En compétition, la plongée libre fait partie des sports extrêmes en raison des risques inhérents à la recherche de la performance. Le record de durée (apnée statique) sans inhalation de dioxygène est détenu par le Serbe Branko Petrović et s'établit à 11 minutes et 54 secondes.
Sans inhaler d'oxygène avant l'immersion, le Danois de 47 ans a parcouru 202 mètres en apnée avec une monopalme, au large de la ville mexicaine de La Paz. Réalisé en novembre dernier, l'exploit a été rendu public le 7 janvier 2021.
En 2014, le Croate Goran Colak a battu le record mondial d'apnée statique en restant vingt-trois minutes dans l'eau sans respirer.
Onze minutes et 35 secondes, c'est le record du monde d'apnée statique sous-marine. Son détenteur depuis 2009, le Français Stéphane Mifsud, serait bien incapable d'enregistrer ce temps en surface.
L'apnéiste doit retenir le plus longtemps possible sa respiration, la tête dans l'eau. L'apnée statique est pratiquée en surface, en position allongée et immobile. Stéphane Mifsud détient un record du monde incroyable de 11'35″, qui tient depuis plus de 12 ans.
La respiration passe par le nez, équipé de filtres, d'humidifiants, et d'une climatisation qui régule la température de l'air inspiré. Mais pour l'apnée, le port du masque ou du pince-nez justifie la ventilation buccale.
Inspirez lentement par le diaphragme.
Commencez à inspirer pendant cinq secondes. Ensuite, ajoutez-y une seconde à chaque inspiration. Cela permet d'étirer vos poumons et d'augmenter votre capacité à retenir votre respiration. Vous n'aurez pas plus d'air en gonflant les joues.
Il peut être dangereux de tenter de retenir sa respiration plus longtemps, particulièrement sous l'eau. Pour survivre, notre organisme a besoin d'oxygène (O2) et de dioxyde de carbone (CO2). Le réflexe de la respiration est déclenché par la proportion d'O2 et de CO2 dans le circuit sanguin.
Inspirer profondément mais doucement par le nez, puis expirer violemment par la bouche. Contre l'extrême tension. En inspirant, mobiliser autant de muscles que possible. Puis retenir son souffle un instant avant d'expirer lentement et de détendre simultanément les muscles.
Les humains sont des mammifères. Leurs poumons captent de l'oxygène (appelé plus justement dioxygène) quand il est sous sa forme gazeuse. Mais les humains ne peuvent pas utiliser ce même dioxygène quand il est dissout dans l'eau.
Avec 97 mètres, Marianna Gillespie a battu le record du monde d'apnée en poids constant bi-palmes de l'AIDA, et Abdelatif Alouach est devenu champion du monde en descendant à 111 mètres, lors des Championnats du monde d'apnée organisés par l'AIDA, l'Association internationale pour le développement de l'apnée, à Roatan, ...
L'apnée du sommeil ou syndrome d'apnées–hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) est un trouble de la ventilation nocturne dû à la survenue anormalement fréquente de pauses respiratoires. Ce syndrome est dû à des épisodes répétés d'obstruction des conduits respiratoires de l'arrière gorge.
Dans le cadre de ces recherches, Jacques Mayol a établi de nombreux records du monde de plongée en apnée. Ainsi, il atteint les 60 m en 1966 puis les 101 m en 1976, franchissant alors le cap symbolique des 100 m.
L'arrêt respiratoire ou asphyxie se produit lorsque la respiration s'arrête, le cerveau ne reçoit plus d'oxygène et la personne perd conscience. Nous sommes donc en présence d'une personne inconsciente (immobile et ne répondant pas aux stimuli), qui ne respire pas, mais dont le pouls est encore actif.
Pensionnaire de la Chukwuebuka School au Nigeria, Chinonso Eche est parvenu à toucher 111 fois le ballon en une minute tout en maintenant un ballon en équilibre sur sa tête. C'est un nouveau record du monde.
Des études et l'expérience quotidienne suggèrent qu'après avoir gonflé les poumons au maximum, nous ne pouvons généralement pas retenir notre respiration plus d'une minute environ. Pourtant, les poumons à eux seuls contiennent en théorie suffisamment d'oxygène pour assurer le métabolisme pendant près de quatre minutes.
Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Vider son air progressivement et entièrement par le nez jusqu'à ne plus en avoir (comme exercice précédent). Faire des petites bulles. Sortir la tête de l'eau pour reprendre de l'air avec la bouche puis remettre la tête sous l'eau pour expirer par le nez.
Mettez-vous sur le ventre en gardant vos pieds au sol et respirer comme en brasse pendant une minute. En crawl, l'inspiration se fait en tournant la tête sur le côté. En gardant la même posture, faites l'exercice de respirer comme en crawl. Rappelez-vous d'inspirer par la bouche et d'expirer par la bouche et le nez.
L'eau qu'ils absorbent par la bouche passe en permanence sur ces branchies et au passage, les capillaires qui les irriguent captent les molécules d'oxygène nécessaires à travers une membrane qui filtre.
Expirez par la bouche. Pour bien vider vos poumons, c'est lentement et par la bouche qu'il faut rejeter l'air vicié. Pour vous aider à ralentir l'expiration, imaginez que vous soufflez l'air à travers une paille. Le bon tempo: le temps passé à l'expiration doit être le double de celui passé à l'inspiration.
La respiration dite carrée s'exécute en 4 temps égaux : temps d'inspiration = temps de rétention (apnée poumons pleins) = temps d'expiration = temps de rétention (apnée poumons vides).
Avec un détendeur on ventile par la bouche, inspiration et expiration, plutôt qu'inspirer par le nez et expirer par le nez ou la bouche, comme la plupart d'entre nous en surface normalement.
Comment respirer sous l'eau ? Grâce à des branchies situées à la base du cou. Cette « sirène » rappelle l'axolotl, salamandre cavernicole qui conserve des traits larvaires, dont des branchies externes.
Le syndrome d'apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS, autrefois appelé SAOS, syndrome d'apnées obstructives du sommeil) est un trouble du sommeil où le dormeur souffre de pauses respiratoires ou de diminution du débit respiratoire.