L'écoute passive quant à elle signifie que l'auditeur ne réagit pas aux idées de l'orateur mais écoute simplement. Dans ce cas, l'auditeur ne tente pas d'interrompre le locuteur en posant des questions et en commentant les idées présentées.
Dans quelles situations utiliser l'écoute active ? Face à ses interlocuteurs, le formateur aura notamment recours à l'écoute active : quand ils s'expriment de façon peu précise; s'il soupçonne un malaise, par exemple si une personne est fermée ou en retrait, qu'elle semble contrariée.
L'écoute passive, c'est le fait d'écouter distraitement, d'une oreille, sans vraiment se concentrer sur les paroles de notre interlocuteur ni chercher à en approfondir le sens.
Pour cela, il va élaborer un questionnaire dont l'objectif va être de distinguer six types d'attitudes : évaluation-jugement, interprétation, soutien-encouragement, investigation-enquête, suggestion-conseil-ordre, compréhension.
Être centré(e) sur le ressenti de l'autre en allant au-delà des faits ; Voir le problème du point de vue de l'autre ; Se montrer respectueux de ce que l'autre vit ; Et enfin être le miroir de ce qu'il ressent.
Dans un dialogue plus dynamique, l'écoute active consiste à montrer à l'interlocuteur qu'on l'écoute - par son attitude, son regard, son silence lorsque l'autre parle, puis par des reformulations sous forme de questions.
Dans la mesure du possible, éliminer toute distraction et minimiser le bruit ambiant. Proposer une intention à l'élève afin de le motiver à participer avec attention à l'activité d'écoute. Activer les connaissances antérieures de l'élève. Vérifier que l'accent et le débit de la langue parlée sont familiers à l'élève.
L'écoute active consiste donc à comprendre l'interlocuteur sans juger ses arguments. Celui qui pratique l'écoute bienveillante évite les idées préconçues et les interprétations. Il peut utiliser les silences et faire preuve d'empathie. Le prospect peut ainsi se sentir écouté et respecté.
Dans le cas d'entendre, c'était une capacité physique, uniquement avec l'oreille et dans le cas d'écouter, c'est une capacité dite cognitive, donc liée au cerveau, une capacité intellectuelle qui fait que vous cherchez à comprendre et vous cherchez vraiment à percevoir un son.
L'écoute active est une forme optimale d'écoute bienveillante. Initialement développée par le psychologue Carl Rogers, elle permet d'obtenir une interaction idéale, sans jugement et sans préjugé. Elle est très utile dans la relation entre le psychothérapeute et le patient qui se sent libre de s'exprimer librement.
Fausser l'écoute, c'est utiliser des mot-clés, utiliser une bonne gestuelle, reformuler les fins de phrases ou en posant une question.
Le profil narcissique, des personnes qui n'écoutent pas parce qu'elles n'écoutent qu'elles-mêmes. La personnalité narcissique est à l'origine de bon nombre de nos frustrations en matière de communication. Ce sont des profils qui n'écoutent jamais le point de vue des autres.
Une bonne écoute inclut des interactions qui affûtent l'estime de soi. Les personnes attentives aux autres transforment la conversation en une expérience positive pour celui qui parle, ce qui n'est pas le cas en cas de passivité (ou d'attitude critique, bien évidemment).
1. Les bruits. Les bruits sont des perturbations qui peuvent altérer la qualité de la communication, dénaturer le message communiqué, rendre difficilement perceptible l'information ou causer sa perte partielle ou totale.
Les interférences freinent le procédé de communication et sont sources de distorsions, incompréhensions et mauvaises interprétations. Ce sont des barrières à une communication efficace. Plusieurs interférences peuvent survenir aux diverses étapes du processus de communication.
Respecter l'interlocuteur, l'écouter sans le juger, quelle que soit la situation – c'est la base de cette démarche humaniste. Cela implique aussi de savoir respecter le silence, comprendre que le silence est rempli d'émotions qui s'expriment et est nécessaire avant de laisser place aux mots.
L'écoute active, aussi nommée écoute bienveillante, est une technique d'accompagnement développée par le psychologue américain Carl Rogers. Elle permet d'établir un lien profond avec son client et de favoriser un climat d'ouverture et de confiance.