Ville portuaire développée le long du lit de la Garonne, dans une zone où le fleuve arbore une forme en croissant de lune, Bordeaux a gagné le surnom poétique de : Port de la Lune.
Burdigala est le nom antique de la ville de Bordeaux, fondée au I er siècle av. J. -C. par l'Empire romain.
Autrefois la ville de Bordeaux était appelé « la belle endormie », en partie à cause du grand calme qui y régnait. C'est également le nom d'une position du Kamasutra.
Surnommée « le port de la lune », la ville de Bordeaux a longtemps été appelée aussi « la belle endormie » mais ce sobriquet n'est plus d'actualité aujourd'hui.
Bordeaux est connue dans le monde grâce à son vignoble, sa gastronomie et son art de vivre. Mais, fort de sa riche histoire, elle est également reconnue pour son patrimoine historique et surprendra par sa modernité et ses oeuvres architecturales contemporaines.
Ville portuaire développée le long du lit de la Garonne, dans une zone où le fleuve arbore une forme en croissant de lune, Bordeaux a gagné le surnom poétique de : Port de la Lune.
Retenons alors que la ville de Bordeaux a été fondée par les Bituriges Vivisci et qu'ils nommèrent leur cité Burdigala. Un mot qui subira de profonds changements au fil des siècles, passant de «bordiaus», «bordèu» (en occitan gascon) à bordale et enfin Bordeaux.
Bordeaux partage de nombreux points communs avec la capitale française : architecture haussmannienne, ruelles pavées, bistrots et cafés atypiques… Ce n'est pas pour rien que la ville est surnommée le petit Paris.
Périphrases désignant des villes
La Ville blanche est le surnom donné depuis le Moyen Âge à la ville française de La Rochelle par les étrangers, notamment les Anglais. La Ville blanche est également le surnom de la capitale portugaise Lisbonne, en raison de la luminosité qui empreint ses façades ocre.
Paname, Pantruche, Pampeluche... La capitale s'est vu attribuer des mots fleuris, voire surprenants, au début du siècle dernier. Connaissez-vous leur histoire ? Claude Duneton (1935-2012) était revenu sur ces nombreux surnoms.
Bordeaux élue plus belle ville du monde par le palmarès annuel Lonely Planet. Le Best of 2017 de Lonely Planet place en effet Bordeaux à la tête du classement des villes les plus attractives. Déjà récompensée pour être la plus belle cité de France, Bordeaux s'offre ainsi une récompense méritée.
Ville historique de pierres et de vins, Bordeaux est aussi une destination plébiscitée pour ses ambiances urbaines, sa gastronomie et son effervescence culturelle. Une destination où la douceur de vivre et l'éco-responsabilité imprègnent chaque coin de rue.
Plus de 26 siècles plus tard, Marseille a gardé de cette période le surnom éternel de "cité phocéenne".
Port de la Lune en raison de l'harmonieuse courbe semi-circulaire que la Garonne épouse au sein de la ville. Le blason de la ville prend le dessin du croissant de lune argenté sur fond bleu qui signifie le fleuve.
Burdigala est fondée au I er siècle av. J. -C. par les Bituriges Vivisques (littéralement « Bituriges déplacés »), peuple gaulois de la région de Bourges qui contrôlait, depuis le port intérieur, le trafic de l'étain amené d'Armorique et de Bretagne (Grande-Bretagne, Cornouailles).
Big Apple, Ville Lumière, la Venise du Nord ou encore la Sérénissime.
Capitale des Gaules, Ville des lumières, Cité des gones... les périphrases sont nombreuses.
Strasbourg mérite son surnom de carrefour européen : reliée efficacement par son réseau autoroutier aussi bien à la France qu'à l'Allemagne, la ville joue sur les deux tableaux et est un paradis pour les frontaliers.
Nantes tient son surnom de cité des Ducs du fait qu'on y trouve les châteaux des Ducs de Bretagne. On l'appelle également cité des Ducs de Bretagne pour ne pas la confondre avec Dijon qui, elle aussi est surnommée cité des Ducs, mais cette fois ci, de Bourgogne.
Toulouse, la ville rose.
La ville de Nice est aussi appelée « Nissa la bella » par ses habitants. C'est d'ailleurs un hymne chanté en langue niçoise en l'honneur de la ville et du Pays niçois.
C'est une roche calcaire d'origine lacustre âgée de l'Aquitanien (de −23 à −20,5 millions d'années). Il doit son nom aux innombrables petits « osselets » constitutifs des bras d'étoiles de mer du genre Asterias.
C'est à l'origine, à la fin du XIX e siècle, le nom commercial d'un colorant de synthèse, donnant un rouge violacé, adopté en référence à la teinte des vins du Bordelais. Le champ des nuances désignées par le terme bordeaux déborde cependant largement de celui des couleurs des vins.