Quel est le salaire d'un traducteur/interprète ? Salarié, un traducteur-interprète débutant gagne environ entre 1 800 à 2 100 € bruts par mois en début de carrière. Indépendant, ce professionnel est rémunéré à la mission. Le traducteur d'édition a le statut d'auteur et est donc payé en droit d'auteur.
Elle dépend de son expérience, de sa spécialisation, de son statut (libéral, salarié ou militaire). Pour un traducteur débutant : entre 2 000 € et 3 000 € brut (source APEC). Armée de terre : 1 384 € net mensuel dès l'affectation (hors primes pour un célibataire sans charge de famille).
Il touche en moyenne entre 500 et 1 000 € brut par jour avec défraiement en plus.
Maîtriser une ou plusieurs langues étrangères demande du temps. L'essentiel des formations en traduction et interprétation débouche sur des diplômes de niveau bac + 5.
La parfaite maîtrise des deux langues de travail n'est qu'un prérequis pour développer les compétences de traducteur. Pour être en mesure de fournir une traduction de qualité, il est vivement conseillé de suivre une formation spécialisée en plus de vos études en langue étrangère.
Même à Bac+5, il n'est cependant pas aisé de débuter dans ce domaine. Qu'elles recrutent pour étoffer leur pool de traducteurs ou qu'elles fassent appel à des indépendants, les agences de traduction exigent généralement 2 ans d'expérience.
D'abord il faut vous créer un compte sur HERMES, la plateforme de recrutement mise en place par Netflix en mars. Vous devrez d'abord effectuer des tests pour que votre niveau soit évalué. Si vous êtes retenu, vous pourrez participer à la traduction des centaines d'épisodes de la base de données.
L'interprète traduit les propos d'une personne parlant dans une autre langue. Il le fait dans le cadre de conférences réunissant des personnalités du monde entier, dans des entreprises privées ou lors de rencontres professionnelles ou diplomatiques.
Les traducteurs travaillent souvent dans l'import-export, le marketing et la promotion des ventes ; parfois dans la communication. ils sont beaucoup moins nombreux à exercer dans l'édition (traduction littéraire) ou l'audiovisuel (doublage, adaptation).
Pour devenir traducteur ou interprète, mieux vaut miser sur un diplôme de niveau Bac+5. Les masters Industrie de la langue et traduction spécialisée, Traduction professionnelle et spécialisée ou encore le master Métiers de la traduction et de la communication multilingue et multimédia sont des formations envisageables.
En tant que locuteur natif, un traducteur professionnel peut restituer les expressions idiomatiques de manière naturelle dans sa traduction. Par ailleurs, il est également coutumier des normes culturelles et des valeurs du groupe cible, ce qui lui permet d'adapter le texte quand le besoin s'en fait sentir.
Mais pour devenir un traducteur-interprète diplômé, il est généralement recommandé d'obtenir d'abord une licence par exemple en Langue, Littérature et Civilisation Étrangère (LLCE) ou en Langues Étrangères Appliquées (LEA). Ensuite, il faut poursuivre les études jusqu'à être titulaire d'un Bac + 5.
Il n'y a pas de niveau de diplôme requis, tout citoyen français majeur ayant un casier judiciaire vierge peut postuler. Il est évident qu'il faut parler / écrire couramment au moins une langue étrangère, des études supérieures en langue sont donc généralement requises.
La plus grande différence entre l'interprétation et la traduction réside dans le support de chaque service : les interprètes traduisent oralement la langue parlée, tandis que les traducteurs traduisent la langue écrite.
Les deux écoles les plus réputées en France sont surement l'ESIT (Ecole Supérieure d'Interprète et de Traducteur) de Paris 3 et l'ISIT (Institut de Management et de Communication Interculturels anciennement Institut Supérieure d'Interprétation et de Traduction) toujours à Paris.
Translate.google.fr
Sans doute le traducteur le plus utilisé. Avec 66 langues disponibles, le logiciel de Google permet de traduire jusqu'à 30 000 signes d'un coup.
Pour devenir traducteur audiovisuel, il faut être passionné par les métiers de langue. Il faut en maîtriser plusieurs. Ensuite, il faut suivre une formation adaptée. En principe, il est idéal d'avoir un bac + 5 pour exercer ce métier.
Il n'existe pas de parcours type pour devenir sous-titreur, mais plusieurs universités offrent une formation préparant à ce métier. Par exemple, c'est le cas de l'Université de Lille avec le Master MéLexTra (Métiers du lexique et de la traduction).
Avec la mondialisation et l'émergence des organisations internationales, l'existence des traducteurs est indispensable. Plusieurs raisons peuvent pousser les jeunes à entamer des études de traduction : l'envie de voyage, de partage, de communication, ou encore la passion pour les langues.
Bien que ce titre soit protégé par la loi, aucune formation particulière n'est nécessaire pour devenir traducteur assermenté. Pour candidater, la procédure consiste à déposer un dossier au Tribunal de Grande Instance de votre circonscription.
Description du travail. Les traducteur(-trice)s traduisent des textes d'une langue vers une autre. Les interprètes expriment oralement dans une langue ce qui a été dit dans une autre langue. Les terminologues répertorient des termes, les définissent et cherchent leurs équivalents dans une autre langue.