Le clonage reproductif vise à donner naissance à un individu génétiquement identique à un autre. Le clonage thérapeutique, encore à l'état de projet, consiste à cloner des cellules d'un patient et à utiliser celles de l'embryon résultant pour recréer des cellules, tissus ou organes pour soigner ce patient.
Le but du clonage n'est pas de modifier le génome, mais de le transmettre d'une façon qui ne nécessite pas la reproduction sexuée et qui génère des individus identiques présentant les mêmes caractéristiques que leur (unique) parent.
Les cellules, les tissus, voire les organes obtenus seraient génétiquement identiques à ceux du donneur du noyau transféré dans l'ovocyte, donc totalement compatibles avec ce donneur. Ainsi, le clonage apporterait le formidable avantage d'une garantie de totale tolérance.
Le clonage est un mode artificiel de reproduction non sexué. Pour diverses raisons, il est apparu intéressant d'obtenir des clones d'animaux. Le clonage qui a donné naissance à la brebis Dolly avait pour but de faciliter l'obtention de protéines médicaments dans le lait de mammifères transgéniques.
II / les avantages du clonage : Mais le clonage a aussi des avantages notamment d'un point de vue thérapeutique où il peut servir à la greffe de peau ou d'organes par exemple. De plus le clonage peut servir à reproduire des espèces en voie de disparition afin que celle-ci ne puissent pas s'éteindre.
Le clonage reproductif consiste à prélever l'ADN d'une cellule d'un individu et à l'injecter dans un ovocyte péalablement vidé de son contenu génétique; cette "cellule-oeuf" reconstruite est transférée dans une mère porteuse, qui donnera naissance à un clone de l'individu initial.
La raison principale est la conviction que la production volontaire d'êtres humains génétiquement identiques porterait atteinte à la dignité et à l'intégrité des êtres humains, perçus à la fois comme individus et comme membres de l'espèce humaine.
Malformations, vieillissement et mort prématurés, utilisation de femmes comme cobayes et dérives mercantiles, le clonage d'un bébé humain comporte risques médicaux et éthiques, selon les spécialistes.
On distinguera deux types différents de clonages : -Le clonage reproductif : son but est de créer entièrement un individu identique à la base à un autre individu, mais qui pourrait se développer de manière différente. -Le clonage therapeutique qui consiste à reproduire des cellules distinguées aux fonctions précises.
Ensemble des techniques qui permettent d'isoler un fragment d'acide nucléique dans un organisme donné, de le multiplier (clonage) et de le réintroduire dans le génome d'un autre organisme.
Le clonage désigne principalement deux processus. C'est d'une part la multiplication naturelle ou artificielle à l'identique d'un être vivant, c'est-à-dire avec conservation exacte du même génome pour tous les descendants (les clones).
Seule la dernière étape diffère, dans le cas du clonage thérapeutique, les cellules souches sont prélevées et servent aux recherches, dans le cas du clonage reproductif, l'embryon entier est implanté dans l'utérus d'une mère porteuse.
But: isoler des fragments d'ADN de génomes complexes et les recombiner dans des génomes plus petits et faciles à manipuler et à analyser.
Ils ont défini le clonage reproductif comme le transfert d'un clone dans l'utérus en vue de la gestation et de la naissance, alors que clonage thérapeutique a pour but de produire des cellules, soit pour la recherche soit pour une utilisation thérapeutique future.
Par exemple, en France, la loi de 2004 interdit formellement le clonage thérapeutique. Le clonage thérapeutique est également interdit en Allemagne. En revanche, il est autorisé en Angleterre et en Belgique.
La limite scientifique se situerait plutôt dans l'âge des organes des clones : les clones ont en quelques sortes le « même âge » que leurs parents. Cela ne provoque pas le décès des animaux mais des douleurs intenses au niveau de certains organes et des articulations.
— L'utilisation du clonage pour reproduire des êtres humains «n'est pas acceptable sur le plan éthique car elle violerait certains des principes fondamentaux de la procréation médicalement assistée», selon le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, le Dr Hiroshi Nakajima.
Le clonage reproductif d'un humain est une mauvaise chose, car ce n'est pas naturel, de plus les clones ne seraient que des rats de laboratoire. Cependant le clonage thérapeutique d'un organe serait une bonne chose pour la médecine. Seulement, un clone humain entier serait une erreur, de plus ce serait très malsain.
Ce type de reproduction produit des clones, c'est-à-dire des individus qui possèdent exactement le même patrimoine génétique que le parent unique dont ils sont issus. On peut définir la reproduction asexuée comme étant un clonage naturel.
Le Dr Ian Willmut et son équipe de l'Institut Roslin à Edinburgh annonçaient la naissance du premier mammifère cloné à partir de cellules adultes.
L'équipe du Dr Shoukrat Mitalipov a pris un noyau de fibroblaste et l'a introduit dans un ovocyte. Ils ont réussi à activer cet ovocyte de façon à ce qu'il prenne cela pour une fécondation et qu'il commence à fabriquer un embryon. » C'est exactement le principe du clonage.
Les vrais sosies, les «monozygotes» –issus d'une même cellule oeuf– représenteraient 0,35% des naissances à l'échelle sur la planète. La probabilité de rencontrer un clone génétique de soi sans lien de parenté est infime, pour ne pas dire inexistante.
Les animaux dupliqués, dont le patrimoine génétique est identique, seront sélectionnés pour la qualité de leur viande. Avec la promesse que leur chair sera aussi goûteuse que le délicat et luxueux bœuf japonais de Kobé.
Il est ainsi facile de comprendre les deux avantages principaux du clonage végétal pour l'homme : 1/ reproduire à l'identique un grand nombre de fois la même plante (par ex les plantes ornementales), en se passant de la reproduction sexuée, source de variabilité; 2/ pouvoir reproduire des espèces dont la reproduction ...