Étymologie. Joli dérive probablement du scandinave : jól, nom d'une grande fête païenne du milieu de l'hiver, avec le suffixe -if (sur le modèle d'aisif « agréable », dérivé d'aise).
Étymologie. (Date à préciser) Dérivé de doux , avec le suffixe -ce .
joyeux adj. Qui éprouve de la joie, qui est gai.
Par exemple, gentil et gentiment (le suffixe est ment). Gentil est un adjectif alors que gentiment est un adverbe.
Étymologie. De amour, avec le suffixe -eux.
Étymologie. Dérivé de peace (« paix »), avec le suffixe -ful .
Le verbe « joier » est un verbe du premier groupe.
béatitude, bien-être, bonheur, contentement, délice, exaltation, ivresse, jubilation, plaisir, ravissement, régal, satisfaction, volupté.
Dans ce sens, le mot joie a pour contraires les mots abattement , dépit , chagrin .
Synchroniquement, dérivé de beau , avec le suffixe -té .
De triste, avec le suffixe -ifier.
Le suffixe
Il modifie son sens. Dans le mot « fillette », -ette est un suffixe qui modifie le sens du mot « fille ».
Manger. (Siècle à préciser) De manger avec le suffixe -able.
Étymologie. Dérivé de heur, signifiant « avoir la chance de », avec le suffixe -eux.
Dérivé du radical lis- des formes conjuguées du verbe lire avec le suffixe -ible (→ voir -able).
Sentiment de plaisir, de bonheur intense, caractérisé par sa plénitude et sa durée limitée, et éprouvé par quelqu'un dont une aspiration, un désir est satisfait ou en voie de l'être : Ressentir une grande joie. Être fou de joie.
Femme qui se prostitue. Synonyme : call-girl, fille, fille de joie, fille publique.
JOIE, subst. fém. A. − Émotion vive, agréable, limitée dans le temps; sentiment de plénitude qui affecte l'être entier au moment où ses aspirations, ses ambitions, ses désirs ou ses rêves viennent à être satisfaits d'une manière effective ou imaginaire.
Du lat. gaudia, plur. de gaudium (« contentement, aise, plaisir, joie; plaisir des sens, volupté; personne, chose source de joie » dans la lang. class., caelestis gaudium, gaudium Domini « joie éternelle, joie du ciel » dans la lang. chrét.), employé à basse époque comme fém.
Le déterminant quel
Dites-nous quel diplôme vous préparez. Quelle joie de le revoir enfin ! Quel porte les marques de genre et de nombre du nom qu'il détermine et peut donc s'écrire quel, quelle, quels, quelles. Il est également employé dans les locutions quel et je ne sais quel.
La joie est bien particulière, car elle peut se manifester de manières très différentes: le sourire, le rire ou même les larmes! Souvent, pour exprimer sa joie, on peut avoir envie de crier, de parler très vite… ou de chanter!
Étymologie. Dérivé de jour (ancien français jorn ) avec le suffixe -ée → voir journade.
Dérivé de parfait, par son féminin parfaite, avec le suffixe -ment.
-ir Pour former des verbes. 1. La base est un nom. Finir, fleurir.