En avion, la montée brutale en altitude peut provoquer un malaise, similaire au mal aigu des montagnes. L'atmosphère moins riche en oxygène peut déclencher des maux de tête, des vertiges ou des nausées.
Ca accélère (fort) et ça monte, mais c'est beaucoup moins violent que les manèges à sensations, car ça ne tournicote pas dans tous les sens. Si vous êtes stressé, n'hésitez pas et parlez-en à l'équipage en arrivant dans l'avion, les agents de bord sont formés pour ce genre de situation et vous rassureront.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Quelques inconvénients pour les vols
Pendant le trajet, vous ne profiterez aucunement du paysage. Le vol se passe généralement la nuit et à très haute altitude. Alors, prendre une place près d'un hublot ne sert strictement à rien. Certaines personnes souffrent du mal de l'air à chaque voyage.
Toujours à partir des données du produites par le gouvernement, un voyage en train émet en moyenne, transport de marchandises inclues, environ 5 g de CO2 par km ! C'est imbattable. D'une manière générale, Il faut savoir que sur une distance équivalente, l'avion émet en moyenne 30 fois plus de CO2 que le train.
Au total, les voyages en avion sont synonymes de déplacements liés aux vacances, de catégories socioprofessionnelles supérieures, et de niveau de revenu élevé ».
L'avion est même le moyen de transport le plus sûr, loin devant la voiture par exemple. Dès sa construction, un avion est conçu pour résister au plus de pannes possibles. Par exemple, si l'un des deux moteurs ne fonctionne plus, l'avion peut décoller et voler avec un seul.
Cette question, que se posent souvent les voyageurs d'affaires, GoEuro y a répondu par une étude qui peut éclairer les choix des prochains déplacements professionnels. Selon une étude menée par GoEuro, les trajets en train peuvent durer jusqu'à 3h30 de moins qu'un vol.
Pour atténuer ces symptômes, essayez d'obtenir une place au milieu de l'avion, là où les mouvements sont moins perceptibles. Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool.
Le gonflement des chevilles résulte de la pression atmosphérique dans l'avion et de la position assise. Plus le vol est long, plus le sang s'accumule dans les pieds et les jambes et plus son chemin de retour vers le haut du corps se révèle compliqué.
Les veines comprimées doivent pomper plus énergiquement pour faire refluer le sang des pieds vers le cœur. Le sang peut s'accumuler dans les jambes et les composants aqueux se diffuser dans les tissus en passant à travers la paroi veineuse. Résultat : les pieds et les jambes gonflent.
Une fois dans l'avion, l'état anxieux peut fluctuer en fonction des conditions du voyage : certains souffriront d'anxiété intense tout au long du voyage avec des crises de panique, alors que d'autres connaitront des fluctuations et des moments d'accalmie.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Cette sensation de vertige n'existe pas en vol car l'information visuelle est en cohérence avec le déplacement ressenti par l'oreille interne. Les pilotes et les passagers peuvent donc regarder en bas sans avoir la sensation de mouvement ou de tournoiement liée au vertige !
Lundi 29 octobre, un Boeing 737 MAX 8 de la compagnie low cost indonésienne (vol JT-610) s'est écrasé en mer seulement 13 minutes après son décollage de l'aéroport de Djakarta. Le vol devait se rendre dans l'île de Pangkal Pinang située au nord de Djakarta.
Un accident mortel tous les 5 millions de vols
C'est une vérité que l'on martèle après chaque accident aérien : l'avion est le moyen de transport le plus sûr au monde devant le train, et loin devant l'autocar, le bateau, la voiture et la moto.
Malgré des accidents aériens très médiatisés l'avion reste le moyen de transport où il y a le moins d'accidents et le moins de morts.
De nouvelles statistiques sur le transport aérien montrent que les Américains sont les passagers qui ont le plus voyagé en 2017. Ils ont représenté près de 19% du trafic aérien mondial classé par nationalité et non par pays d'origine.
Les Américains sont les plus grands voyageurs du monde. A l'échelle de la planète, ils sont les plus nombreux à visiter les quatre coins du globe. Cancun, au Mexique, constitue leur ville préférée, devant Toronto (Canada) puis Londres (Royaume-Uni).
Au final, 2 % des rejets mondiaux de CO2 sont émis par les avions de ligne ! Mais les avions rejettent également d'autres gaz comme l'oxyde d'azote (NOx), le monoxyde de carbone (CO), les hydrocarbures (HC), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension PM10 et PM2,5.
L'avion est 300 fois plus sûr que la voiture
Et si on veut continuer dans les statistiques, un humain a plus de risques de mourir noyé ou d'être frappé par la foudre, que de perdre la vie dans un accident d'avion.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
Demandez une couverture auprès de l'hôtesse pour éviter d'avoir froid. Essayez de surélever vos jambes avec votre bagage à main par exemple. En effet, une bonne circulation sanguine favorise le sommeil en vol. Vous pouvez aussi caler votre dos avec une couverture ou un coussin pour vous sentir plus à l'aise.