On devrait voir arriver sur le marché les premières voitures autonomes pour le grand public en 2020. Il s'agira en réalité de modèles semi-autonomes, dans lesquels le conducteur ne pourra se reposer que de façon ponctuelle, en restant vigilant.
En France, le décret autorisant la conduite autonome de niveau 3, paru au Journal officiel en juillet 2021, prendra effet à partir du 1er septembre 2022. La technologie de conduite autonome répond à une norme internationale qui se structure en cinq niveaux.
Un véhicule autonome est un véhicule (voiture, poids-lourd, navette….) équipé d'un système de pilotage automatique qui lui permet de rouler sans l'intervention d'un être humain dans des conditions réelles de circulation.
Voiture autonome : le fonctionnement
En fait, ces véhicules sont bardés de capteurs : radars, caméras et scanner. C'est ce qui permet à ces voitures d'évaluer une situation, de détecter la présence d'un piéton, la distance à laquelle se trouve un autre véhicule, de connaître la vitesse limite autorisée, etc.
Le décret, paru le 1er juillet 2021, définit la responsabilité du conducteur et des véhicules autonomes lorsqu'intervient un sinistre impliquant un véhicule autonome. A partir de septembre 2022, les voitures autonomes de niveau 3 auront l'autorisation de circuler sur les routes françaises.
Les inconvénients d'une véhicule à boite automatique
Consomme davantage de carburant qu'un véhicule à boite manuelle. Le frein moteur ne peut pas être utilisé ce qui risque d'user les plaquettes de frein plus rapidement. Le prix d'une boite automatique sera toujours plus élevé qu'une boite manuelle.
Les véhicules autonomes sont également vulnérables aux défis de cybersécurité touchant les capteurs physiques, les contrôles et leurs mécanismes de connexion, selon le rapport. Un rapport alarmiste et proche d'un scénario de science-fiction ? La réalité montre au contraire que la situation est alarmante.
L'atout principal de la voiture autonome, est qu'elle garantit en toutes circonstance une meilleure sécurité que la voiture conduite par un humain. En effet, les capteurs ont une vision plus globale, et l'électronique possède une plus grande réactivité que l'humain.
Si les voitures autonomes sont conçues pour détecter les obstacles de l'environnement, elles seront incapables de réagir au signal d'un agent de la circulation, par exemple. Ce problème va donc nécessiter la création d'objets connectés, permettant aux personnels de la route de guider ces véhicules en toute sécurité.
Conduite autonome : c'est en Tesla que les conducteurs ont le plus confiance. Actuellement, seule la conduite autonome de niveau 2 est autorisée. Même si elle utilise l'aide au maintien sur la voie et le régulateur adaptatif de vitesse, celle-ci nécessite de garder ses deux mains sur le volant.
« Pendant la phase de conduite effective, le candidat est placé en situation d'autonomie pendant environ 5 minutes. Cet exercice, qui peut être fractionné, consiste pour le candidat à suivre un itinéraire ou à se rendre vers un endroit préalablement défini par l'expert(e) ».
En France et en Europe, les tests de voitures autonomes de niveau 3 et 4 sont autorisés au cas par cas. D'après le discours d'Emmanuel Macron au salon mondial de l'automobile en 2019, les tests pourront être généralisés en 2022. Les capteurs (caméras, radars, lidars, ultrasons) y sont pour beaucoup.
Le Hyundai NEXO vient de compléter avec succès un test en tant que véhicule autonome de niveau 4. C'est la vraie voiture sans conducteur qui peut fonctionner de manière totalement automatique sur n'importe quelle route et dans n'importe quelles conditions qu'un humain pourrait négocier.
Conçu par Carl Benz en Allemagne, le « Benz Patent Motorwagen » est le premier véhicule autonome, dans l'optique où il n'avait besoin ni d'un l'homme ni d'un animal pour se mouvoir.
La voiture est le moyen de transport individuel le plus polluant et la cause d'une grande partie des rejets de Co2 dans l'atmosphère. La voiture en ville est dans certains cas moins rapide à cause des embouteillages. Ces embouteillages sont la cause de frustration et de stress chez le conducteur.
Les capteurs sont des éléments clés pour rendre un véhicule totalement autonome. La caméra, le radar, les ultrasons et le LiDAR (système de détection et estimation de la distance par la lumière) permettent à un véhicule autonome de visualiser son environnement et de détecter des objets.
Pour faire simple, une voiture autonome est un véhicule dont la conduite est en partie ou complètement automatisée.
Pied sur le frein dans tous les cas. C'est la regle au feu rouge que la boite soit en prise ou non.
Pour une boîte automatique, la fréquence varie d'un constructeur à l'autre : elle peut être tous les 25 000 ou 50 000 kilomètres. Référez-vous à votre carnet d'entretien pour obtenir la préconisation de votre constructeur.
Le sigle N correspond à la position neutre qui est l'équivalent du point mort sur les voitures dotées d'une boîte de vitesses manuelle. Son utilisation permet au moteur de tourner librement sans entraîner un mouvement des roues.
Le constructeur allemand annonce une conduite de niveau 3, c'est-à-dire que le véhicule peut rouler seul, sans nécessiter d'intervention de son conducteur qui n'a même pas à regarder la route. La nouvelle A8 (image Audi). Sur le papier, ce serait donc la voiture de série la plus avancée sur le marché.
Pour contrôler le niveau, tirez la jauge graduée de son emplacement, moteur froid. Au besoin, ajoutez de l'huile en veillant à ce qu'elle soit adaptée aux spécifications de votre moteur, essuyez la jauge avec un chiffon et replacez-la.