Si votre tendinite au genou est constante (douleur qui persiste plus de deux mois malgré un traitement), l'idéal serait de consulter un médecin. Dans ce cas, une IRM pourrait être prescrite.
L'IRM du genou est particulièrement indiqué : dans les bilans d'entorse pour évaluer les lésions traumatiques, ligamentaires, osseuses ou méniscales. Dans les bilans d'arthrose pour évaluer l'atteinte cartilagineuse et le retentissement osseux et méniscal. pour l'étude des ménisques à la recherche de fissures.
La radiologie standard du genou est l'examen de référence. La réalisation d'images de face et de profil sont souvent accompagnées d'autres clichés recherchant à mieux identifier le pincement articulaire.
Une IRM du genou, c'est quoi ? L'IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) du genou est une technique d'imagerie médicale combinant la radiofréquence et les propriétés électromagnétiques. Elle permet d'observer avec précision les ligaments croisés, les ménisques, le tendon quadricipital et les autres organes du genou.
L'IRM est un examen de deuxième intention, prescrit à distance du traumatisme (10 jours environ) en l'absence de signes de gravité.
Les ligaments
Des lésions ligamentaires peuvent donc être responsables de douleurs du genou en flexion. Elles sont provoquées dans la majorité des cas par des traumatismes. Les ligaments concernés par les douleurs genoux pliés sont les ligaments croisés et les ligaments latéraux.
La radiographie est un examen facilement accessible. Elle permet le plus souvent d'identifier la cause de la douleur au genou sans qu'il soit nécessaire de recourir à une autre imagerie. De plus, l'irradiation liée aux radiographies du genou est très faible, inférieure à l'irradiation naturelle.
Les symptômes de l'arthrose du genou. Le premier symptôme de l'arthrose du genou est la douleur du genou (gonalgie). Cette douleur mécanique apparaît ou s'aggrave quand la personne utilise son articulation (marche, piétinement, port de lourdes charges...) Elle n'est pas continue et elle est soulagée par le repos.
Symptômes, douleur et rougeur de la tendinite au genou
Une faiblesse des tendons du genou qui vous donne plus de mal à bouger le genou ; La sensation d'un craquement dans le genou lorsque vous le mettez en mouvement ; Le gonflement de votre genou avec parfois une rougeur et une sensation de chaleur.
Le diagnostic d'arthrose est le plus souvent facile à poser devant des douleurs mécaniques de l'articulation atteinte chez un patient au-delà de la cinquantaine. Le diagnostic peut être confirmé par une radiographie standard qui montre en général des signes caractéristiques de l'arthrose.
Les ménisques ne sont pas calcifiés comme l'os : ils sont donc invisibles sur des radiographies simples. Deux examens peuvent les visualiser : l'un par l'intermédiaire d'un produit de contraste injecté dans le genou : L'ARTHROSCANNER.
L'arthrose s'accompagne volontiers au cours de l'évolution d'un épanchement articulaire fluctuant, bien visualisable en IRM, grâce à l'association des différentes séquences décrites pour le cartilage. C'est l'une des rares structures que l'on visualise aussi bien à l'ultrason qu'à l'IRM dans la maladie arthrosique.
une IRM du genou : cet examen précise le type de lésion méniscale et l'état des ligaments du genou et des cartilages articulaires.
Intérêt et anomalies à rechercher :
Tendinopathie / ténosynovite du tendon réfléchi du muscle semi-membraneux. Entorse du ligament collatéral médial (rupture, désinsertion) Dépistage éventuel d'une lésion méniscale médiale +/- kyste méniscal. Epanchement intra-articulaire.
Le creux poplité : se situe à l'arrière du genou. Cette zone est à masser avec douceur, un toucher trop appuyé est inadéquat en raison de la présence d'un dense réseau veineux et de ligaments.
L'activité physique agit de manière bénéfique sur l'arthrose. Néanmoins, en ce qui concerne le genou (gonarthrose), la marche est utile, mais sans excès.
Elles sont en général localisées dans la zone arthrosique, face interne ou externe du genou, mais parfois aussi sans rapport précis avec la localisation arthrosique notamment au niveau de la partie postérieure du genou (appeler creux poplité).
La position accroupie, ou en "W", ainsi que la montée répétée des escaliers, ou le port de talons hauts, peuvent également déclencher ce syndrome douloureux. Ces différentes postures sont à l'origine d'un dysfonctionnement articulaire ou d'un déséquilibre musculaire qui font pression sur la rotule.
Quand ces bulles éclatent, on entend un claquement, on appelle cela la cavitation. C'est un phénomène normal, qui s'estompent après plusieurs flexions par exemple. Pour éviter les accidents ou les douleurs, il faut faire de l'exercice.
En général, le patient se présente avec une prescription d'IRM, remise soit par son médecin généraliste soit par un spécialiste.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.