Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
L'angine de poitrine cause parfois des étourdissements, de la pâleur et de la faiblesse, tandis que la crise cardiaque se manifeste souvent par des nausées ou des vomissements, de la faiblesse, de la fatigue ou de la sudation.
un infarctus du myocarde ou une angine de poitrine ; une embolie pulmonaire ; beaucoup plus rarement, une dissection de l'aorte (fissuration localisée de la paroi de l'aorte) ou une rupture d'un anévrysme de l'aorte ; une péricardite (inflammation de l'enveloppe du cœur)...
Quels sont les symptômes de la douleur intercostale ? Douleur – Le principal symptôme de la névralgie intercostale d'origine mécanique est la douleur prenant origine au niveau d'une vertèbre. Elle peut soit être sous forme de point précis ou irradier le long d'une côte.
Les douleurs intercostales peuvent être en rapport avec les muscles, les nerfs ou les côtes et leurs articulations qui constituent la paroie de la cage thoracique. Mais cettte douleur peut parfois cacher un problème plus grave d'ordre cardiaque ou pulmonaire.
Parce que les brûlures d'estomac provoquent des douleurs thoraciques, il n'est pas surprenant que certaines personnes, en particulier celles à risque de problèmes cardiaques, ne puissent pas faire la différence entre les deux. Ils peuvent craindre que la douleur des brûlures d'estomac soit une crise cardiaque.
Quels sont les symptômes l'infarctus du myocarde ? Il s'agit en général d'une douleur très intense située en plein milieu du thorax (derrière le sternum), produisant une sensation angoissante de serrement, d'oppression évoluant initialement en vague ou, d'emblée, brutale.
Pour l'infarctus du myocarde, le principal signe qui doit alerter est une douleur thoracique en barre, qui serre comme un étau et pèse sur la poitrine. C'est une douleur très forte, qui ne passe pas, avec une irradiation dans le bras gauche, la mâchoire, l'épaule ou le poignet.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Il arrive qu'un second infarctus s'annonce quelques jours ou quelques heures à l'avance : sensation de malaise, fatigue, nausées, problèmes de digestion, par exemple. Dans ce cas, il est important de consulter rapidement son médecin.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Lorsque la fréquence cardiaque est au-dessus de la barre des 100 battements par minute. Une fréquence cardiaque au-dessus de 100 n'est pas signe de bonne santé.
"Il est utile aussi de consulter un cardiologue avant certaines interventions chirurgicales (bilan préopératoire), lors de la reprise du sport après 45 ans chez un homme ou une femme plutôt sédentaire et en cas de pratique sportive intensive (par exemple semi-marathon, marathon)", indique le Pr. Mounier-Vehier.
Les personnes particulièrement anxieuses peuvent plus facilement déclencher une névralgie intercostale. Cela s'explique par le fait que le stress a tendance à contracter anormalement les muscles et donc, en conséquence, à comprimer les nerfs.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
L'angine de poitrine, ou angor, désigne une douleur thoracique qui apparaît généralement pendant un effort ou un stress. Elle survient le plus souvent chez des patients qui présentent une insuffisance coronarienne. Son apparition est favorisée par les facteurs de risque cardiovasculaire.