son discours, souhaite employer l'allemand et s'appuyer sur cette phrase forte pour assurer aux Berlinois qu'il les soutient.
En affirmant qu'en tant que citoyen libre, il était fier de pouvoir dire « Je suis un Berlinois », le Président américain Kennedy montrait tout son soutien à la ville, enclavée dans l'Allemagne de l'Est communiste (nommée RDA : République démocratique allemande).
Dans ce discours prononcé à Philadelphie le jour anniversaire de l'Indépendance des États-Unis, Kennedy propose aux Européens une vaste alliance transatlantique, géopolitique et commerciale, proposition qui sera interprétée par la France comme une tentative dissimulée de dominer la politique internationale.
Dans son discours du 22 octobre, il annonce une « quarantaine » autour de Cuba en vue d'empêcher les navires communistes de livrer le matériel destiné aux bases de missiles.
L'URSS réagit par l'escalade au discours de Kennedy, estimant que la provocation vient des Etats-Unis. Selon eux, leur intervention à Cuba se justifie par la lutte contre l'impérialisme américain dans la région.
Le plan Marshall a été rejeté par l'Union soviétique et les pays du futur bloc de l'Est. Staline craignait que le plan Marshall ne serve à conquérir le glacis de sécurité de l'URSS. L'URSS exerce en conséquence des pressions contre les pays qu'elle occupe et qui avaient montré leur intérêt.
Pour les Américains il s'agit d'une violation des accords passés et d'une menace directe pour leur sécurité. Pour atteindre Cuba ces navires devront forcer le blocus maritime de l'île mis en place par les États-Unis en octobre 1962. En cas d'incident c'est la guerre possible entre les deux supers puissances.
« Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays », cette phrase iconoclaste ne serait pas tout à fait de John F. Kennedy, révèle l'Américain Chris Matthews dans son livre Jack Kennedy : Elusive Hero, à paraître cette semaine chez Simon and Schuster.
« Ich bin ein Berliner » [ˈʔɪç ˈbɪn ʔaɪn bɛɐ̯ˈliːnɐ] (« Je suis un Berlinois ») est une célèbre phrase prononcée par John Fitzgerald Kennedy, alors président des États-Unis dans le discours qu'il fit lors de sa visite à Berlin-Ouest le 26 juin 1963 , à l'occasion des quinze ans du blocus de Berlin.
La crise des missiles de Cuba prend fin officiellement le 28 octobre 1962 avec la promesse de démantèlement des rampes de lancement par l'URSS. Le 20 novembre, les soviétiques s'exécutent.
John Fitzgerald Kennedy se rend à Berlin-Ouest en juin 1963, où il prononce ce qui restera dans les annales comme son meilleur discours, et lance à la foule la désormais célèbre phrase "Ich bin ein Berliner". But: montrer, en pleine guerre froide, le soutien américain aux habitants de l'Allemagne de l'Ouest.
Truman, né le 8 mai 1884 à Lamar (Missouri) et mort le 26 décembre 1972 à Kansas City (Missouri), est un homme d'État américain, 33e président des États-Unis en fonction de 1945 à 1953. Élu le 4 novembre 1944 vice-président de Franklin D.
Le retrait des armements de Cuba fut largement tenu pour un succès personnel de Kennedy. La crise de Cuba fut considérée à l'ouest comme un sérieux échec pour Khrouchtchev, qui fit perdre du crédit de l'URSS dans le tiers monde. Les Chinois taxèrent l'URSS d'« aventuristes » et de « capitulationnistes ».
Le 13 février 1989 , la Hongrie et l'Autriche concluent un accord pour démanteler le Mur à leur frontière. Le 2 mai 1989 , la Hongrie commence à démanteler les clôtures installées le long de sa frontière avec l'Autriche, une première brèche est ainsi ouverte dans le rideau de fer.
Surnommé “mur de la honte” par les Allemands de l'ouest, le dispositif érigé par le gouvernement est-allemand avait pour appellation officielle “mur de protection antifasciste”. Son rôle : empêcher toute possibilité de passage vers l'ouest pour ceux que le régime qualifie de “déserteurs de la république”.
Première partie (d'un discours), entrée en matière. ➙ introduction, préambule, prologue.
Lorsqu'est proclamée la République démocratique allemande (RDA) le 7 octobre 1949, les journaux français se penchent sur les enjeux liés à la création d'un second État allemand.La création de la RDA en octobre 1949 est la réponse soviétique à la fondation de la République fédérale d'Allemagne (RFA), à l'Ouest, le 23 ...
C'est ainsi que le point de passage de la Bornholmer Straße est ouvert peu après 23h, suivi d'autres points de passage tant à Berlin qu'à la frontière avec la RFA, marquant la chute du Mur de Berlin, dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 novembre 1989.
- John Fitzgerald Kennedy. Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays. Cette phrase de John Fitzgerald Kennedy contient 20 mots. Il s'agit d'une citation courte.
Il est en particulier resté dans la mémoire des Américains et d'autres personnes pour ces mots : « Et donc vous, mes compatriotes américains, ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
Dans un discours qu'il prononce le 5 juin 1947 à l'université Harvard de Cambridge (Massachusetts), le secrétaire d'État américain, George C. Marshall, propose à tous les pays d'Europe une assistance économique et financière conditionnée par une coopération européenne plus étroite.
Le dénouement de la crise en faveur des États-Unis a des conséquences immédiates : Kennedy apparaît comme le vainqueur et sort renforcé de la crise.
C'est la Guerre froide : un conflit qui s'étend de 1946 à 1991. Celui-ci oppose deux systèmes irréconciliables : le capitalisme libéral et démocratique, emmené par les Etats-Unis, et un système communiste, souvent qualifié de "totalitaire", conduit par l'URSS.