Nom propre. La Grosse Pomme, c'est à dire la ville de New York.
Une explication apocryphe dit que le terme vient de l'argot jazz : chez les musiciens de jazz, dont beaucoup, dans les années 1920 et 1930, vivaient souvent au jour le jour, les engagements occasionnels étaient parfois appelés des « pommes ». Jouer à New York était considéré comme un « grand moment ».
Fitz Gerald en 1913. Le journaliste affirme avoir entendu ce surnom dans des écuries à la Nouvelle-Orléans : un employé parla de « Big Apple » pour désigner New York. La ville de New York possédait alors les plus grands champs de course des États-Unis et les prix, les Apples, les plus importants.
New York a de nombreux surnoms, parmi lesquels « la Grosse Pomme » (Big Apple), « Gotham », « La ville qui ne dort jamais », « La ville debout », etc.
En 1664, en l'honneur du Duc d'York, futur roi d'Angleterre, le nom de New York entre en pratique. Lorsque les Anglais s'approprient la colonie en 1664, elle est renommée New York, en l'honneur du duc d'York, frère de Charles II, futur roi d'Angleterre sous le nom de Jacques II et comptait entre 7 000 et 10 000 colons.
New York : 12 choses que vous ne savez probablement pas sur la statue de la Liberté C'est l'un des monuments les plus emblématiques des États-Unis et le grand symbole de la ville de New York. Voici 12 anecdotes à découvrir à propos de la statue de la Liberté, la plus célèbre Dame de cuivre au monde !
Son origine, on la doit aux courses de chevaux ! C'est John J. Fitzgerald, un journaliste hippique du New York Morning Telegraph qui a utilisé ces mots pour la 1ère fois en 1921 en écrivant : "La Big Apple, le rêve de tout garçon qui a chevauché un pur-sang et le but de tous les cavaliers. Il n'y a qu'une Big Apple.
Il signifia la capitulation de la ville le 6 septembre 1664 et les Anglais prirent possesion de la ville deux jours plus tard. C'est ainsi que La Nouvelle-Amsterdam changea de nom pour devenir New York, en l'honneur du frère du roi Jacques, le duc d'York.
Les historiens et les érudits savent depuis longtemps que le site de New-York fut découvert non au XVIIe siècle par un Anglais, comme on le croit généralement, mais au XVIe siècle par un Français, et que le lieu où s'élève aujourd'hui la grande cité américaine fut alors baptisé Angoulême en hommage à François Ier. M.
Ainsi, jouer à New York, la plus grande des « pommes », était le rêve ultime pour de nombreux artistes. Une autre théorie, soutenue par Stéphane Bern, raconte que New York doit son surnom de « Big Apple » à un célèbre journaliste sportif américain des années 20 : John J.
New York – Big Apple (La grosse pomme)
Son surnom “Big Apple” est apparu pour la première fois dans le livre de Edward Sandford Martin The Wayfarer of New York, de 1909, puis a par la suite été réutilisé dans des journaux américains et s'est ainsi répandu.
Origine. Cette métaphore désigne historiquement la ville de New York, aux États-Unis, mais pourrait désigner génériquement toute très grande ville. New York est réputée pour avoir une activité intense et permanente, dont les façades lumineuses illuminent la ville en continu.
Loin des courbes féminines et des joues de jongleurs, les traditions veulent aussi que la pomme soit considérée comme le fruit mythique et mystique par excellence, symbole d'immortalité, de sagesse et de pouvoir suprême comme la pomme d'or qui, sous les empereurs romains, représentait le globe terrestre ou le soleil.
De La Nouvelle-Amsterdam à La Nouvelle-York
La naissance de New York se fait pacifiquement : en 1626, Peter Minuit, gouverneur de la colonie, achète l'île de Manhattan aux Indiens. Les premières relations avec les Indiens du coin sont commerciales et inégales.
En feignant de manière convaincante leur stupidité, les hommes de Gotham se sont en effet montrés très sages. En 1807, l'auteur de « La légende de Sleepy Hollow« , Washington Irving, s'est souvenu de cette histoire et a donné le nom de Gotham à la ville de New York pour décrire son propre éclat trompeur.
Si New York, ses habitants et ses visiteurs se souviennent qu'elle portait, entre 1626 et 1664, le nom de Nouvelle Amsterdam, son premier patronyme est, lui, passé aux oubliettes.
Paris peut facilement se parcourir à pied, mais à New York le métro est indispensable. 7 fois plus étendue et 4 fois plus peuplée que sa rivale, la Grosse Pomme est immense !
Dénommée Venetiae en latin, elle est parfois surnommée la « Cité des Doges », la « Sérénissime », la « Reine de l'Adriatique », la « Cité des Eaux », la « Cité des Masques », la « Cité des Ponts » ou encore la « Cité flottante ».
Une puissance économique
Première place boursière au monde (classement GFCI 15), elle abrite les deux plus grandes bourses mondiales, NYSE (New York Stock Exchange) et le NASDAQ. 48 sièges des 500 plus grandes entreprises mondiales se situent à New York. La ville est aussi un haut lieu de l'innovation.
Miel et confitures figurent en bonne place, tout comme les fleurs, les fruits (les fameuses pommes de l'état de New York ont donné son surnom à la ville) et les fromages.
En 1664, les Anglais conquirent la Nouvelle-Amsterdam qui fut rebaptisée « New York » en l'honneur de Jacques, duc d'York et frère du roi Charles II. L'anglicanisme devint la religion officielle de la colonie en 1698. La ville se développa rapidement : en 1700, elle comptait près de 5 000 habitants.
Selon l'artiste, la sculpture est le symbole de la force, du pouvoir et de l'espoir du peuple américain pour le futur. Il incarne les hausses de la bourse : en effet, les taureaux chargent toujours du bas vers le haut. À l'origine, l'expression « bullish » en anglais signifie hausse de la bourse.
Histoire : Les couleurs utilisées dans le drapeau de New York sont les mêmes que ceux utilisés dans l'emblème des Provinces Unies des Pays-Bas, un regroupement de sept provinces qui existaient de 1581 à l'occupation française (1795). Ils ont fondé New Amsterdam, qui deviendra plus tard New York.