Chaque rencontre est une étape dans le parcours initiatique de Candide, qui évolue et construit petit à petit sa propre philosophie de vie. Voltaire nous montre en même temps le personnage de Pangloss, qui reste figé dans les préceptes de la philosophie optimiste.
I/ L'Evolution des Personnages a) Candide : enrichi par ses voyages , a donc plus d'experience qu'au début ou il était plutôt naif b)Cunégonde : Belle et Attirante au début , le fruit de la passion pour Candide Fin : Laide et usée par le travail mais le Travail compense la Laideur = excellente pâtissière c) Pangloss : ...
Mais Candide est un personnage qui est voué par nature à évoluer. Son voyage va lui permettre de découvrir les réalités les plus cruelles du monde, mais aussi de conquérir son autonomie, son indépendance : en un mot de prendre en main son destin.
Il enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie qui regroupe la méthaphysique, la théologie et la cosmologie. On peut remarquer ici que Voltaire fait de Pangloss un personnage stupide du fait qu'il enseigne une matière qui en regroupe trois autres et qui relier entre elles n'aboutissent a rien.
En effet, Candide a tué (ou croit avoir tué) trois hommes : le « juif Issachar », le Grand Inquisiteur et le jeune Baron, frère de Cunégonde. Lorsque Candide retrouve Cunégonde à Lisbonne, elle est la propriété d'un banquier israélite qui l'a achetée pour en faire sa maîtresse.
« Il faut cultiver notre jardin », dit Candide à Pangloss à la fin du célèbre conte philosophique Candide ou l'Optimiste ; Voltaire précise que le jardin d'Eden n'a pas été créé pour que l'homme trouve le repos mais pour qu'il y travaille, qu'il exerce son talent.
Une fin heureuse
Or, le genre du conte a certaines règles à laquelle cette conclusion fait aboutir. Candide est un héros qui a surmonté toutes les épreuves énumérés par Pangloss. Surtout, il a atteint l'objet ultime de sa quête : l'amour de Cunégonde. En outre, le conte se termine par une dénouement heureux.
Pour empêcher la terre de trembler à nouveau, l'Inquisition décide alors de procéder à un autodafé : deux Portugais soupçonnés de judaïsme sont brûlés, Pangloss est pendu, Candide est flagellé. Le même jour la terre tremble de nouveau dans un fracas épouvantable.
Pangloss est un personnage de Candide ou l'Optimisme, conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759 . Il symbolise la philosophie de l'optimisme béat, décriée par Voltaire.
Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu'il était fils de la sœur de monsieur le baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par ...
Martin incarne l'Anti-Pangloss. Il est en effet pessimiste, négatif et ne croit absolument pas au bonheur. Cacambo est le valet de Candide et apparaît pour la première fois dans le chapitre 14. Il est un des rares personnages a donner des conseils utiles a Candide.
A la fin du conte, Candide décide d'écarter le frère de Cunégonde. En effet, le jeune baron de Thunder-Ten-Tronck refuse obstinément que Candide épouse Cunégonde, parce qu'il n'est pas assez noble pour elle.
Voltaire et l'Optimisme
Voltaire montre le chemin intellectuel de Candide, qui est celui d'une désillusion : l'optimisme, dit Candide, c'est la manie de dire que les choses sont bien quand on est en enfer. En effet, Candide apprend que la quantité de bien est bien inférieure à celle du mal.
Le but de Voltaire, en écrivant Candide ou l'Optimisme, est de lutter contre le mal. S'il est impossible d'agir contre les catastrophes naturelles ( raz de marée et tremblement de terre à Lisbonne ), nombre de maux qui accablent les hommes peuvent être supprimés.
Candide, comme l'indique son nom, est un jeune garçon optimiste et assez naïf. Secrètement, il a une admiration pour son maitre Pangloss qui lui enseignait la philosophie de l'optimisme, selon laquelle «tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles».
Pangloss : c'est le précepteur de Candide. Il est comique, et Voltaire se sert de ce personnage pour ridiculiser la science et surtout la théorie de Leibnitz, philosophe, en disant « Tout est aux mieux dans le meilleur des mondes ». Phrase répétée : "tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles".
Dans ce cas "Il faut cultiver notre jardin" signifierait cultiver son propre savoir-faire et se mettre à exercer ses talents afin de faire fructifier au maximum ce que la vie nous a donné, de donner un sens à notre vie et d'atteindre la liberté spirituelle.
Voltaire : « Cultivons notre jardin. » | L'Histoire en citations.
Le récit a lieu au château du baron de thunder-ten-tronckh en Allemagne. Candide, un jeune homme dont la naissance est suspecte, sans richesse, est l'élève du philosophe Pangloss, indéfectible optimiste croyant en la perfection du monde.
Sainte Cunégonde, épouse d'un empereur germanique au XIe siècle, fit vœu de chasteté. Si Candide est le fils de la tante de Cunégonde (la sœur du baron), alors Candide et Cunégonde sont cousins germains (quel que soit le père de Candide) ; Voltaire ne mentionne jamais cela… Pangloss : litt.
Dans Candide, de Voltaire, Cunégonde est la fille du baron Thunder-ten-tronckh, elle est la cousine de Candide et est amoureuse de lui.