L'hydrogène est prôné comme le carburant du futur. Et le désir de changement n'est plus seulement manifesté par l'industrie, qui utilise abondamment ce gaz depuis plus de 40 ans L'hydrogène séduit aussi les gouvernements, qui réalisent qu'une économie neutre en carbone à l'horizon 2050 n'est pas envisageable sans lui.
Le diesel, une motorisation adaptée aux trajets longs
Pour les automobilistes au kilométrage annuel élevé (plus de 30 000km environ) le diesel reste le meilleur choix d'autant plus si les trajets sont majoritairement effectués sur autoroutes et voies rapides.
Opter pour un véhicule diesel est vivement conseillé si vous roulez plus de 20 000 km par an. En effet, un véhicule diesel consomme 15% à 20% de carburant en moins qu'une essence. Un diesel assure donc un meilleur rendement par rapport à un moteur essence, avec une consommation plus économe.
La France identifie aussi le GNV comme un axe primordial dans la transition énergétique pour la croissance verte et se fixe les objectifs suivants : 10% de gaz renouvelable en 2030.
Le GPL ou Gaz de Pétrole Liquéfié et le GNV, Gaz Naturel Véhicule, sont des carburants qui rejettent très peu d'oxyde d'azote et pas de particules polluantes. Ils ne produisent que très peu de produits polluants.
Le GPL, ou Gaz de Pétrole Liquéfié, est apparu comme le carburant du futur : moins polluant que l'essence et le diesel, bénéficiant d'avantages fiscaux le rendant moins coûteux à la pompe, et enfin préservant mieux l'usure des moteurs.
12/12 Ethanol : l'E85 a-t-il encore réellement un avenir en France ? D'ici 2035, vous pouvez convertir votre voiture à l'E85 si celui-ci est compatible et éligible. Très populaire en France, l'E85 va également subir les restrictions à venir sur les émissions de CO2.
Pour nos voitures anciennes, le SP95-E5 est la meilleure alternative (et d'ailleurs la seule !) au SP98, si votre moteur tournait à l'époque à l'essence ordinaire plombée (indice d'octane 89).
La France, doucement mais sûrement
Depuis l'été 2019, les véhicules diesel de plus de 13 années n'ont déjà plus le droit de se déplacer dans la capitale. Et à partir de 2024, il ne sera plus possible d'y circuler en diesel. La fin des véhicules essence est prévue pour 2030.
La fin des voitures diesel et essence en 2035 en Europe validée à Bruxelles. Les pays membres de l'Union européenne et le Parlement européen ont trouvé un accord ce jeudi soir qui vise à interdire, à horizon 2035, la vente de véhicules neufs à moteur thermique.
A un moment envisagée dès le 1er janvier 2025, l'interdiction de circulation des véhicules Crit'Air 3 (diesel d'avant 2011 et essence d'avant 2006) ne devrait pas se faire avant 2027.
La première échéance est fixée au 1er janvier 2023, date à laquelle les premières amendes (68 euros) seront distribuées. En 2025 les véhicules diésel produits avant 2011 et les véhicules à essence construits avant 2006 (Crit'air 3) se verront également interdire l'accès à ces ZFE.
Pour l'année 2023, ce sont les véhicules munis de la vignette Crit'air 5 qui sont dans la ligne de mire de la nouvelle restriction qui s'applique dans l'ensemble des ZFE. Il s'agit en réalité des voitures diesel immatriculées avant l'année 2000, et avant octobre 2006 pour les poids lourds, les bus et les autocars.
Un excellent bilan en 2021
Depuis 2020, son cours reste stable. Cela rend ce carburant particulièrement économique et accessible, contrairement au sans plomb 95 et au gazole, dont les tarifs ne cessent d'être revus à la hausse. De plus, les véhicules au GPL se révèlent moins chers à l'achat que les modèles diesel.
Dans le cadre du Plan Climat, de plus en plus de villes interdisent la circulation des diesels dans leurs rues afin de limiter les émissions de gaz à effet de serre et de particules fines cancérigènes.
Une interdiction du diesel totale en 2035
Au mois de juin 2022, le Parlement européen a voté en faveur de l'interdiction des voitures thermiques, diesel et essence compris en 2035. Il ne s'agit pas réellement d'une interdiction totale des voitures thermiques. A partir de 2035, la vente de ces véhicules sera interdite.
Un coût nettement trop élevé
C'est un des principaux freins pour ne pas acheter une voiture électrique… le prix. Il constitue toujours un frein à l'achat des voitures électriques. Le coût d'un véhicule électrique est considéré comme plus élevé que son équivalent en moteur thermique.
Le sans plomb sans éthanol (SP95 et SP98) se conserve 3 mois sans problème, 6 mois au grand maximum dans des conditions optimales de conservation (10 à 15°C à l'abri de la lumière et de l'humidité). Le sans plomb avec éthanol (SP95E10) se conserve 1 mois maximum en jerrycan sans additif.
Puisque l'essence n'est pas un liquide stable, s'approvisionner en essence pour un maximum de 30 jours est une recommandation cruciale. Au-delà de ce délai, les répercussions de la dégradation de l'essence pourront se manifester sur le fonctionnement de votre équipement.
La croissance freinée par le Covid
Les automobilistes, assignés à résidence, se sont moins rendus à la pompe, et les prix compétitifs des carburants traditionnels n'ont pas encouragé à passer à l'E85.
En raison de la surconsommation de l'E85, l'autonomie du véhicule est réduite : un inconvénient non négligeable. Vu que rouler au bioéthanol entraîne une surconsommation de 25 à 30 %, on obtient une diminution proportionnelle de l'autonomie du véhicule.
Pour faire fonctionner le moteur, l'éthanol disperse l'eau qu'il contient à l'intérieur du réservoir jusqu'à ce qu'elle soit entièrement brûlée. Il peut alors décaper le réservoir et par conséquent boucher le filtre à carburant.