La suite de Fibonacci apparaît dans de nombreux problèmes de dénombrement. Par exemple, le terme d'indice n (pour n supérieur ou égal à 2) de la suite de Fibonacci permet de dénombrer le nombre de façons de parcourir un chemin de longueur n-1 en faisant des pas de 1 ou 2.
La suite de Fibonacci est présente dans de nombreuses disciplines ainsi que dans la nature. Par exemple, elle est utilisée pour décrire la croissance des plantes, estimer l'augmentation de la population sur une période donnée, modéliser les épidémies de virus et prévoir le comportement des marchés financiers.
La suite de Fibonacci : une suite infinie
Il suffit de se rappeler sa règle de construction : à l'exception des deux premiers, chaque terme de la suite est égal à la somme des deux termes qui le précèdent immédiatement. Par exemple : 21 = 8 + l3 ; 55 = 21 + 34.
La disposition du cœur d'une fleur de tournesol est en effet régie par la suite de Fibonacci. On y retrouve deux groupes de spirales qui tournent en sens contraire. Le nombre de points qui forment ces spirales contraires correspond à des termes consécutifs de la série de Fibonacci.
L'Équation de Navier-Stoke.
Pour autant, un mystère demeure : selon l'œuvre de Douglas Adams, le nombre 42 serait la réponse à « la grande question sur la vie, l'univers et le reste ».
Le nombre d'or, aussi appelé ratio d'or, est un concept mathématique qui donne le nombre irrationnel phi ou Φ, qui équivaut approximativement à 1,618. Il provient de la séquence de Fibonacci, qui est une série de nombres dans laquelle le nombre suivant est la somme des deux nombres précédents.
Il a été sans doute découvert par des mathématiciens grecs de la haute Antiquité. Euclide (vers 300 av. J. -C.)
L'expression « nombre d'or » évoque la loi unique d'une harmonie universelle et le symbole même du beau. Il symboliserait la perfection, donnerait une explication universelle du sentiment esthétique, résumerait la géométrie de la beauté.
Le nombre d'or est donc approximativement de 1,6180339887. Il est représenté par la lettre grecque phi, Φ. Il est souvent nommé la "divine proportion", car il apparaît très fréquemment dans la nature. Par exemple, le nombre de pétales dans une fleur est très souvent un nombre issu de la suite de Fibonacci.
Le nombre d'or est une proportion sur laquelle s'appuient différents artistes pour la création de leurs œuvres que ce soit sous forme d'art, de peinture, de photographie, de musique et d'architecture, disciplines dans lesquelles on retrouve la botanique, l'arithmétique et la géométrie.
Son inventeur est Léonard de Pise (1175 - v. 1250), aussi connu sous le nom de Leonardo Fibonacci, qui a rapporté d'Orient la notation numérique indo-arabe et a écrit et traduit des livres influents de mathématiques.
La démonstration par récurrence sera très simple. La somme des carrés des n premiers nombres, issus de la suite de Fibonacci, est égale au produit du dernier terme de la suite et du suivant. [NDLC : il y a donc un après-dernier.] Nous devons donc vérifier que la formule (1) est vraie pour n = 0, n = 1 et n = 2.
On dessine ces lignes en définissant d'abord le plus haut et le plus bas d'un mouvement haussier ou baissier sur un graphique. Puis on applique les ratios de Fibonacci à la distance entre ce plus haut et ce plus bas. Le niveau correspondant à 0.0 % traverse le point de départ du retracement.
L'outil de Fibonacci s'utilise en plaçant les deux points d'ancrage sur le plus haut et le plus bas précédents. Les niveaux de Fibonacci obtenus servent ensuite de points de référence lorsque les cours commencent à retracer.
Le « 7 » est supposé porter bonheur car c'est un chiffre sacré dans de nombreuses religions. Dans la Bible, Dieu a créé le monde en sept jours. Les pèlerins musulmans tournent sept fois autour de la Kaaba, le grand cube noir de La Mecque. Et selon les hindous, le corps a sept sources d'énergie appelées les chakras.
Les nombres parfaits sont des entiers égaux à la somme de leurs diviseurs. Ainsi, 6 se divise par 2, 3 et 1. En additionnant 2, 3 et 1, on arrive à 6 ! Même chose pour 28, somme de 1 + 2 + 4 + 7 + 14.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
Un nombre égal à la somme de ses diviseurs propres est parfait. Un diviseur propre est un diviseur autre que le nombre lui-même. Le premier nombre parfait est 6. En effet 1, 2 et 3 sont les diviseurs propres de 6 et 1+2+3=6.
La suite de Fibonacci possède de nombreuses propriétés très utilisées en mathématiques. Une d'entre elles est que le rapport de deux nombres consécutifs de la suite est alternativement supérieur et inférieur au nombre d'or, un nombre remarquable qui vaut exactement 1.61803398…
On le note φ (phi) en hommage au sculpteur grec Phidias (Ve siècle avant J.C.) qui participa à la décoration du Parthénon sur l'Acropole à Athènes.
42 est la réponse à La grande question sur la vie, l'univers et le reste dans l'œuvre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique. Il reste alors à déterminer quelle était, précisément, la question.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
En binaire, c'est 42. Et 42 est la réponse à la grande question sur la vie, l'univers et le reste. Ou du moins c'est l'explication fournie par Douglas Adams.