Une constante du terrorisme est l'usage indiscriminé de la violence meurtrière à l'égard de civils dans le but de promouvoir un groupe, une cause ou un individu, ou encore de pratiquer l'extorsion à large échelle (mafias, cartels de la drogue, etc.).
Ces pertes matérielles se traduisent dans les comptes nationaux par une hausse de la consommation de capital fixe et donc par une diminution du produit intérieur net, mais elles n'apparaissent pas dans le PIB, qui mesure la production de biens et services.
Les sources du financement terroriste sont notamment la fraude de bas étage, l'enlèvement contre rançon, le détournement d'organismes à but non lucratif, le commerce illicite de marchandises (pétrole, charbon, diamants, or et stupéfiants comme le captagon), ou encore les monnaies électroniques.
Les forces d'intervention spécialisée de la gendarmerie et de la police nationales agissent pour leur part immédiatement après la primo-intervention pour déjouer les différents pièges et contourner les difficultés mises en place par les terroristes (confinement complexe, utilisation d'explosifs, piégeages, bombe sale, ...
Les infractions liées au terrorisme comprennent le recours à la violence à des fins politiques, comme le détournement d'aéronefs, l'attaque de navires, l'utilisation d'armes chimiques ou nucléaires contre des civils, les enlèvements et autres formes d'attaques visant des civils.
La lutte contre le terrorisme s'organise d'abord dans un cadre conventionnel. Ainsi, les États ont adopté près d'une dizaine de conventions internationales à l'échelle universelle concernant des actes spécifiques de terrorisme (en lien avec des aéronefs, le financement…).
C'est le cas, par exemple, des mafias, des triades ou des cartels pour le crime organisé ou de l'activité sociale des mouvances proches du terrorisme dans des secteurs ou l'État est défaillant (santé, éducation…).
La formalisation d'un PPMS est-elle obligatoire dans tous les établissements ? La définition d'un PPMS « risques majeurs » est obligatoire depuis fin 2015. Désormais, la formalisation d'un PPMS « attentat-intrusion » est également obligatoire.
Prônant l'instauration d'un État islamique dans le nord du Nigeria, Boko Haram prospère sur un terreau social et politique, fait de pauvreté, de chômage des jeunes, de corruption effrénée des élites, et de brutalité des forces de sécurité.
Le Groupe d'Action Financière (GAFI) est un organisme inter-gouvernemental indépendant qui élabore et promeut des politiques pour protéger le système financier mondial contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, et de la proliferation des armes de destruction massive.
Un échange efficace d'informations entre les services répressifs, les autorités judiciaires et les services de renseignement des États membres est essentiel pour lutter contre le terrorisme, suivre les combattants étrangers et lutter contre la criminalité organisée.
Principales conséquences
Premièrement, les attentats causent la perte de vies humaines et détruisent les infrastructures. À cet égard, le premier exemple qui vient à l'esprit est le bilan du 11 septembre 2001, mais on peut citer aussi le sabotage de nombreux oléoducs.
Il s'agit de renforcer la résilience des jeunes face à l'extrémisme violent pouvant conduire au terrorisme afin d'accroître et de renforcer leur contribution aux efforts de prévention et de répression de l'extrémisme violent.
2- Ses objectifs
Les objectif de Boko Haram sont radicaux : création d'un Etat islamique intégriste dans le nord du Nigéria, application stricte de la charia dans le pays et opposition à l'instruction des femmes. A ses débuts, l'organisation ne vise d'ailleurs pas la conquête du pouvoir.
Financement. Initialement, Boko Haram est financé par des politiciens de Maiduguri, et notamment par Ali Modo Sheriff (en), gouverneur de l'État de Borno de 2003 à 2011, qui cherche en 2005 à obtenir l'aide électorale du groupe de Mohamed Yusuf.
Le conflit débute en juillet 2009, par le soulèvement à Maiduguri, la capitale de l'État de Borno, d'une secte islamiste surnommée « Boko Haram », fondée par Mohamed Yusuf. L'insurrection est reprimée par l'armée nigériane et Yusuf y trouve la mort. En 2010, le mouvement passe sous le contrôle d'Abubakar Shekau.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Le PPMS, ou Plan Particulier de Mise en Sûreté est un dispositif réglementaire dont l'objectif est de mettre en place une organisation interne à l'établissement afin d'assurer la mise en sécurité de toutes les personnes présentes dans l'établissement en cas d'accident majeur externe à l'établissement.
Tel est l'objectif du plan particulier de mise en sûreté (PPMS) face aux risques majeurs, adapté à la situation précise de chaque école et de chaque établissement, qui doit permettre la mise en œuvre des mesures de sauvegarde des élèves et des personnels en attendant l'arrivée des secours ou le retour à une situation ...
Ces attaques terroristes ont des conséquences néfastes pour toute la communauté : les déplacements sont limités et contrôlés à l'intérieur de la région, des infrastructures publiques sont détruites, des écoles doivent fermer etc.
8. Aux fins du présent cadre de collaboration, les acteurs non étatiques sont les organisations non gouvernementales, les entités du secteur privé, les fondations philanthropiques et les établissements universitaires.
L'extrémisme violent entraîne à la fois des coûts directs (coûts des décès et des blessures) et des coûts indirects (perte de productivité et de revenus). Les principales conclusions de l'étude ont révélé que l'évolution des comportements suscite la peur et réduit la prise de risque.
Une éducation véritable (humaniste) façonne l'homme et développe en lui un esprit de tolérance à l'égard des autres cultures et des autres modes de vie, elle s'oppose à l'agressivité et à la violence et elle est un facteur essentiel de lutte contre le terrorisme individuel, national et mondial.