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La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie chronique respiratoire. Chez les personnes atteintes, une inflammation des voies aériennes, et notamment des bronches) provoque l'épaississement de leurs parois, ainsi qu'une hypersécrétion réactionnelle de mucus.
La tomodensitométrie (TDM) thoracique est souvent utilisée pour caractériser la BPCO, dépister le cancer du poumon ou planifier des options chirurgicales. Mais elle offre désormais l'opportunité d'évaluer l'obésité et la sarcopénie grâce à des biomarqueurs des tissus mous.
Fibroscopie bronchique ou bronchoscopie
La fibroscopie bronchique est un examen qui permet de visualiser directement les bronches et la trachée.
Afin de diagnostiquer une maladie, différents examens sont pratiqués en pneumologie. Parmi les plus courants, l'on retrouve la radiographie du thorax, le scanner des poumons, la scintigraphie, la fibroscopie des bronches ou encore l'analyse des gaz du sang.
La bronchopneumopathie chronique obstructive se manifeste par une toux, avec une expectoration matinale (crachats), la toux du fumeur. Cette toux, d'abord intermittente, devient de plus en plus fréquente jusqu'à être persistante et chronique. Ces symptômes sont souvent appelés bronchite chronique.
Les principaux diagnostics différentiels sont l'asthme et les dilatations des bronches.
Électrocardiogramme : rechercher des signes en faveur d'une embolie pulmonaire, d'une coronaropathie, un trouble du rythme… Radiographie du thorax : rechercher une anomalie de la paroi thoracique, une anomalie pleurale, parenchymateuse pulmonaire, médiastinale, une cardiomégalie.
Un des symptômes les plus fréquents du cancer du poumon est une toux persistante. Quiconque fume appartient donc au plus grand groupe à risque, mais est souvent habitué à la «toux du fumeur» chronique et renonce à se faire examiner par un médecin.
L'examen physique pulmonaire s'organise en quatre temps : inspection, palpation, percussion et auscultation. Peu usité dans la pratique courante des infirmières françaises, il constitue pourtant une étape importante de l'examen clinique de la fonction respiratoire.
L'analyse des gaz du sang (ou gazométrie) est l'examen qui permet de porter de façon formelle le diagnostic d'insuffisance respiratoire. Elle est réalisée à partir d'un échantillon de sang, prélevé généralement au niveau du coude ou du poignet.
Quels sont les traitements indiqués dans la BPCO ? En première intention : les bronchodilatateurs de courte durée d'action, puis, en cas de dyspnée quotidienne et/ou d'exacerbations malgré leur utilisation pluriquotidienne un traitement continu par un bronchodilatateur de longue durée d'action (BDLA).
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Conservez votre énergie La BPCO peut causer fatigue et essoufflement. Mieux comprendre la réhabilitation respiratoire La réhabilitation respiratoire (RR) est essentielle dans le traitement de la BPCO, elle permet d'améliorer la qualité de vie.
La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie respiratoire chronique caractérisée par une obstruction permanente et progressive des voies aériennes. Sa cause principale est le tabagisme dans 85 % des cas mais aussi des expositions environnementales, notamment professionnelles.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
ganglions lymphatiques enflés dans le cou ou au-dessus de la clavicule; maux de tête.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
La spirométrie, la plethysmographie et la mesure de capacité de diffusion sont des examens non douloureux au cours desquels il est demandé au patient de respirer dans un embout situé dans la bouche. Un pince-nez est également mis en place pour éviter de fausser les mesures.
Une dyspnée peut être définie comme une difficulté respiratoire, accentuée à l'effort, en position couchée ou parfois sans raison apparente. Les principales causes de dyspnée sont d'origine cardiaque et pulmonaire. Par exemple, en lien avec un asthme, une BPCO ou une insuffisance cardiaque.
La spirométrie est un examen évaluant le fonctionnement des poumons.
Les termes « emphysème » ou « bronchite chronique » sont parfois utilisés pour désigner la BPCO. L'emphysème désigne habituellement la destruction des alvéoles pulmonaires. La bronchite chronique désigne une toux chronique accompagnée d'expectorations dues à l'inflammation des voies respiratoires.
La BPCO, elle, est une maladie que l'on contracte au contact de pathologies toxiques. Donc il faut un terrain prédisposé pour faire de l'asthme alors que pour la BPCO, il faut peut-être un terrain prédisposé mais il faut surtout une exposition à des produits toxiques inhalés."