✓ La prolepse : une prolepse désigne toujours une anticipation narrative du récit sur l'histoire. En ce sens, elle est l'exact contraire de l'analepse qui, pour sa part, est toujours un retour dans le passé.
en syntaxe, il s'agit d'une expression anticipée, dans le COD de la principale, du sujet de la subordonnée comme dans « Regarde cette auto, comme elle est belle ». en rhétorique, la prolepse est une figure par laquelle on prévient une objection, en la refusant d'avance comme dans « Cela serait trop long à expliquer ».
1. Procédé syntaxique consistant à placer dans la principale un terme qui devrait se trouver dans la subordonnée (par exemple la phrase Tu as vu ce type comme il est grand). 2. Figure qui consiste à réfuter à l'avance une objection possible.
L'analepse – nom féminin (du grec ancien ἀνάληψις / análipsis) ou retour en arrière, dans un récit enchâssant, est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé.
Procédé de style par lequel on revient en arrière dans un récit. Exemple : Afin de faire le jour sur le passé du protagoniste et d'expliquer ainsi son profil psychologique particulier, l'auteur a eu recours à différentes analepses.
La prolepse interne s'effectue dans le cadre du récit premier qu'elle permet d'approfondir, de compléter et d'expliquer. Il s'agit le plus souvent de la fin ou tout du moins de la suite de l'histoire qui est racontée prospectivement dans le récit : il s'agit, en quelque sorte, d'un explicit par anticipation.
La quatrième de couverture (en) (désignée aussi occasionnellement par le terme technique lodiciquarte, qui est un latinisme) est la dernière page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat verso » dans le cas des livres cartonnés.
Les analepses
Les retours en arrière qui s'intègrent à la narration, et qui correspondent aux flashbacks du cinéma, sont appelés des analepses. Le retour en arrière sert généralement à expliquer une situation dans laquelle se trouve un personnage.
Définition de ellipse nom féminin
Omission de un ou plusieurs mots dans une phrase qui reste cependant compréhensible. Ellipse du verbe dans « chacun pour soi » (« chacun agit pour soi »). Art du raccourci, du sous-entendu. Omission dans une suite logique, une narration.
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable.
proleptique ex. de Suhamy. 2. Figure de rhétorique par laquelle on anticipe les objections de ses adversaires en les réfutant à l'avance.
Un récit (ou intrigue) est une forme littéraire consistant en la mise dans un ordre arbitraire et spécifique des faits d'une histoire.
Prolepse (cinématographie) — Wikipédia.
On emploie alors la narration pour décrire, expliquer ou commenter certains éléments de l'histoire. Elle ne sert plus à faire avancer l'histoire. Elle me lança un regard noir.
L'autobiographie (du grec autos, soi-même ; bios, vie ; graphein, écrire) est donc le récit que fait une personne réelle de sa propre vie, au fil des jours ou à un moment donné de son existence, souvent la vieillesse ; l'auteur est à la fois le narrateur et le personnage principal de ce récit.
Le narrateur omniscient est parfois appelé narrateur absent ou narrateur dieu. Le narrateur omniscient, contrairement aux narrateurs personnages, ne fait pas partie de l'histoire. Le narrateur omniscient raconte le récit à la 3e personne. Il a accès à toutes les connaissances et à l'intériorité de tous les personnages.
En narratologie, une « ellipse temporelle », également appelée « ellipse narrative » consiste à passer sous silence une période, c'est-à-dire à ne pas en raconter les événements. Il s'agit donc d'une accélération du récit.
L'épigraphe est une courte citation placée au début d'un ouvrage ou d'un chapitre, et qui permet d'en indiquer l'esprit.
Le synopsis ne poursuit pas du tout cette optique. Il s'agit d'un texte utilitaire, qui raconte de manière exhaustive ce qui se passe dans le livre ou le roman. Exhaustif, cela veut donc dire qu'il dévoile les rebondissements principaux et la fin de l'histoire.
(ou la dernière de couverture), désigne dans les pratiques publicitaires la dernière page de la couverture d'un journal ou magazine. Elle bénéficie d'une forte visibilité, représente le résumé figurant au dos d'un support et joue un rôle important dans le processus d'achat.
Le point de vue du narrateur est aussi désigné comme « focalisation ». Il s'agit, pour le lecteur, de suivre une façon de voir et de percevoir les événements de l'histoire (situations, péripéties). Le narrateur ou la narratrice est la voix qui raconte l'histoire et se distingue de l'auteur·e.
La focalisation interne est fixe lorsque, dans un texte donné, le point de vue est toujours celui du même personnage. Ainsi dans L'Éducation sentimentale de Flaubert, le personnage focal est presque toujours Frédéric Moreau, et le lecteur perçoit comme une infraction tout changement apporté à ce mode dominant.
Sur la question du rythme, retenez tout d'abord que la fiction se mesure en temps (minutes, heures, mois, années, etc.) ; la narration, elle, se mesure en nombre de lignes, de pages, de chapitres, etc.