Votre enfant se sentira congestionné et pourra avoir de la difficulté à respirer par le nez pendant environ une semaine après l'intervention. Pendant cette période, il ne doit pas se moucher, toucher à son nez, se pencher ou soulever des objets lourds, ni participer à une activité qui nécessite beaucoup d'énergie.
Quand le saignement est arrêté, il est fortement conseillé d'éviter de se moucher dans les heures qui suivent pour permettre la coagulation. Si le saignement reprend, mouchez-vous pour retirer les caillots qui sont inefficaces, et recommencez la même opération (pincement du nez) pendant cinq minutes.
La cautérisation (une méthode d'obturation) peut être douloureuse, même sous anesthésie locale, et implique généralement l'utilisation d'un bâtonnet de nitrate d'argent pour obturer un vaisseau sanguin visible à l'intérieur du nez et qui est sujet à rupture.
Une fois le saignement maitrisé, il faut comprimer l'aile du nez en appuyant pendant une dizaine de minutes. Il est ensuite recommandé de se rincer et nettoyer les cavités nasales avec un sérum physiologique, dont la propriété isotonique (similaire aux fluides humains) n'endommage pas la muqueuse.
La cautérisation est utilisée principalement dans le cas où il faut stopper une hémorragie, et notamment l'épistaxis (un saignement de nez), ou pour traiter des cancers. Elle est aussi indiquée, dans certains cas, pour favoriser une meilleure respiration par le nez.
Pour « brûler » les tissus, le médecin, généralement un oto-rhino-laryngologiste (ORL), va appliquer au contact de la muqueuse une solution de nitrate d'argent. Il peut également recourir à l'électro-coagulation.
La cautérisation des vaisseaux du nez
Ce geste est pratiqué en cas de saignement de la tache vasculaire et il consiste à éliminer une partie des vaisseaux sanguins à l'origine du saignement. Il est réservé aux épistaxis peu abondantes, dont l'origine est facile à repérer.
Dans l'idéal, utilisez des onguents nasaux spécifiques, comme Bepanthen® Onguent nasal à base de dexpanthénol, un précurseur de la vitamine B5 (ou provitamine). Le principe actif pénètre dans la muqueuse nasale abîmée, favorise la formation de nouvelles cellules et la restauration de la muqueuse.
Causes de l'épistaxis : coup, infection, tension artérielle…
Ses origines sont néanmoins multiples : la tache vasculaire : située dans la partie antérieure de la cloison nasale, cette zone fragile peut saigner facilement.
s'asseoir (ou position demie-assise) tête fléchie vers l'avant ; se moucher (pour éliminer un caillot qui entretient le saignement par des phénomènes de consommation locale des facteurs de coagulation) ; comprimer en se pinçant le nez pendant au mois dix minutes (temps de saignement).
On utilise de la chaleur (cautérisation) pour « brûler » des vaisseaux sanguins qui passent dans les muqueuses. Celles-ci seront donc moins gonflées de sang. Cela réduit leur taille et libère de l'espace pour le passage de l'air. Sur le coup, l'intervention fait enfler les muqueuses (c'est de l'inflammation ).
Mode d'emploi et posologie du médicament H.E.C. dermique et nasale. La pommade peut être appliquée soit directement sur la surface à traiter, soit à l'aide d'une mèche de gaze à l'intérieur du nez.
La turbinectomie peut être proposée après échec des traitements médicaux et locaux (spray nasal, cortisone, sérum…), lorsque les cornets inférieurs entrainent une obstruction nasale avec à la clef une gêne respiratoire, l'impression d'avoir le nez bouché tout le temps, et parfois des infections à répétition.
Idée largement répandue, le fait de pencher la tête en arrière pour soulager un saignement de nez – ou épistaxis – n'a pourtant rien d'efficace. Certes l'écoulement nasal s'arrêtera… Mais le sang va se répartir dans la gorge ! Avec à la clé un risque d'étouffement.
À la manière d'un filtre, elles piègent aussi les microparticules présentes dans l'air pour protéger nos poumons. En cas d'infection (rhume par exemple), la muqueuse nasale gonfle et la production de mucus (composé à plus de 95% d'eau) augmente pour évacuer un maximum de virus hors de la cavité nasale.
Causes fréquentes
Les causes les plus communes des saignements de nez sont : Traumatisme (comme se moucher et se gratter le nez) Sécheresse de la muqueuse du nez (comme ceci se produit en hiver)
Les causes les plus communes de l'épistaxis sont les atteintes locales de la muqueuse nasale (telles que les infections, les rhinites, le grattage de nez intempestif, des traumatismes, l'utilisation de traitements locaux, l'oxygène au masque qui assèche les muqueuses, les changements de température…).
Pendant une période de fatigue passagère, il est possible de devenir plus enclin au saignement de nez. Cela n'est en aucun cas inquiétant mais peut nous donner une indication sur notre besoin de ralentir, et de favoriser davantage de temps de repos.
Ce qu'il convient de faire
Penchez votre tête en avant pour que le sang s'extériorise, Mouchez-vous (cela n'augmentera pas le débit, bien au contraire, car les caillots entretiennent le saignement), Et pincez la pointe de votre nez entre le pouce et l'index dix minutes, montre en main.
À titre d'exemple, le fait de se curer le nez peut introduire des germes tels que le staphylocoque doré dans notre organisme. Or, les ongles peuvent provoquer des plaies à l'intérieur des narines, ce qui favorise l'accès des germes aux flux sanguin et qui peuvent alors envahir notre organisme.
Face à un cortisol qui ne peut plus agir correctement, l'inflammation des muqueuses et donc le développement des symptômes sont favorisés : place au nez qui coule…
La congestion des sinus, l'écoulement nasal et la pression avec douleur faciale ou maux de tête peuvent indiquer un rhume. Mais si l'écoulement nasal est jaune ou décoloré, cela indique probablement une infection des sinus. Les sinusites chroniques peuvent affecter votre qualité de vie et vous fatiguer.
Le Pycnogénol®, extrait d'écorces de pins maritimes des Landes (Pinus pinaster). Cet extrait soluble de bioflavonoïdes, et plus particulièrement de procyanidines, est désormais parfaitement reconnu pour renforcer les capillaires sanguins. Votre conseil : 50 à 100 mg par jour.
Causes. Un saignement de nez est le plus souvent la conséquence d'une irritation ou d'une sécheresse de la muqueuse nasale. Celle-ci est une fine membrane qui tapisse les cavités nasales et contient de très nombreux petits vaisseaux sanguins fragiles, notamment au niveau de la paroi séparant les deux narines (septum).
Les traitements utérotoniques disponibles comprennent l'oxytocine, la carbétocine, l'ergométrine, le misoprostol, les prostaglandines injectables et des combinaisons de ces médicaments, qui diffèrent en termes d'efficacité et d'effets secondaires.