Le SRAS-CoV-2 a fait officiellement 5 millions de victimes, mais d'après des estimations tout à fait crédibles, le véritable bilan de la pandémie serait plus près de 17 millions de morts. Quel que soit le chiffre retenu, la COVID-19 est bien placée sur notre liste des maladies les plus meurtrières de l'histoire.
Dans sa capside (l'enveloppe), il renferme le plus gros ADN viral connu : 1,259 million de paires de bases, formant 1.120 gènes codant pour autant de protéines. Megavirus chilensis vient ainsi voler le record de taille jusque-là détenu par Mimivirus, avec 979 protéines, découvert en 1992.
La peste noire a débuté aux abords de la mer noire vers 1340 et s'est rapidement étendue en Europe et dans certaines régions d'Asie, faisant 75 millions de morts. Elle aurait tué entre 30 et 50 % de la population européenne de 1347 à 1352, selon certaines estimations.
La bactérie, un staphylocoque blanc dont le nom savant est Staphylococcus epidermidis, est apparentée au staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à l'antibiotique méticilline (le SARM) plus connu et plus mortel. La bactérie S. epidermidis est naturellement présente sur la peau.
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
Les infections transmissibles par le sang (ITSg) sont des virus qui sont véhiculés par le sang, en particulier l'hépatite B, l'hépatite C et le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).
La fasciite nécrosante (également appelée maladie dévoreuse de chair) se manifeste par une forte fièvre, des douleurs, un rougissement de l'épiderme ainsi que par un œdème. Peu à peu, la peau se nécrose et devient violacée. La maladie non soignée peut aller jusqu'à provoquer un choc septique et le décès.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Les quatre causes de mortalité les plus fréquentes (tumeurs, maladies de l'appareil circulatoire, maladies de l'appareil respiratoire et morts violentes) totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès.
Transmise par une bactérie infectieuse, la lèpre est l'une des plus anciennes maladies décrites dans le monde, remontant à l'Antiquité. Durant l'histoire, les lépreux étaient condamnés à vivre reclus et stigmatisés.
L'infarctus du myocarde est une nécrose du myocarde se manifestant lorsqu'une ou plusieurs artères coronaires s'obstruent. De ce fait une partie du cœur n'est plus approvisionnée en sang et en oxygène.
Le plus ancien virus humain connu vient d'être découvert dans des échantillons datés de 31.000 ans. Mais cet adénovirus, qui infecte encore aujourd'hui la plupart des jeunes enfants, nous aurait été transmis par nos ancêtres de Neandertal. Les virus respiratoires nous gâchent nos hivers depuis au moins 31.000 ans.
L'holotype de ces virus qualifiés de géants a été identifié à l'université d'Aix-Marseille en 2003, dans un échantillon de flore microbienne collecté en 1992 dans le circuit d'eau chaude d'un hôpital anglais. Le premier virus géant connu a été découvert grâce à la coculture sur amibes.
WannaCry
Le rançongiciel infecte plus de 300 000 ordinateurs en quelques heures dans quelque 150 pays, en tirant parti des failles des versions de Microsoft Windows non mises à jour.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.
Cancer : le diagnostic. Le diagnostic d'un cancer nécessite la réalisation de plusieurs examens cliniques, biologiques et d'imagerie. L'ensemble de ces examens permet de proposer au patient la stratégie thérapeutique la plus adaptée à son cas. peuvent être pratiqués : examens cliniques, biologiques ou d'imagerie.
Les maladies cardiovasculaires regroupent les pathologies qui touchent le cœur et l'ensemble des vaisseaux sanguins, comme l'athérosclérose, les troubles du rythme cardiaque, l'hypertension artérielle, l'infarctus du myocarde, l'insuffisance cardiaque ou encore les accidents vasculaires cérébraux.
En 1995, la médecine venait à bout d'un cancer sur trois. Aujourd'hui, un cancer sur deux se guérit dans des pays aux systèmes de soins performants, comme la France. Dans un avenir proche, à l'horizon 2030, ce seront deux sur trois, voire trois cancers sur quatre qui trouveront une issue favorable.
En résumé, il n'y a rien de sale ou de toxique comme on peut malheureusement parfois l'entendre dire. Non, les femmes ayant leurs règles ne font pas pourrir le jambon en le touchant !
Les symptômes de l'empoisonnement du sang
Une accélération du rythme cardiaque. Des frissons. Une augmentation rapide ou le déclin de la température corporelle. Un rougissement de la peau.
C'est bien la présence de fer dans le sang qui en est la cause. Avec une part de 95%, les globules rouges (ou érythrocytes) constituent la majeure partie des cellules sanguines humaines.