La juxtaposition consiste à lier des éléments à l'aide d'un signe de ponctuation. Il s'agit d'une forme de coordination sans coordonnant. Violette a reçu son diplôme, elle est fière d'elle. Dans cet exemple, les phrases Violette a reçu son diplôme et elle est fière d'elle sont juxtaposées à l'aide d'une virgule.
La juxtaposition est un mode de liaison qui utilise certains signes de ponctuation, comme la virgule, le point-virgule et le deux-points, pour relier des éléments de sens dans une phrase ou entre des phrases.
Quand deux propositions sont juxtaposées, elles sont liées par un signe de ponctuation : une virgule, un point-virgule ou deux points. Exemple : Le grenier révéla toutes ses tentations : je ne le quittais plus.
La phrase complexe, souvent plus étendue que la phrase simple, permet de donner plus de subtilité au discours.
La juxtaposition consiste à mettre à côté deux ou plusieurs choses. Cet assemblage a pour effet de remplir une utilité, par exemple en juxtaposant plusieurs fils pour réaliser un tissu ou simplement de provoquer une surprise esthétique.
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule. Par exemple : Alma m'a expliqué; je sais comment rapper, tu fais des phrases ponctuées pour la fluidité...
Elle est introduite par un mot subordonnant comme que, quand, lorsque, parce que, bien que… Pour analyser une phrase complexe comprenant une ou plusieurs subordonnées, il faut repérer les mots subordonnants et couper la phrases en propositions : la principale et la subordonnée (ou les subordonnées).
o la phrase courte : elle met en valeur l'essentiel, o la phrase longue : elle est construite sur le principe de l'accumulation et de la subordination ; elle accompagne l'analyse et le raisonnement ; elle convient aussi à l'expression d'une pensée lyrique.
La répétition peut être considérée comme une faute de style, mais elle peut aussi véhiculer et mettre en valeur une idée. Elle crée un rythme, et renforce l'idée, la sensation, l'émotion.
La phrase simple est une proposition indépendante, c'est-à-dire une proposition qui ne dépend d'aucune autre proposition, et dont aucune autre proposition ne dépend. Elle se suffit à elle-même tant sur le plan du sens que de la structure : L'enfant lit un livre.
- Lorsqu'il y en a plusieurs dans une phrase, elles sont juxtaposées si elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. - Elles sont coordonnées lorsqu'un mot de liaison les relie. Il s'agit la plupart du temps d'une conjonction de coordination : mais, ou, est, donc, or, ni, car.
La proposition principale, la proposition indépendante ( coordonnée, juxtaposée ou non ) n'ont pas de fonction. La proposition subordonnée relative est toujours complément de l'antécédent du nom. La proposition subordonnée conjonctive a pour fonction Complément circonstanciel (de temps, de manière, de but, de cause...)
Quand deux propositions (ou phrases) sont juxtaposées, elles sont liées avec un signe de ponctuation : une virgule, un point-virgule ou deux points.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions. Sa fonction est alors épithète.
1.1.La comparaison: rapproche deux termes à partir d'un élément qui leur est commun et grâce à un terme comparatif (comme, pareil à, tel que, ressembler à ...). Effet produit: la comparaison explicite et rend plus concrète l'idée. Victor Hugo souligne ici la générosité du personnage envers les pauvres.
Les propositions introduites par des conjonctions de subordination sont appelées propositions subordonnées conjonctives. de temps (comme, lorsque, quand, après que, avant que, aussitôt que…) Nous sommes arrivés comme il partait. Préviens-moi lorsque tu seras prêt.
Une épiphore est une figure de style qui consiste à répéter un mot ou un groupe de mots en fin de phrase, de paragraphe ou de vers qui se succèdent. Très répandue dans la poésie, ce procédé littéraire produit un effet d'insistance qui renforce une émotion en rythmant les vers.
L'anaphore est une figure d'insistance qui sert à mettre l'accent sur un ou des éléments présents dans le texte. Elle peut insister, entre autres, sur un état psychologique, sur les caractéristiques d'un lieu ou d'un personnage ou sur un thème. Elle peut également créer un effet sonore.
Le pléonasme est un terme ou une expression qui répète ou renforce une idée qui vient d'être énoncée. Le pléonasme est une figure de style lorsque l'effet d'insistance est recherché par le rédacteur ou le locuteur. Lorsque la répétition d'idées est inutile et abusive, on commet un pléonasme involontaire et fautif.
Effet produit : la périphrase permet d'insister sur certaines caractéristiques de l'élément dont on parle. Dire le contraire de ce que l'on pense réellement. Le but est de créer un effet d'ironie ou de dénoncer quelque chose. Dire de façon atténuée une réalité choquante ou blessante.
Dans un texte, elles accélèrent le rythme du récit et donnent de la vivacité au dialogue. Après deux heures pénibles de marche, la cadette arrivait enfin à la fontaine. Une dame ! Assise sur la margelle !
La phrase exclamative permet d'exprimer une émotion telle que la joie, l'enthousiasme, l'énervement ou la colère. Elle peut aussi exprimer un jugement, comme l'admiration ou la déception. C'est un marqueur de l'intonation que l'on prend à l'oral.
La juxtaposition consiste à lier des éléments à l'aide d'un signe de ponctuation. Il s'agit d'une forme de coordination sans coordonnant. Violette a reçu son diplôme, elle est fière d'elle. Dans cet exemple, les phrases Violette a reçu son diplôme et elle est fière d'elle sont juxtaposées à l'aide d'une virgule.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.