L'effet du paracétamol débute après 45 minutes. La diminution de la fièvre est progressive sur plusieurs heures (la température baisse en moyenne de 1 °C par heure) mais ne dure que 4 à 6 heures. La fièvre va remonter à la fin de la durée d'action du médicament tant que l'infection responsable de la fièvre persiste.
En cas de température très élevée (comme une température supérieure à 39,5° C) qui ne baisse pas malgré l'administration de paracé- tamol, votre médecin pourra prescrire à votre enfant un médicament à base d'ibuprofène administré deux heures après le paracétamol.
Il n'y a pas vraiment raison de s'inquiéter pour une fièvre légère. Si la fièvre de 38°C est permanente et ne descend pas au bout de 2 jours, il faut néanmoins penser à consulter ou demander conseil à médecin. En dessous de 38,5°C, l'administration d'un médicament n'est pas nécessaire.
On vous préconise tout d'abord de ne pas trop couvrir bébé, l'habiller avec des vêtements légers, ou le laisser en body. Il est également important que sa chambre ne soit pas surchauffée, la température ambiante idéale étant de 18° à 20°C.
Si la fièvre de votre bébé dépasse les 38,5 °C avec au moins un autre symptôme, il est nécessaire de vous présenter en urgence à la clinique ou chez le médecin.
le thermomètre infrarouge : il ne dérange pas bébé, et peut être utile pour surveiller la fièvre, notamment la nuit. Cette prise de température doit néanmoins être vérifiée si le degré s'approche d'une température anormale.
L'utilisation du paracétamol
Son mécanisme d'action dans la douleur et la fièvre est encore mal connu. Il agit pendant environ 4 heures, en une vingtaine de minutes après sa prise. Il est sûr et efficace dans les conditions normales d'utilisation et il peut être pris par les enfants.
Il n'y a pas de raison de réveiller votre demoiselle pour vérifier la température. La fièvre en soi n'est jamais dangereuse, mais une réaction de défense du corps humain contre les infections virales et bactériennes, qui au contraire augmente la vitesse de guérison et même les chances de survie.
Il faut attendre 6 heures entre deux prises de paracétamol
Mais si une forte fièvre ou des douleurs n'ont pas été soulagées lors de la première prise, il est possible de reprendre du paracétamol au bout de 4 heures. Attention toutefois à ne pas dépasser la dose maximale de 4 grammes par 24 heures chez l'adulte.
Or, le phénomène ne survient que lorsque le système immunitaire se met en mode accéléré, à savoir : la nuit, pendant le sommeil. Ce pic nocturne où le système immunitaire carbure et provoque davantage d'inflammations peut pour certains déborder sur les premières heures de la journée.
Le paracétamol, à l'instar de l'ibuprofène par exemple, s'il possède comme lui une action analgésique et anti-pyrétique, n'a pas d'effet en revanche sur la réaction d'inflammation ni sur l'agrégation plaquettaire.
fait plus de 39 °C (102 °F) de fièvre. fait de la fièvre depuis plus de 48 heures. est particulièrement capricieux, difficile ou irritable. est particulièrement somnolent ou léthargique ou ne répond aux bruits ou à la stimulation visuelle.
Cependant, si la fièvre dure plus de 48 à 72 heures, votre enfant devrait être examiné par un médecin. Consultez un médecin ou un professionnel de la santé si : votre enfant est âgé de moins de trois mois. la fièvre dure depuis plus de 48 à 72 heures.
DOLIPRANE 150 mg : Cette présentation est réservée à l'enfant de 8 à 12 kg (environ 6 à 24 mois). Pour les enfants ayant un poids de 8 à 12 kg (environ 6 à 24 mois), la posologie est de un sachet par prise, à renouveler si besoin au bout de 6 heures, sans dépasser 4 sachets par jour.
Les médicaments conseillés pour baisser la fièvre du bébé
Pour faire baisser la température du bébé, on utilise habituellement le paracétamol. Il est aussi possible de recourir à l'ibuprofène et à l'aspirine sauf chez les nourrissons de moins de 3 mois.
Dans ces cas, l'intoxication peut être mortelle. Symptômes : Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures.
Comment administrer un médicament à un bébé
Pour lui donner son médicament, tenez votre bébé dans le creux de votre bras, comme si vous lui donniez à boire. Placez ensuite la seringue orale graduée dans sa bouche en l'orientant vers l'intérieur de sa joue afin d'éviter qu'il s'étouffe avec le liquide.
Le recours au paracétamol peut améliorer le sommeil diminuant la douleur et la température ; en cas de nez bouché quelques gouttes de sérum physiologique avant le coucher l'aideront à dormir.
Il faut comprendre que c'est une réaction normale de défense de l'organisme contre une infection. Il est important de bien savoir comment la mesurer. En elle-même, la fièvre est le plus souvent sans gravité et ne nécessite un traitement que lorsqu'elle dépasse 38°5 C et qu'elle est mal tolérée.
Prévention des convulsions fébriles
Pour prévenir les convulsions fébriles, il faut vérifier la température de votre enfant avec un thermomètre et selon la méthode appropriée pour son âge. La prise de tem- pérature rectale étant généralement la plus appropriée.
Les doses maximales quotidiennes à ne pas dépasser sont de 4 grammes par 24 heures en 4 prises espacées de 6 heures (4 heures minimum). Vous en étiez à 3h30. Ce n'est pas bien grave à condition de ne pas encore en avoir repris 4 ou 6 heures après, car en surdosage ce produit devient très toxique pour le foie.
Par contre le Doliprane au coucher devrait faciliter votre endormissement du fait qu'il peut diminuer la température du corps, condition indispensable à l'apparition du sommeil.
Pour diminuer l'inconfort du rhume, un seul médicament est préconisé, le paracétamol que l'on appelle également acétaminophène (Doliprane®, Tylenol®, Efferalgan®, Dafalgan®, Panadol®, Dolko®, Geluprane®) Ce médicament diminue les maux de tête, le mal de gorge éventuel et fait baisser la fièvre.
Toute perte de connaissance, vomissement, état de somnolence ou de confusion et désorientation après une chute ou une blessure. Présence d'un corps étranger inséré et impossible à enlever dans une partie du corps. Chute ou traumatisme avec suspicion de fracture ou entorse, notamment si l'enfant refuse de marcher.