Les créateurs de Black Mirror reviennent sur Netflix avec du jamais vu : Netflix propose un nouveau programme, Chapardeur !, dès ce mardi 22 février.
Nous aurions pu conclure cette sélection par La Chasse qui offre un retournement de situation spectaculaire, mais notre choix s'est finalement porté sur San Junipero qui est probablement l'épisode le plus aimé des fans de Black Mirror.
Les épisodes sont liés par le thème commun de la mise en œuvre d'une technologie dystopique. Le titre « Black Mirror » fait référence aux écrans omniprésents qui nous renvoient notre reflet.
Les raisons sont nombreuses mais l'une d'elles tient de ce "solutionnisme" dans une version un peu moins radicale, le déterminisme de l'innovation. C'est l'idée selon laquelle la société doit se transformer par les nouvelles technologies.
Après de longues semaines d'attente et d'incertitude, l'épisode spécial de "Black Mirror", intitulé "Bandersnatch", est arrivé hier sur Netflix et c'est donc bien une expérience interactive qu'il nous a été donné de vivre. Voilà ce qu'on en a pensé.
Black Mirror, série anthologique dystopique britannique créée par Charlie Brooker et disponible sur Netflix, est une satire des nouvelles technologies dans nos sociétés contemporaines, guidées par les innovations et les écrans.
Une dystopie est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'il soit impossible de lui échapper et dont les dirigeants peuvent exercer une autorité totale et sans contraintes de séparation des pouvoirs, sur des citoyens qui ne peuvent plus exercer leur libre arbitre.
Série en grande partie filmée à Londres, les lieux de tournage de Black Mirror deviennent, à coûp sûr, emblématiques. En pleine découverte de Londres, Cooper traverse un tunnel couvert de graffitis dans Leake Street. Ce passage de 300 mètres fut rendu célèbre par le street artist Banksy en 2008.
Son créateur Charlie Brooker explique pourquoi. Lorsque Netflix récupère les droits de la série Black Mirror auprès de Channel 4, le géant américain a souhaité se démarquer en proposant à chaque nouvelle saison 6 épisodes, contre les 3 habituels.
1. «L'ennemi d'Homer» («Homer's Enemy») - S8E23.
S5E4 : Trompé à plusieurs reprises par le lycéen Scott Tenorman, Cartman tente de prendre sa revanche en concevant des plans de plus en plus alambiqués. L'épisode est souvent considéré comme étant le meilleur par le grand public.
Depuis, l'univers Black Mirror s'est fait assez discret et même Charlie Brooker, créateur du show, avait émis quelques doutes sur la sortie de possibles nouveaux épisodes. Mais que les fans se rassurent, il y aura bien une suite. Variety révèle en effet qu'une nouvelle saison est actuellement en préparation.
l'histoire: Dans un avenir proche, après une nouvelle guerre meurtrière, des soldats sont envoyés dans un village où des infectés appelés "les cafards" à cause de leur sang jugé dangereux pour les humains ont volé de la nourriture. Les militaires traquent alors leurs ennemis jusqu'à une ferme.
Saison 1 (2011)
Car the 100 n'est pas tant l'histoire d'une apocalypse. C'est surtout une série de systèmes organisationnels rencontrés au fur et à mesure des saisons. L'histoire, pour ceux qui ne connaîtraient pas. Près de 100 ans après une apocalypse nucléaire, ce qu'il reste d'humanité est réfugiée dans des stations spatiales.
Quelle est la différence entre utopie et dystopie ? Si la dystopie est une uchronie adoptant une vision pessimiste du monde, dont le but est de dépeindre une société critiquable, l'utopie constitue la démarche totalement inverse.
« La dystopie a un effet cathartique, elle nous aide à nous poser des questions sur le monde qui nous entoure ». Nous nous délectons de ces scénarios catastrophes, car ils nous mettent en face de nos angoisses. Ils nous fascinent autant qu'ils inquiètent.
Une dystopie, également appelée contre-utopie, est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur. Une dystopie peut également être considérée comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie.
L'utopie raconte une société idéale par essence fictive. Mais « fictif » ne signifie pas forcément « impossible ». Et c'est justement à travers ces quelques exemples que nous vous invitons dans le futur idéal de grands utopistes.
Conclusion. Les œuvres de fiction qui transportent dans l'imaginaire touchent un large public, de tous âges, et peuvent permettre de mieux comprendre le monde en remplissant une double mission : « plaire et instruire ».