Synopsis : “Quand manger rend fou” est l'histoire incroyable de ces protéines crapuleuses qui, ayant poussé les scientifiques vers la zone crépusculaire de la microbiologie, confrontent maintenant, au quotidien chacun de nous à un tout nouveau principe d'infection.
Consommer de la viande maigre, de la volaille ou du poisson selon les portions du Guide alimentaire canadien, soit la grosseur de la paume de la main (75g ou 2½ oz). Inclure régulièrement à votre menu des substituts de viandes (lentilles, pois chiches, tofu, haricots rouges, etc.).
D'un point de vue psychologique
Par exemple, si l'alimentation est source de stress, d'anxiété, de souffrance ou de culpabilité, tu imagines bien que ton bien-être et ta santé mentale vont en pâtir. Cela génère de la frustration, de la colère parfois, ou de la tristesse.
De nombreuses études ont fait ressortir un lien entre une alimentation riche en sucres raffinés et une diminution de la fonction cérébrale, ainsi qu'une aggravation des symptômes des troubles de l'humeur, comme la dépression.
Les troubles alimentaires sont des affections complexes qui peuvent se manifester en bas âge. Il existe quatre types de troubles alimentaires médicalement définis : l'anorexie mentale, la boulimie mentale, l'hyperphagie boulimique (aussi appelée frénésie alimentaire) et les troubles alimentaires non spécifiés.
Si l'on connaît depuis longtemps les conséquences de l'alimentation sur notre santé physique, des chercheurs en neuro-nutrition ont récemment révélé que notre état mental est lui aussi influencé par ce que nous mangeons, et ce dès la gestation.
Plus de deux personnes sur trois atteintes de psychose dans le monde ne bénéficient pas de soins de santé mentale spécialisés. Il existe plusieurs possibilités de prise en charge efficace de la schizophrénie et au moins un patient sur trois pourra se rétablir complètement.
La médecine traditionnelle chinoise (MTC) est utilisée pour traiter les problèmes de santé mentale, y compris la schizophrénie, depuis plus de 2000ans. Les herbes chinoises pourraient également avoir des propriétés antipsychotiques lorsqu'elles sont utilisées dans un contexte biomédical occidental.
Elle débute par des symptômes atténués, souvent peu spécifiques, associés à des difficultés cognitives. Ces symptômes annonciateurs, ou « prodromiques », correspondent à un état mental à risque d'évolution vers un trouble psychotique.
Dans leurs hallucinations et leurs délires, les patients schizophrènes semblent parfois attribuer à un autre leurs actes, leurs pensées, leur « voix intérieure ». Cette dissolution de la conscience de soi résulterait d'un trouble de l'empathie, capacité de ressentir ce que les autres éprouvent.
Les troubles bipolaires peuvent être épisodiques et liés au rythme de vie alors que la schizophrénie diagnostiquée est un état récurrent aux multiples facteurs complexes.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
Cette maladie ne touche pas l'intelligence proprement dite de la personne. Cette maladie affecte la pensée, les sentiments, les émotions tout comme la perception et les comportements et la capacité de raisonnement ou de concentration. Toutes les fonctions ne sont cependant pas perturbées au même moment.
Les effets de ce traitement se maintiennent au cours des années. Parfois, on observe une amélioration après l'âge de 40 ans qui permet de diminuer le traitement, voire de le supprimer progressivement. Sans traitement, la maladie s'aggrave souvent.
Les pulsions alimentaires peuvent survenir suite à des régimes restrictifs. En effet, les interdits entraînent de la frustration qui génère ensuite un sentiment de perte de contrôle sur l'alimentation et donc une augmentation de l'appétit et une envie de manger en plus grande quantité.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. » En ajoutant que l'orthorexie nerveuse n'est pas reconnue comme une maladie dans le milieu médical.
La néophobie est définie par la réticence à goûter un aliment nouveau, mais elle se manifeste aussi par une certaine sélectivité avec le refus d'aliments acceptés antérieurement et une restriction du registre alimentaire.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
En phase dépressive, le manque de sommeil pousse le malade encore plus dans ses retranchements et il est encore moins actif. Son désintérêt pour tout activité, son inertie sont accentués et il a tendance à dormir plus dans la journée.
Les anomalies du sommeil dans les troubles bipolaires
Ces anomalies existent lors des phases aigues de la maladie, avec la présentation classique d'une insomnie ou d'une hypersomnie au cours des épisodes dépressifs et une diminution du besoin de sommeil sans sensation de fatigue lors des épisodes maniaques.
Bipolarité : des conséquences sur le cerveau à déterminer
Cette pathologie psychiatrique grave se caractérise par des variations disproportionnées de l'humeur. Les épisodes maniaques ou hypomaniaques (agitation, euphorie exagérée) alternent en effet avec des épisodes dépressifs et des moments de rémission.
A l'extrême, ceci peut aller jusqu'à des stéréotypies gestuelles (parole explosive, balancement saccadé du cou) ou des comportements déroutants : éclats de rire dans une situation grave ou, au contraire, pleurs inattendus.