un anticoagulant ; de l'aspirine ou un AINS ; un médicament contenant de la carbamazépine, du phénobarbital, de la phénytoïne, de la primidone, de la rifampicine, de la ciclosporine, de l'interféron alfa ou de l'isoniazide.
La cortisone induit peu d'interactions médicamenteuses et peut donc être associée à la plupart des autres médicaments.
Les anti-inflammatoires stéroïdiens, eux, sont des corticoïdes, dérivés du cortisol et de la cortisone, et ont un effet plus puissant. " Parmi les anti-inflammatoires stéroïdiens, on trouve le prednisone, prednisolone, méthylprednisolone ,ou encore, avec un effet plus prolongé, le bêtaméthasone ou le dexaméthasone.
Les véritables contre-indications à l'emploi des corticoïdes sont rares : infections évolutives sévères, glaucome et cataracte, ainsi que certaines maladies psychiatriques.
Un traitement par corticoïdes a été corrélé à une augmentation de 25% du risque de complication cardiovasculaire ou cérébrovasculaire , rapportent les auteurs. Ces médicaments ont multiplié ainsi le risque d'insuffisance cardiaque par 2,66 et augmenté le risque d'ischémie myocardique de 20%, précisent-ils.
Pour plus d'efficacité contre la douleur et la fièvre, peut-on associer un AINS et du paracétamol ou deux AINS ? Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS.
Comment marche la cortisone? Après une prise orale de corticoïdes, leur absorption par l'organisme est bonne (environ 80%) et rapide (le taux sanguin maximal est atteint entre 1 et 2 heures après la prise).
Prise le soir, la cortisone peut effectivement être responsable d'insomnie. Elle est produite naturellement dans notre corps sous forme de cortisol. "Il y a un pic de libération du cortisol dans le sang et l'organisme le matin, entre 6 et 8 heures, explique Martial Fraysse, docteur en pharmacie. Le corps y est habitué.
Il est recommandé de boire un grand verre d'eau après une bouffée de cortisone pour en éliminer les résidus.
La réglette est disponible en ligne sur le site d'Actions Traitements (il suffit d'entrer la première lettre du nom ou de la DCI du médicament pour que s'affiche les interactions répertoriées avec ce produit).
En dépit de nombreux effets indésirables, si elle est prescrite sur le long terme, la cortisone, cette molécule anti-inflammatoire, reste un produit majeur pour soulager la douleur. Pour toutes les douleurs d'origine inflammatoire, la cortisone a de nombreux avantages.
Palpitations d'origine « extracardiaque ».
Les causes sont classiquement : Un stress intense. La grossesse. La prise de certains médicaments ou toxiques : bronchodilatateurs, corticoïdes, alcool, cocaïne, …
Par exemple, le mélange cocaïne-amphétamines, accentue les effets de stimulation du système nerveux central, ce qui potentialise les risques d'hyperthermie, de déshydratation et de problèmes cardiaques. Un autre exemple connu est la prise d'alcool en étant sous traitement antibiotique.
un anticoagulant ; de l'aspirine ou un AINS ; un médicament contenant de la carbamazépine, du phénobarbital, de la phénytoïne, de la primidone, de la rifampicine, de la ciclosporine, de l'interféron alfa ou de l'isoniazide.
Prendre plusieurs médicaments (ou molécules) en même temps peut modifier leur efficacité ou leur toxicité. On parle alors d'interaction médicamenteuse. Celle-ci peut prendre plusieurs formes : Les effets des produits peuvent être diminués ou supprimés, les rendant ainsi moins efficaces.
Tous les anti-inflammatoires exposent au risque de détérioration de la fonction rénale chez tout insuffisant rénal, même dès le stade 3 (voir tableau I), surtout si ce patient est protéinurique, s'il suit un régime peu salé, s'il est traité par des diurétiques.
Alcool et cortisone : association déconseillée
L'alcool peut diminuer l'absorption d'un médicament ou accélérer son élimination par l'organisme. Certains médicaments peuvent ralentir l'élimination de l'alcool par le corps et ainsi amplifier les effets de l'alcool.
Si des symptômes tels que douleurs abdominales, fièvre ou troubles inhabituels du transit (diarrhées, constipation) apparaissent sous corticoïdes, n'hésitez pas à les signaler à votre médecin. On sait que ces troubles digestifs peuvent vous amener à prendre de façon moins régulière votre traitement par corticoïdes.
Privilégiez les eaux à faible teneur en sodium (environ 10 mg par litre).
La cortisone agit comme anti-inflammatoire et immunosuppresseur. Elle est d'ailleurs prescrite dans certaines maladies auto-immunes pour calmer les emballements des cellules immunitaires.
A titre indicatif : 1 à 4 comprimés par jour chez un adulte de 60 kg. Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
QU'EST-CE QUE KETOPROFENE/OMEPRAZOLE ETHYPHARM 200 mg/20 mg, gélule à libération modifiée ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE ? ANTI-INFLAMMATOIRE NON-STEROIDIEN (anti-rhumatismal) associé à un INHIBITEUR DE LA POMPE A PROTON (anti-ulcéreux).
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).