Perdre, délaisser, abandonner. Sacrifier une chose, une personne à une autre.
Synon. holocauste, immolation, oblation, offrande. Agréer un sacrifice; faire, offrir un sacrifice; offrir qqc.
sacrificiel adj. Propre à un sacrifice religieux.
1. Offrande à une divinité et, en particulier, immolation de victimes. 2. Effort volontairement produit, peine volontairement acceptée dans un dessein religieux d'expiation ou d'intercession.
SACRIFICE, subst. masc. 1. Action sacrée par laquelle une personne, une communauté offre à la divinité, selon un certain rite, et pour se la concilier, une victime mise à mort (réellement ou symboliquement) ou des objets qu'elle abandonne ou brûle sur un autel.
Tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé."
L'étymologie, quant à elle, rattache « sacrifier » au latin sacrificare, un composé de sacrum facere, faire un acte sacré [1] Neusch (éd.), Le sacrifice…. Avant même de décrire le sacrifice tel que le présente la Bible, il convient donc de commencer par clarifier la question des définitions.
Ils avaient entre 5 et 14 ans et ont été tués au 15e siècle dans le cadre d'un rituel: au Pérou, les restes d'au moins 251 enfants, preuve du plus grand sacrifice humain de ce genre dans l'Histoire, seront bientôt rassemblés dans un musée.
Selon l 'Évangile, texte où est consigné le Message de Jésus-Christ, la plus grande marque d'amour sur terre a été manifestée par la mort sacrificielle de Jésus sur la croix. Il a, ainsi, montré le plus grand type d'amour qui puisse exister en mourant pour ses amis.
(Religion) Celui qui sacrifie, ministre préposé pour faire les sacrifices, en parlant des religions qui pratiquent des sacrifices. Les sacrificateurs s'emparèrent de la victime.
brave, intrépide, persévérant, téméraire, vaillant, valeureux; b) anton. couard, craintif, faible, lâche, peureux, poltron, timide. 3. [En parlant (d'un trait) du comportement] Qui exprime le courage.
dur, exigeant, intransigeant, rigide, rigoriste, strict.
a) Qui est sanguinaire, cruel, brutal.
Palmes de la victoire : symbole du sacrifice et de la victoire. Elles sont aussi le symbole du martyre. Rameau d'olivier : symbole de paix et de Gloire Rameau de chêne : symbole universel de force, de puissance, de majesté, de longévité et de résistance.
recevoir. accepter ce qui est donné, transmis, offert, etc.
Renoncer à ses propres besoins et objectifs ne fait que briser l'amour et la relation de couple - en plus de sa propre identité. Les sacrifices ne sont absolument pas des compromis basés sur la communication, mais des renoncements personnels qui peuvent avoir un coût psychologique et vital très élevé.
Une étude de 2010 publiée dans la revue Evolutionary Psychology a révélé que, bien que les hommes ne le verbalisent pas, ils tombent amoureux plus vite que les femmes.
Nous avons parlé des trois sortes d'amour : l'amour agapé, l'amour amitié et l'amour sexuel.
Ce repas peut revêtir deux formes majeures : le sacrifice de communion, à l'occasion duquel la victime est partagée entre Dieu, auquel est réservé ce qui était tenu pour le meilleur, les prêtres et l'offrant ; l'holocauste, tout entier dévolu à Dieu, et qui constitue en quelque sorte la quintessence de l'hospitalité à ...
D'une façon la plus commune, le sacrifice est un don fait au(x) dieu(x) ou esprit(s), une offrande ; on parle alors de sacrifice « latreutique ». S'il est donné aux fins de rendre grâce pour un bienfait passé, il est dit « eucharistique ».
L'esprit de sacrifice c'est avant tout la disposition à renoncer à ses propres intérêts au bénéfice d'autrui. C'est en quelque sorte le contraire de l'égoïsme. Cet état d'esprit pousse à faire passer ses propres sentiments et préférences après ceux des autres et de l'institution.
L'islam insiste beaucoup sur la manière de sacrifier les bêtes, qui doit être la moins douloureuse possible pour elles. L'instrument servant à égorger ne doit jamais être affûté devant l'animal, et jamais une bête ne doit être égorgée devant ses congénères.
Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
L'holocauste n'est pas un sacrifice mangé, puisque la victime est consumée intégralement (sauf la peau, qui revenait aux prêtres, et le sang, qui était versé au pied de l'autel). Mais c'est un sacrifice de repas préparé pour le dieu, et même un repas complet, à lui réservé.
Sacrifice perpétuel, sacrifice par lequel on offrait tous les jours quatre agneaux en holocauste, deux le matin et deux le soir. Depuis le temps que le sacrifice perpétuel aura été aboli, et que l'abomination de la désolation aura été établie , Sacy, Bible, Daniel, XII, 11.