Les points de suspension servent principalement à : Signaler une interruption, notamment dans une énumération. Ils servent en outre à marquer une réticence, et peuvent exprimer les sentiments les plus divers, comme la crainte, l'étonnement, la confusion : J'ai lu des rapports, des comptes rendus, des procès-verbaux…
Les points de suspension peuvent, en fonction des circonstances et du sujet abordé, apporter un large éventail de nuances au sens d'une phrase. Ils peuvent être le signe d'une certaine hésitation, d'une indécision ou d'une réticence. Ils peuvent aussi symboliser une situation ou une action inachevée.
Le point (du latin punctum, d'où ponctuation) est un signe de ponctuation qui sert à marquer la fin d'une phrase, d'un syntagme, d'un groupe de sens important, et peut donc marquer graphiquement une pause relativement longue dans un énoncé.
"Les trois petits points peuvent être un marqueur d'opposition que l'on n'est pas capable d'exprimer directement. En réalité, l'interlocuteur bouillonne et peut finir par exprimer son mécontentement ailleurs, en ne faisant pas correctement ce qui lui est demandé, par exemple", décrypte la psychologue Vanessa Lalo.
Les deux-points sont un signe de ponctuation constitué de deux points disposés verticalement et dont la fonction est d'insérer, généralement en fin de phrase, un énoncé juxtaposé à ce qui précède, un discours direct ou une série d'éléments constituant une énumération.
La virgule ( , ) marque une courte pause dans la lecture et permet de respirer. Elle sépare des groupes de mots. Les deux-points ( : ) se placent avant une explication ou une précision dans la phrase. Ils ne marquent pas la fin d'une phrase et ne sont donc pas suivis d'une majuscule.
Le point-virgule marque une pause plus importante et plus longue que la virgule lors de la lecture. L'intonation est marquée, autant que le point en fin de phrase. Il est encadré d'une espace entre le mot qui le précède et le mot qui le suit.
Ces points de suspension s'emploient au choix de l'auteur comme une ponctuation de fin de phrase ou comme une ponctuation du même type que le point-virgule. Ainsi, on mettra une majuscule après les trois points… sauf si la suspension est pensée comme pouvant se prolonger.
AVAIL - "OK" est un terme de base permettant d'exprimer son accord à haute voix mais quand on l'utilise dans un espace de travail dématérialisé, comme Slack ou Google Chat, ou par e-mail, le risque est grand d'induire une certaine négativité ou de l'agressivité.
Si un garçon joue avec vos sentiments, cela signifie que vous êtes attirée par lui, mais que cela n'est pas forcément réciproque. Dans cette situation, il ne souhaitera pas la même chose que vous de votre relation et ne se montrera pas honnête à propos de ses intentions, jouant de vos sentiments.
Le point d'exclamation est un signe de ponctuation qui exprime l'exclamation. On le place après un mot, une locution ou une phrase exprimant un sentiment tel que la joie, la surprise, l'indignation, l'étonnement, l'ironie, etc.
Les deux points séparent toujours des éléments qui sont unis par un lien logique étroit. Ce signe est également appelé les deux-points, le double point et, plus particulièrement dans la langue de la typographie, le deux-points.
On les nomme alors «points de coupure» ou encore, «point d'omission».
Le point d'exclamation termine une phrase exclamative et permet d'indiquer une impression comme la colère, la surprise, l'admiration, l'étonnement etc. Pourquoi mettre un point ? La ponctuation précise le sens de la phrase. Elle sert à fixer les rapports entre les propositions et les idées.
Les points de suspension ont la même signification grammaticale que les points si l'on s'arrête après eux, et sont donc suivi d'une majuscule. Et points de suspension, si commodes pour exprimer tout ce qu'on ne dit pas ! Il devrait s'appeler point de sous-entendu, çui-là !
Selon Malene Rydahl, conférencière et spécialiste du sujet, il y aurait trois raisons principales pour ne pas répondre tout de suite : un simple oubli, par manque de temps ou parce qu'il y a trop de messages reçus.
Re : Signification de "pourquoi pas"
"pourquoi pas" et "oui, pourquoi pas" sont identiques. On dit pourquoi pas pour répondre à quelqu'un qui a formulé une hypothèse à laquelle on n'avait pas pensé, et qui, à première vue, est judicieuse. C'est donc positif !
De façon générale, un homme qui met du temps à répondre à un SMS a des chances de ne pas être intéressé.
Quand les points de suspension marquent la continuité d'une énumération, ils indiquent que celle-ci est volontairement écourtée afin d'abréger le discours. Ces trois points doivent être suivis par une majuscule puisqu'ils marquent tout de même la fin de la phrase.
Si une femme ou un homme utilise une quantité anormale de points d'exclamation dans ses sms, il faut tout de suite voir un message derrière eux et comprendre leur signification. Un SMS tel que « Oui !!!!! » montrera une forte insistance ou signifiera que l'élu de votre cœur est très heureux, tout simplement.
Faire le symbole "points de suspension" sous Windows : Alt + 0 1 3 3 = … La technique : Vous gardez la touche Alt enfoncée (touche juste à gauche de la barre Espace), puis vous tapez successivement les chiffres 0 1 3 3 puis vous relâchez enfin la touche Alt , ce qui fera apparaître le symbole "points de suspension" : …
Les guillemets servent à isoler des mots ou des phrases. Ils s'apparentent à l'italique, avec lequel ils entrent d'ailleurs en concurrence pour un bon nombre de fonctions, comme lorsqu'il faut reproduire des titres d'ouvrages ou faire ressortir des mots qu'on emploie dans un sens spécial.
Simple ou double, le tiret a principalement pour rôle de créer un effet d'insistance et de signaler un changement de niveau dans le discours. Comme il détache les éléments de la phrase plus nettement que ne le fait la virgule, le tiret contribue à la clarté de l'expression et facilite ainsi la tâche au lecteur.
Après les deux points, on ne met en principe la majuscule qu'aux noms propres et qu'au premier mot des citations : La ville est tout illuminée : Noël approche. Elle pensait à cette phrase d'Ionesco : « Un médecin consciencieux doit mourir avec le malade s'ils ne peuvent pas guérir ensemble. »