Le port d'un gilet d'aide à la flottabilité 50 Newton est vivement conseillé lors de la pratique du kayak. En effet en cas de chute à l'eau, il vous permettra de flotter sans effort pour rejoindre votre embarcation et pouvoir remonter facilement.
Le gilet d'aide à la flottabilité n'est pas obligatoire mais fortement conseillé pour faciliter la remontée dans le bateau en cas de chute.
En fonction de votre pratique
Pour la pratique loisir, un gilet en mousse sera plus simple d'utilisation et la flottabilité sera immédiate en cas de chute à eau. Si vous cherchez un encombrement minimal, choisissez un gilet gonflable à la demande par cartouche de gaz qui libérera plus vos mouvements d'épaule.
La pratique du kayak en mer requiert un équipement adapté. Un gilet de flottabilité de 50N, homo- logué avec un marquage CE ISO/EN et adapté à la pratique du kayak.
Le meilleur modèle pas cher : gilet de sauvetage adulte – Lalizas. Ce modèle ravira tous ceux qui cherchent un gilet de sauvetage pas cher de bonne qualité. Un équipement sécurisé et ergonomique qui se serre à l'aide d'un zip et d'une ceinture avec fermeture rapide et sangle sous-cutale ajustables.
Il existe deux types de gilets de sauvetage : les mousses et les gonflables. Les deux sont tout aussi efficaces, mais le gonflable sera recommandé pour une utilisation régulière, car il offre une grande liberté de mouvement. Le gilet en mousse est aussi efficace qu'un gilet gonflable.
Ces éléments vont vous permettent de choisir un gilet de sauvetage par rapport à votre poids. En effet, la norme Iso en Europe définit les gilets VFI selon un indice de flottabilité de 50, 100, 150, 150 et 275 Newtons (il s'agit là d'une flottabilité type pour un porteur de 70 kg environ).
Pour la pratique durant l'été en canoë kayak, ce n'est pas bien compliqué de s'équiper, un gilet d'aide à la flottabilité, un top anti UV et un maillot de bain suffisent amplement. Mais vous pourrez également vous équiper avec une combinaison néoprène sans manche ainsi que des chaussons pour vous protéger dans l'eau.
Choisissez la bonne longueur de pagaie. En vous tenant debout, le bras en l'air, la pagaie verticale doit aller du sol jusqu'au pli des doigts repliés. Prenez un modèle le plus léger possible et privilégiez des pales de faibles largeur. Enfin, si la pagaie est réglable, réduisez au maximum l'angle de croisement.
En kayak, il est primordial de se renseigner sur la météo, et pas seulement pour vérifier s'il va faire beau ou nuageux. Le plus important est de savoir si du vent est prévu, à quelle force et dans quelle direction. Informez-vous aussi sur l'état de la mer, les courants et la hauteur de houle.
Abri : Endroit de la côte où tout engin, embarcation ou navire et son équipage peuvent se mettre en sécurité en mouillant, atterrissant ou accostant et en repartir sans assistance.
Immatriculé auprès des Affaires maritimes et équipé du matériel de sécurité obligatoire, un kayak peut naviguer jusqu'à 2 ou 6 milles nautiques (4 ou 11 km) d'un abri, en fonction de l'équipement et de la conception du kayak (avec ou sans jupe).
Entrer et sortir du kayak peut parfois être un peu difficile. La majorité des chavirages se produisent à ce moment-là. Pour éviter de tomber à l'eau, prenez le temps d'entrer et de sortir du kayak. Idéalement, vous placez votre pagaie sur le bateau, juste devant l'emplacement où vous serez assis.
Une journée moyenne quand on pratique le kayak régulièrement (5 à 7 heures par semaine pendant l'année) c'est 6 heures par jour, donc 18 milles. Une journée intense peut aller jusqu'à 10 heures ou plus, pour des kayakistes très entrainés.
Placez votre main la plus proche de l'autre côté du kayak, sur la pagaie, avec les doigts sur le contour du cockpit. Essayez ensuite de stabiliser votre canot. Mettez-vous dans votre kayak. Placez une jambe dans le kayak, déplacez votre poids et asseyez-vous en gardant l'autre pied au sol.
Par temps froid, les chaussons en néoprène sont sans doute votre meilleur choix de chaussures, mais dans les eaux plus chaudes, les chaussures minimalistes conçues pour le kayak sont les meilleures. Ils vous fourniront la protection dont vous avez besoin sans rendre vos pieds chauds et moites.
Vérifiez auprès du fabricant de votre gilet de sauvetage si le cylindre de CO2 et d'autres parties du mécanisme de gonflement doivent être remplacés. Ces dates peuvent varier en fonction de l'utilisation du gilet de sauvetage. En général, les composantes devraient être remplacées tous les trois ans.
La norme de sécurité NF EN ISO 12402-3 correspond au gilet de sauvetage 150 newtons. Ces gilets de sauvetage sont très efficaces en mer en cas de forts courants ou de mauvaises conditions météorologiques et permettent le retournement d'une personne inconsciente.
Un bon gilet lesté est avant tout ajustable. Il doit être porté ni trop serré ni trop ample. Sa conception doit vous permettre de conserver votre liberté de mouvement. Ses poches doivent permettre de répartir le lest de manière uniforme sur le haut du corps.
Choix d'un vêtement de flottaison individuel (VFI) Vous pouvez choisir parmi une grande variété de types, de tailles et de couleurs de VFI. Ils ne sont pas obligatoirement fabriqués en rouge, orange ou jaune, mais il est préférable de choisir l'une de ces couleurs pour être plus visible dans l'eau.
La durée de vie d'un gilet de sauvetage est limitée dans le temps. Elle a été fixée à 10 ans en raison de l'usure et du vieillissement des différents matériaux qui le composent. En effet, on estime que la flottabilité et les performances d'un gilet de sauvetage sont bien moins efficaces après une dizaine d'années.
Les Sauveteurs en Mer vous recommandent de porter un gilet de 100N ou 150N même si on navigue à moins de 2 milles nautique d'un abri. En effet, une aide à la flottabilité de 50N ne permet pas, par exemple, un dégagement des voies aériennes si la personne est inconsciente.