Il varie également selon le type d'AINS. A la dose utilisée dans les maladies inflammatoires, le risque le plus faible est observé avec l'ibuprofène puis le diclofénac, l'indométacine, le naproxène et le piroxicam.
Mieux vaut éviter de prendre des anti-inflammatoires en cas d'infection. S'ils soulagent efficacement la douleur et la fièvre, l'ibuprofène et le kétoprofène exposent à des risques de complications infectieuses parfois graves.
L'ibuprofène fait partie de la classe des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Ils vont empêcher le corps de produire sa cascade inflammatoire et peuvent donc être très efficaces pour soulager les symptômes mentionnés plus haut.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent aider à soulager la douleur et l'inflammation. La famille des AINS comprend l'ibuprofène (par exemple, Advil® et Motrin®), le kétoprofène (par exemple, Actron® et Orudis®) et le naproxène (par exemple, Anaprox® et Naproxen®).
L'ibuprophène (Advil, Nurofen, etc.) est plus efficace contre certains types de douleurs, comme les rages de dents et les entorses, que le paracétamol et présente un peu moins d'effets secondaires que l'aspirine.
Le boswellia pour son efficacité et sa polyvalence. Il fonctionne en effet contre les inflammations des articulations, des voies respiratoires et des intestins. Pour des douleurs purement articulaires, le trio « harpagophytum, curcuma et griffe du chat » est très efficace.
Une alimentation saine et équilibrée, riche en fibres, en antioxydants, en vitamines et en oméga 3 permet de contribuer à réduire l'inflammation chronique. Les aliments anti-inflammatoires les plus puissants sont : Les fruits.
Il est important de noter que dans un contexte d'infection (angine, otite, varicelle, toux, rhinopharyngite chez l'enfant ou chez l'adulte, etc.), l'utilisation des AINS (et particulièrement l'ibuprofène et le kétoprofène) doit être évitée en raison du risque de survenue de complications infectieuses graves.
Une prise trop régulière ou trop importante d'anti-inflammatoire met en danger la santé pour le sportif, mais également celle des personnes sédentaires. Les effets secondaires peuvent engendrer à leur tour des maladies bien plus grâce que l'inflammation que l'on cherche à réduire.
L'huile d'arnica est anti-inflammatoire et cicatrisante. Appliquée localement, elle peut être utilisée pour calmer certaines douleurs (dos, entorses…) et empêche l'apparition d'ecchymoses.
Le paracétamol moins risqué
Toutefois, il ne faut pas dépasser une dose de trois grammes par jour et n'en consommer que durant trois à cinq jours maximum. Dans la gamme paracétamol, Dafalgan et Doliprane 500 mg en comprimés sont les moins dangereux, selon le magazine.
Les principaux actifs anti inflammatoires sont le diclofenac, l'acide niflumique et l'ibuprofene. Le diclofenac, se trouve dans Antacalm, Diclofenac Mylan, les médicaments des gammes Voltaren et Flector.
L'oxycodone est aussi puissante que la morphine. Elle est utilisée pour les douleurs rebelles notamment d'origine cancéreuse. La buprénorphine est trente fois plus puissante que la morphine.
Le curcuma est un anti-inflammatoire naturel très efficace, de plus en plus connu en France. Il est utilisé pour traiter les cicatrices d'acné en apaisant les inflammations, et peut également être utile pour les douleurs articulaires ou les inflammations de la muqueuse intestinale.
L'huile essentielle de gaulthérie se veut être le remède anti-inflammatoire par excellence. Elle est chargée jusqu'à 98 % de salicylate de méthyle.
Ibuprofène (Advil®, Nurofen®). Diclofénac (Voltarène®, Flexor®). Kétoprofène (Kétum®). Acide acétylsalicylique (Aspirine®, Aspegic®).
Le VoltarenActigo 1 %
Il est essentiellement composé de Diclofenac qui est un puissant anti-inflammatoire. Le VoltarenActigo 1% permet de calmer les douleurs de rhumatisme, d'entorse, de foulure, etc. Il doit être strictement utilisé de façon ponctuelle et est réservé aux adultes.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Le premier conseillé est l'acétaminophène ou paracétamol (Tylénol®). Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) disponibles en vente libre possèdent aussi un effet antidouleur, en plus d'être anti-inflammatoires (par exemple, l'ibuprofène (Advil®, Motrin®) et l'acide acétylsalicylique (Aspirine®)).
Sur une analyse groupée de 1200 patients, suivis 8h après une extraction dentaire , l'association paracétamol + tramadol a démontré un surcroit d'efficacité par rapport au paracétamol seul et au tramadol seul, mais un effet antalgique similaire à celui d'ibuprofène 400.