Pour un poêle à bois, il est conseillé d'utiliser des essences adaptées. Ainsi, il est préférable de choisir un bois dur à écorce fine tel que le hêtre ou le frêne. A côté, pensez également à un bois tendre tel que le bouleau pour amorcer vos feux. Le prix du stère varie approximativement entre 55 et 100 €.
Nous vous conseillons d'éviter les bois tels que le châtaignier et le platane. Ils ont tendance à éclater et peuvent donc être dangereux.
Chêne, hêtre, châtaignier, charme, frêne, noyer et de nombreux arbres fruitiers sont classés parmi les bois denses. Leur bois chauffe bien plus longtemps que celui des résineux (épicéas, pins, mélèzes…) et de certains feuillus (peuplier, saule…).
Celles-ci sont classées en trois groupes, du plus fort pouvoir calorifique au plus faible : Le chêne, le charme, le hêtre, le frêne, l'orme et l'érable offrent le meilleur rendement : 2 000 kWh par mètre cube apparent.
Actuellement, le prix du stère de bois de chauffage balance entre 30 et 120 €. La plupart du temps, il est entre 50 € et 70 €. Ce qui donne une moyenne de 0,04 € / kWh. Il est évident que ces prix changent suivant les frais de transport du bois car ils constituent entre 20 à 30% du prix.
Quelle genre de bois utilisez vous?? Par exemple la vigne produit beaucoup de cendre par rapport à du chêne..
Il brûle assez lentement avec de belles flammes et produit une excellente chaleur durable même quand il ne reste que les braises. Les arbres fruitiers peuvent également être utilisés dans un second temps. Le bois de pommier par exemple brûle lentement avec une petite flamme et produit un parfum agréable.
Le noisetier est l'un des meilleurs bois de chauffage. Il doit bien sûr être sec, comme tous les autres types de bois de chauffage.
« Le prunier est bien car il dégage une belle chaleur », explique Jean-Marc qui débite lui-même son bois auprès de paysans amis. D'autres, comme la société Tampier de Septfonds vendent le bois en palette : 1,75 stère pour 135 euros (sans le transport). À ce prix-là, vous aurez des essences différentes de bois dur.
Le sapin de Noël
Et pour cause, bien que le bois soit non traité, il contient une grande quantité de résine qui peine à brûler. Résultat, votre foyer risque d'être encrassé, enfumé et, dans le pire des cas, vous pouvez même provoquer un incendie.
Laurier : Il donne une flamme très vive et a un rendement calorifique raisonnable. Il doit être bien séché.
Le bouleau est une autre essence populaire pour le poêle à bois. Le bois s'allume proprement et a donc besoin de peu d'oxygène. De ce fait, le conduit de fumée se salit moins vite.
Le bois de bouleau est un bois tendre et donne un bon feu. Une caractéristique particulière du bois de bouleau est qu'il brûle très proprement et qu'il pollue peu le conduit de fumée. Il est également facile à allumer car l'écorce prend rapidement feu.
La bûche de nuit est quant à elle constituée d'écorces de bois comprimé, notamment du chêne et des résineux, auxquelles on ajoute un peu de sciure de bois. Ces deux éléments solidement comprimés ensemble génèrent une combustion plus lente. La chaleur est certes moins intense, mais plus homogène.
Le noisetier fournit un bois facile à tailler, flexible et résistant, utilisé autrefois en vannerie, en tonnellerie et pour fabriquer des cannes. Les sourciers utilisent des baguettes de noisetier (aussi appelé coudrier) pour détecter la présence de l'eau.
Le frêne, un bois dense, idéal pour le chauffage
A défaut d'être utilisé dans ces différentes applications, le frêne est également un excellent bois de chauffage. Classé G1, comme le chêne ou le hêtre, il s'agit d'un bois très dense, qui brûlera donc longtemps en produisant beaucoup de chaleur.
L'acacia, un bois mi-dur
Comme les arbres fruitiers, il brûle donc plus rapidement que du hêtre ou du chêne, mais produit tout de même une chaleur appréciable, sans encrasser votre installation.
Le cerisier, un feuillu mi-dur
Comme tous les arbres fruitiers, il fait donc partie du groupe G2, celui des feuillus mi-durs. Cela signifie que son bois, utilisé comme combustible, produira une belle chaleur.
Bien au au contraire : il est impératif d'éviter que le bois soit constamment mouillé par la pluie. Le risque est alors non seulement de rallonger la durée de séchage, mais aussi de voir de la moisissure apparaître sur les bûches, rendant leur combustion quasiment impossible.
Fermez le clapet (ou la bouche d'aération), situé soit sur le poêle, soit dans le tuyau de poêle, pour réduire la quantité d'oxygène disponible pour le bois qui brûle. Cela signifie que le bois ne brûlera pas aussi fort, mais qu'il brûlera plus lentement, permettant ainsi à votre feu de durer toute la nuit.
Combustible […] En règle générale, le temps de séchage du bois de chauffage va de 1,5 an à 3 ans. Cette durée varie en fonction de divers facteurs : l'essence, la densité, la taille du bois, l'agencement du bois dans la zone de stockage et la période d'achat ou de coupe de bois dans votre zone géographique.
Pour l'instant en effet, les prix des grumes restent haut. Le spécialiste des marchés du bois Håkan Ekström notait toutefois que les variations de prix du 4e trimestre 2021 au 1er trimestre 2022 n'ont été que modestes, et ont même été à la baisse en Europe centrale et du Nord.