Une colocation est la location par plusieurs locataires (colocataires) d'un même logement devenant leur résidence principale. Elle peut prendre la forme d'un bail unique signé par les tous colocataires, ou d'autant de contrats de location qu'il y a de colocataires.
Chaque colocataire est tenu de signer le bail. Chacun d'entre eux bénéficie alors des mêmes droits et devoirs comme payer le loyer et les charges, entretenir le logement. La plupart du temps le propriétaire-bailleur va rédiger une clause de solidarité dans le bail.
Pour un bail de deux noms à une signature, seul le signataire est tenu de payer le loyer. Toutefois, même s'il n'est pas titulaire de droit de bail dans ce cas, le second partenaire peut y participer. Ceci en vertu du principe de la solidarité des partenaires dans les dettes, lorsqu'ils partagent un toit commun.
Chaque locataire est responsable et même redevable de l'ensemble des obligations du contrat. Ainsi par exemple, si l'un des colocataires ne paye pas sa part du loyer, les autres colocataires devront payer sa part. Le bailleur peut se retourner vers un seul des colocataires pour exiger le règlement de la dette.
Juridiquement, le propriétaire et les colocataires peuvent être liés par plusieurs contrats de location (entre le propriétaire et chacun des colocataires) : c'est le principe du bail individuel. Lorsqu'ils signent un bail unique, qui lie l'ensemble des colocataires, on parle alors de bail solidaire.
Le propriétaire prouve que le loyer est sous-évalué et que le loyer représentatif du voisinage est de 1.200 €. En relouant ce logement, le propriétaire peut augmenter le loyer de la moitié de la différence soit de 100 € (200/2). Le loyer du nouveau locataire peut donc être fixé au maximum à 1.000 + 100 = 1.100 €.
L'indice du 2e trimestre 2022 s'élève désormais à 135,84, ce qui représente une hausse annuelle de 3,60 %.
Une des règles les plus connues par les propriétaires chevronnés est la limite du loyer en fonction des revenus. Cette règle stipule que le loyer maximum (hors charges locatives) que peuvent payer les occupants d'un logement est un tiers de leurs revenus nets.
Partager son lieu de vie
Et si la colocation se passe mal, cela se répercute également sur la rentabilité du propriétaire : période de vacance, mauvaise entente avec les habitants, risque d'impayé… Pour des colocataires ayant des modes de vie incompatibles la colocation peut voler en éclat.
Une colocation est la location par plusieurs locataires (colocataires) d'un même logement devenant leur résidence principale. Elle peut prendre la forme d'un bail unique signé par les tous colocataires, ou d'autant de contrats de location qu'il y a de colocataires.
Vous voulez vivre avec votre fille (ou votre mère), et vous vous demandez si la colocation mère-fille est possible ? La réponse à cette question est positive. Et pour cause, l'ALF (Allocation de logement familiale), constitue une des aides au logement accordées aux colocataires par la CAF.
La cotitularité du bail confère à chaque locataire les mêmes droits et obligations vis-à-vis du propriétaire du logement. Elle est souvent mise en place dans un contrat de location pour couple marié.
Un avenant pour ajout de locataire est donc une pièce justificative exposant un accord entre le bailleur et le ou les locataires pour incorporer un nouveau locataire à un bail d'habitation. Cette pièce (l'avenant) permet donc de modifier le bail initial de location.
Dans tous les cas, le bail doit être signé par les deux parties, qu'il y ait une ou plusieurs personnes de concernées. Si le propriétaire est un couple marié, une seule signature suffit, tandis que si le logement est en indivision, tous les indivisaires doivent signer.
Chaque colocataire signe avec le propriétaire un bail indépendant. le contrat-type prévu pour un logement vide ou meublé ne s'applique pas en cas de colocation à plusieurs contrats de location.
Pour un logement social, plusieurs personnes peuvent être co titulaires du bail : les époux et les partenaires de pacs. En cas de décès de l'un des cotitulaires, l'autre bénéficie d'un droit exclusif sur le bail. Il peut bien entendu y renoncer s'il ne souhaite pas conserver le logement seul.
Les locataires, colocataires, sous-locataires, propriétaires ou encore les résidents en foyer d'hébergement (EHPAD, résidence autonomie, résidence pour étudiants, etc.) peuvent bénéficier de l'APL. Vous pouvez louer un logement sans vivre dedans, en revanche l'APL n'est accessible que pour les résidences principales.
Pourquoi a-t-on moins d'APL quand on vit en colocation ? La différence est due au mode de calcul. Le montant retenu pour calculer l'aide attribuée à chaque habitant est égal à 75 % du plafond d'un locataire seul.
Pourquoi une telle réticence ? 58 % estiment que le logement qu'ils mettent en location est trop petit pour accueillir des colocataires. Les petites et moyennes surfaces sont majoritaires dans le parc locatif privé", rappelle l'étude.
Un loyer d'un tiers du salaire est généralement conseillé. Ainsi par exemple, pour louer un appartement au loyer de 800 €, un salaire de 2800 € serait exigé. Vous l'aurez compris !
« Exemple: pour un loyer CC de 550€, le salaire minimum du locataire doit- être de 1760€ net mensuel. »