Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
Selon le Platonisme, le sens de la vie serait d'obtenir la plus haute forme de connaissance, l'Idée du Bien; l'idée d'où dériverait toutes les choses bonnes et utiles.
La mort n'a pas de sens. Elle met fin à une vie. C'est la commune destinée de chaque individu. Il n'y a que la vie qui peut avoir un sens.
"Il n'y a que deux façons de vivre sa vie : l'une en faisant comme si rien n'était un miracle, l'autre comme si tout était un miracle." "Le sens de la vie est la plus pressante des questions". "Nous avons autant besoin de raisons de vivre que de quoi vivre".
Au-delà des connotations religieuses et spirituelles, le but d'une vie est simplement le message de votre vie. C'est le message que vous souhaitez apporter au monde durant votre existence sur terre (et peut-être au-delà). Avoir un but s'applique à nous tous, que nous soyons religieux, agnostique, ou même athée.
Définition "raison de vivre"
n. Motivation pour vivre (ex. la poterie était sa vie.)
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort est là, nous n'existons plus » (Lettre à Ménécée).
Vous croyez vraiment que des humains en vie aujourd'hui pourront échapper à la mort? Ce n'est pas certain, mais c'est très probable. J'estime à au moins 50% les chances que, d'ici 25 à 30 ans, de nouvelles technologies parviennent à minimiser les effets néfastes du vieillissement sur le corps.
L'organisme doit donc puiser dans son environnement, d'où la nécessité de respirer, etc. La mort intervient quand l'organisme ne peut plus puiser et maintenir son entropie basse. La principale source d'énergie sur Terre est la lumière du soleil qui permet la photosynthèse.
Le vide existentiel (perte du sens de la vie) implique la perte de contact avec soi-même, comme si petit à petit nous nous déconnections de nous-même et commencions à être spectateur de notre vie.
Pour avoir une idée de ce que vous voulez faire, vous devez d'abord avoir un point de référence, quelque part où commencer. Ce point de référence est basé sur vos expériences passées. Donc si vous n'avez pas accumulé assez d'expériences, alors vous n'obtiendrez pas le résultat que vous escomptiez.
Passer son existence ou une partie de son existence d'une certaine façon, et en particulier habiter quelque part : Vivre en ville. Il vit dans un petit appartement. 5. Avoir, mener tel type d'existence, donner telle orientation à sa vie : Vivre libre et indépendant.
La vie nous donne les amis et les ennemis qu'on mérite. Ce qui est le plus important dans la vie, c'est de donner à quelqu'un un peu de bonheur. Le sens de la vie c'est apprendre toujours, apprendre et transmettre parce que transmettre c'est donner, donner c'est aider, aider c'est avancer, avancer c'est grandir.
Ensemble des événements et des activités qui constituent le cadre et le contenu d'une existence, sur le plan individuel ou collectif. Ensemble des éléments qui donnent de la valeur à l'existence humaine.
Lorsque la mort survient après une longue maladie, les amis proches ressentent parfois ce que l'on appelle un chagrin anticipé. C'est une réaction émotionnelle à la perte avant la perte comme telle. Car l'acceptation de la mort s'est peut-être faite depuis déjà longtemps.
Le passé, trop souvent érigé en modèle, nous empêche de vivre pleinement le présent. L'oubli n'est pas une défaillance de la mémoire mais une force de la volonté qui veut savourer la vie. Oublier rend heureux. Sigmund Freud, Malaise dans la culture (1929).
Le temps, dont la nature est d'ailleurs pour nous une énigme, n'est en soi ni un allié ni un ennemi. Il est l'étoffe de notre existence dans la mesure où la manière d'être fondamentale de l'existant est de se projeter vers ce qui n'est pas encore en se souvenant de ce qui fut.
- « Après la mort, nous devenons successivement les habitants de la Lune, de Mercure, de Vénus, du Soleil, de Mars, de Jupiter et de Saturne, puis du firmament stellaire, pour ensuite nous contracter et nous réincarner » ; L'oubli s'installe, avec la réincarnation.
Nous la reproduisons donc, à toutes fins utiles : «Quand nous sommes là, la mort n'est pas là. Quand la mort est là, c'est nous qui n'y sommes pas. Elle ne concerne donc ni les vivants ni les trépassés, étant donné que pour les uns, elle n'est point, et que les autres ne sont plus.» A bon entendeur, salut !
Penser à sa propre fin, c'est convoquer des émotions très singulières. Et pour beaucoup, mieux vaut ne pas trop y penser. La mort reste une source inépuisable de questionnements et le point de départ, peut-être, de la philosophie. De Platon à Cicéron en passant par Montaigne, « philosopher c'est apprendre à mourir ».
Trouver sa raison d'être, c'est se dessiner à un instant T, une direction, un cap qui est à la jonction entre nos talents naturels, nos passions (ou centres d'intérêts) et ce dont le monde a besoin (et qui fait sens pour nous).
Comment retrouver la raison ? Dans ce recueil de courts essais, Jocelyn Maclure réfléchit aux conditions d'une conversation démocratique éclairée tout en contribuant à une meilleure compréhension de nos grands débats sur la justice sociale, l'identité, la laïcité, la religion, le droit et l'éthique publique.