Depuis les Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, la France est souvent appelée « la patrie des droits de l'homme », en raison de la vocation universelle de cette première déclaration des droits de l'homme.
Les pays participants à l'origine de la Déclaration sont le Canada, les États-Unis, la France, la Belgique, le Chili, la Chine et le Liban.
La première Déclaration des droits humains est celle de l'État de Virginie (États-Unis), écrite par George Mason et adoptée par la Convention de Virginie le 12 juin 1776 (appelée en anglais le Bill of Rights américain).
1780 : La Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen — un document rédigé en France, stipulant que tous les citoyens sont égaux devant la loi. 1948 : La Déclaration universelle des droits de l'Homme — le premier document proclamant les trente droits auxquels chaque être humain a droit.
Les droits de l'homme sont indivisibles. Qu'ils soient civils, culturels, économiques, politiques ou sociaux, ces droits sont inhérents à la dignité de la personne humaine. En conséquence, ils ont tous la même valeur en tant que droits. Il n'y a aucun droit qui ait « moins d'importance » que les autres.
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
La Convention protège :
le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité d'une personne. le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
La Déclaration universelle des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies en 1948, fut le premier document juridique visant à protéger universellement les droits fondamentaux de l'homme.
Syrie, Corée du Nord, Arabie Saoudite, Chine... Les pays où les droits humains sont menacés sont nombreux. Le 10 décembre, instauré journée internationale des droits de l'Homme par les Nations unies, est l'occastion de se pencher sur ces coins du globe où leur respect vacille ou n'existe plus.
La liberté est le désir de chacun de faire ce qu'il veut sans contraintes. C'est aussi de pouvoir choisir, décider et agir selon son gré, sans pression ni contrainte extérieure.
La soi-disant « théorie des trois générations de droits humains » divise les droits humains en trois générations distinctes sur la base (1) des droits civils et politiques, (2) des droits économiques, sociaux et culturels et (3) des droits collectifs ou de solidarité.
Depuis les Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, la France est souvent appelée « la patrie des droits de l'homme », en raison de la vocation universelle de cette première déclaration des droits de l'homme.
Ils sont rwandais, afghans ou argentins.
A l'occasion de la célébration des 70 ans de la Déclaration universelle des droits de l'Homme le 10 décembre 2018, le Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes (HCE) appelle préférer l'expression « droits humains » à celle de « droits de l'Homme ».
Il y a des limites d'ordre juridique qui concernent certaines catégories de personne dans la société nationale : L'âge et la majorité → Les droits politiques ne seront effectifs qu'à la majorité, pour la France, c'est en 1974 qu'on a décidé que la majorité était de 18 ans.
Le droit d'asile, celui de ne pas être soumis à la torture, les droits à la liberté de parole et à l'éducation sont quelques-uns des 30 droits et libertés énoncés dans la Déclaration universelle des droits de l'homme.
Le droit a un contenu délimité qui porte ou se rapporte à un objet précis et défini. La liberté est d'essence universelle et est indéterminée. Le troisième critère distinctif réside dans la portée respective des droits et libertés.
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
2 - La fabrication de la loi
L'initiative des lois appartient au Premier ministre et aux membres du Parlement, députés et sénateurs. Mais si le Gouvernement le demande, c'est l'Assemblée nationale qui statue en dernier lieu, disposant ainsi du " dernier mot ".
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Les droits humains sont les droits inaliénables de tous les êtres humains, sans distinction aucune, notamment de race, de sexe, de nationalité, d'origine ethnique, de langue, de religion ou de toute autre situation. Les droits humains incluent le droit à la vie et à la liberté.