Purpura thrombopénique idiopathique 4. Quels examens ? Des examens du sang et de la coagulation permettent le diagnostic. Le PTI étant un diagnostic d'élimination, une série d'examens sont dès lors nécessaires pour affirmer que la maladie relève d'aucune cause connue.
Une analyse de sang, comportant un dosage des plaquettes peut être effectuée pour déceler la cause du purpura. S'il y a une thrombopénie, une ponction de moelle osseuse peut être réalisée. Une biopsie peut être réalisée lorsqu'il y a une atteinte inflammatoire de la paroi des vaisseaux.
Le traitement antibiotique est mis en place immédiatement par le SAMU, avant même l'arrivée à l'hôpital. En cas de purpura de la peau associé à des hémorragies des muqueuses (bouche, yeux, muqueuse génitale), il s'agit aussi d'une urgence extrême et il faut là aussi appeler le SAMU.
Certaines personnes atteintes peuvent ne présenter aucun symptôme. Chez d'autres, les symptômes de thrombocytopénie immunitaire peuvent se développer soudainement ou progressivement. La fatigue est fréquente en cas de TPI chronique. Le saignement cutané peut être le premier signe d'une numération plaquettaire basse.
Cause : le purpura fulminans traduit une septicémie, c'est-à-dire une infection généralisée du sang et de différents organes. Dans 80 % des cas, le coupable est un méningocoque, cette bactérie qui est notamment responsable de la méningite. Le purpura fulminans peut toucher les enfants comme les adultes.
Le purpura se majore lors de la position debout et diminue en position allongée. Il n'est pas douloureux et ne gratte pas. Les pétéchies peuvent confluer et évoluent tel un hématome sur une semaine environ, avant de disparaître sans cicatrice. Il existe plusieurs poussées successives.
Plusieurs types de purpura existent (1) : – pétéchial (taches rondes bien limitées taille tête d'épingle) ; – ecchymotique (taches hémorragiques plus larges, contours mal limités) ; – nodulaire (infiltration palpable) ; – nécrotique (pétéchies ou ecchymoses surélevées d'une zone de nécrose).
Il n'existe pas de traitement avéré. Selon les patients, le port de bas de compression, la prise de médicament veino-actifs ou l'administration de corticoïdes à été bénéfique pour aider la circulation sanguine.
Le purpura thrombopénique immunologique ou « PTI » une maladie bénigne du sang, ce n'est donc ni une leucémie ni un cancer. Il se traduit par une baisse anormale du taux de plaquettes. Il s'agit d'une maladie auto-immune au cours de laquelle le système immunitaire du patient fonctionne de manière trop importante.
Le purpura rhumatoïde fait partie des maladies auto-immunes dites systémiques, c'est-à-dire qu'il peut atteindre différents organes. Le purpura rhumatoïde est une maladie rare ; on estime qu'il touche 1 personne sur 4000 à 7000 chaque année. Il touche un peu plus les garçons que les filles.
La thrombocytopénie est un trouble causé par une baisse du nombre de plaquettes dans le sang. Les plaquettes sont aussi appelées thrombocytes. Elles sont fabriquées dans la moelle osseuse et aident le sang à coaguler.
Une thrombopénie correspond à une baisse des plaquettes dans le sang (moins de 150 G/l) avec un risque d'hémorragie grave et imprévisible lorsque le taux est inférieur à 50 G/l.
Les pétéchies sont évocatrices d'un purpura, terme générique qui regroupe ces lésions dermatologiques. Souvent d'origine bénigne, elles peuvent être dues à un petit traumatisme physique local.
Les causes de l'apparition des plaques rouges sur le corps sont multiples : allergies, stress, climat… Généralement bénignes, ces plaques sont inesthétiques et souvent désagréables. Les solutions pour les traiter sont simples à appliquer, et diffèrent en fonction du type de plaque apparue sur la peau.
Quelle est la cause des pétéchies ? Les pétéchies sont dues à l'infiltration de sang sous la peau provoquée par une hémorragie (saignement) due à la rupture d'un capillaire (petit vaisseau sanguin qui relie les artères aux veines).
Le purpura d'effort (ou vasculite d'effort) est une affection cutanée bénigne des membres inférieurs qui survient chez des patients (es) après un long exercice physique.
douleurs articulaires. gonflement des articulations, principalement des chevilles et des genoux. douleurs abdominales. nausées, vomissements.
L'anémie hémolytique auto-immune (AHAI) est une maladie du sang qui se traduit par une baisse anormale du nombre de globules rouges (aussi appelés hématies) et du taux d'hé- moglobine, ce qu'on appelle une anémie.
Quel est le taux normal des plaquettes sanguines ? Selon le laboratoire où le prélèvement est effectué, la valeur normale du taux de plaquettes est comprise entre 150 000 et 400 000 par mm³. Les plaquettes sont basses, lorsque leur nombre est inférieur à 100 000/mm³.
Arnica montana 9 CH et Phosphorus 15 CH sont particulièrement recommandés dans cette affection, à raison de 5 granules de chaque 3 fois par jour pendant 10 jours.
L'œdème des jambes : c'est le début de la décompensation veineuse. La dermite ocre : ce sont des tâches rouges qui apparaissent au niveau des jambes suite à l'œdème. L'induration des tissus de la jambe : la peau localisée au niveau des jambes se rétracte et est le siège d'inflammations souvent douloureuses.
Les pétéchies disparaissent-elles ? « Lorsqu'il s'agit d'une cause bénigne, les pétéchies disparaissent en quelques jours, une petite semaine environ, précise le Dr Badaoui. Il faut le temps que les macrophages fassent disparaître les globules rouges. C'est un peu comme un hématome. »
Quels sont les effets du stress sur notre peau ? C'est prouvé, le stress est un ennemi de la peau. Il favorise les poussées d'urticaire et d'acné et peut même être à l'origine de certaines maladies de la peau, comme l'eczéma et le psoriasis.
Les symptômes
Fièvre élevée, atteinte profonde de l'état général, vomissements et douleurs abdominales constituent les premiers symptômes non-caractéristiques. Une ou des tâches de couleur rouge et pourpre s'étendent rapidement sur la peau, souvent sur les membres inférieurs.
Une surveillance des taches brunes est nécessaire. Si elles semblent évoluer (augmentation de taille, changement de couleur, saignements, grossissement, etc…) il est important de consulter un spécialiste car il peut s'agir des symptômes de développement d'un mélanome (voir notre fiche « Cancer de la peau »).