*La thérapie génique consiste à introduire ou corriger un ou plusieurs gène(s) dans des cellules pour soigner une maladie.
Pour certaines maladies comme la maladie de Charcot ou SLA…) il n'existe encore aucun traitement et le déclin se fait plus ou moins rapidement. Dans le cas des maladies dégénératives comme le Parkinson ou la maladie d'Alzheimer il existe toujours des exercices pour essayer de ralentir la maladie" explique-t-il.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Il n'existe pas de traitement pour les guérir. Une fois les symptômes déclarés, il est trop tard : le processus de destruction des cellules cérébrales, amorcé des années plus tôt, est bien engagé.
Les causes des troubles dégénératives du système nerveux
Ces maladies peuvent se développer avec l'âge et l'influence génétique. Parfois, la cause est un problème médical comme l'alcoolisme, une tumeur ou un accident vasculaire cérébral.
Effectivement, stricto sensu l'adjectif incurable signifie seulement « qui ne peut être guéri » et s'attache plus à la maladie qu'au malade qui en est porteur. « Incurable » viendrait faire écho en négatif à la médecine curative, c'est-à-dire qui guérit.
La maladie d'Alzheimer.
Le test de l'horloge est utilisé pour la détection précoce et le suivi d'une démence. Sa publication originale par Shulman et al. date de 1993. [1] Il teste la visuoconstruction, la mémoire, la perception spatiale, les fonctions exécutives et la résolution de problèmes.
Pour prévenir la dégénérescence du cerveau, il convient que la personne âgée pratique une activité physique régulière pour augmenter l'apport de sang et d'oxygène dans le cerveau. À cela s'ajoute une alimentation équilibrée basée sur un régime méditerranéen.
Mucoviscidose, myopathies, hémophilie, drépanocytose, maladie de Parkinson, maladie de Crohn, maladie de Paget, fibromyalgie, syndrome de Guillain Barré, lupus, maladie de Hodgkin…
La nutrition, un levier central dans la prévention des maladies neurodégénératives. En l'absence de traitement curatif, Santé Publique France recommande une stratégie thérapeutique favorisant les traitements non médicamenteux, intégrant à part entière la nutrition.
La démence est un syndrome dans lequel on observe une dégradation de la mémoire, du raisonnement, du comportement et de l'aptitude à réaliser les activités quotidiennes. Bien que la démence touche principalement les personnes âgées, elle n'est pas une composante normale du vieillissement.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
L'agressivité est un comportement courant chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'entourage en est souvent ébranlé. Que faut-il savoir sur ce mode d'expression agressif ?
Le test de l'horloge est un test simple et rapide à utiliser pour dépister des troubles des fonctions cognitives tels que la praxie, l'attention, le langage, l'orientation dans le temps et l'espace, et les fonctions exécutives.
La plupart des cas de démence ne sont ni héréditaires ni liés à la génétique. Le risque de développer une démence augmente généralement avec l'âge.
Demandez à la personne d'écrire les chiffres aux bons endroits. Demandez-lui ensuite de tracer les aiguilles de l'horloge pour qu'elles indiquent 21 h 15. (Si la personne n'est pas familière avec le système 24 h, dites-lui plutôt « 9 heures et quart ».)
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée. Il est bénéfique lorsque de courte durée et adapté, il stimule alors notre dynamisme et la prise de décision.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
De nombreux travaux de neurosciences montrent qu'une exposition à un stress chronique affecte l'hippocampe, le siège de la mémoire et des émotions. Une neurotoxicité qui explique les troubles de mémoire chez les dépressifs.