La faute au surmenage ou au manque de sommeil. Par ailleurs, la consommation de certains excitants tels que le café, la nicotine, l'alcool, les boissons énergisantes, mais aussi la déshydratation et certains médicaments comme les antidépresseurs peuvent favoriser l'apparition de troubles du rythme cardiaque.
Un arrêt cardiaque soudain est presque toujours causé par une arythmie cardiaque fatale. La plus fréquente est une anomalie du rythme appelée « fibrillation ventriculaire ». La fibrillation ventriculaire se caractérise par un rythme rapide et chaotique provenant des cavités inférieures du cœur.
Les ratés du cœur, extrasystoles en langage médical, sont des coups supplémentaires très rapprochés que le cœur fait entre deux battements, suivis d'une pause. Ils sont bénins dans 90% des cas, chez des personnes saines, relève François Mach. On en a tous, mais certains ne les sentent pas.
Les symptômes sont très variables. Les extrasystoles peuvent être ressenties comme des palpitations, des sensations de pouls irrégulier, de "choc" dans la poitrine, de sensation de pause trop longue avant le battement cardiaque suivant.
Symptômes. Les extrasystoles passent souvent inaperçues, mais peuvent déclencher parfois une sensation de palpitations (soubresauts ou pause) au niveau de la poitrine ou de spasmes au niveau de l'estomac.
Par ailleurs, si les palpitations apparaissent le soir au coucher, ou la nuit (palpitations nocturnes), elles peuvent impacter la qualité du sommeil, et ainsi provoquer une fatigue physique et une somnolence diurne.
Inspirer par le nez ou par la bouche pendant 5 secondes pour remplir les poumons, puis expirer par la bouche à nouveau pendant 5 secondes pour les vider. À faire pendant 2 à 3 min pour calmer les palpitations (puis plusieurs fois par jour pendant une minute ou deux).
La fibrillation auriculaire se manifeste lorsque l'activité électrique devient irrégulière et cause des contractions rapides et désordonnées des oreillettes. Ces contractions anormales des oreillettes peuvent causer le pompage inefficace du sang dans tout le corps.
Les extrasystoles sont des battements de cœur supplémentaires qui se produisent occasionnellement et ont leur origine dans les oreillettes, parfois aussi dans les ventricules. Comme elles sont suivies d'une pause une peu plus longue que la normale, on les ressent parfois comme un «saut» au cœur, une brève interruption.
Une arythmie correspond à une variation du rythme cardiaque sans raison apparente. Ces variations peuvent être la simple exagération du rythme normal. Lorsque le rythme cardiaque varie sans raison apparente, il s'agit d'un trouble du rythme cardiaque, ou arythmie.
Bien souvent, lorsque les extrasystoles se produisent sur un cœur sain, aucune cause autre que circonstancielle n'est retrouvée. Parfois, elles sont déclenchées par les situations de stress, des émotions intenses, la consommation exagérée d'alcool ou de café, la fatigue, des efforts physiques importants, de la fièvre.
Ressenties comme « un coup dans la poitrine », ces irrégularités du rythme sont appelées « extrasystoles ». Ce sont des contractions prématurées des oreillettes ou des ventricules, le plus souvent suivies d'une période de repos un peu plus longue que la normale.
On parle de tachycardie au-delà de 100 battements par minute. Le stress, l'anxiété, une consommation excessive d'excitants comme le café ou encore un accès de fièvre peuvent expliquer cette accélération du rythme cardiaque. Si le phénomène se produit trop souvent, il faut en parler à son médecin.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
Elles sont souvent bénignes et ne nécessitent pas de traitement. Toutefois, les palpitations peuvent être en lien avec une lésion du cœur (atteinte des valves, épaississement ou dilatation du muscle cardiaque), un rétrécissement des artères nourricières du cœur (les coronaires) ou une hypertension artérielle.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
La fibrillation ventriculaire est la forme d'arythmie la plus dangereuse. Sous cette forme, les ventricules du cœur perdent leur capacité de se contracter, ce qui interrompt la circulation du sang dans le corps et le cerveau.
Aujourd'hui les recommandations françaises, européennes et américaines placent majoritairement l'ablation par radiofréquence ou par cryothérapie en première intention de traitement, car elle seule garantit une guérison définitive de l'arythmie cardiaque et notamment de la fibrillation atriale.
Symptômes. La maladie de Bouveret est un trouble du rythme cardiaque qui provoque une tachycardie importante. Le patient ressent des palpitations intenses, la fréquence cardiaque peut atteindre plus de 180 battements par minute. La crise peut durer quelques minutes ou quelques heures.
Vous pouvez éprouver une toux persistante ou une respiration sifflante (sifflement dans les poumons ou respiration difficile) en raison de votre insuffisance cardiaque. La respiration sifflante est semblable à l'asthme, mais sa cause diffère dans les cas d'insuffisance cardiaque.
Les palpitations du coeur que l'on ressent dans la poitrine correspondent à ce que les médecins appellent une tachycardie. Selon sa cause, elle peut être régulière ou non, permanente ou non. Sachez reconnaître le type de tachycardie dont vous souffrez pour savoir s'il faut consulter rapidement ou non.
La spasmophilie est une trop grande sensibilité émotionnelle qui se manifeste par une crise subite, regroupant un ensemble de symptômes (vertiges, contracture des doigts, par exemple) qui inquiètent celle ou celui qui en est victime. Pour les psychiatres, la spasmophilie est une manifestation des troubles anxieux.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.