Un choc électrique externe peut être utilisé en cas d'urgence, par exemple en cas de fibrillation ventriculaire, qui rend le cœur incapable de se contracter, première cause d'arrêt cardiaque.
Le choc électrique externe est une procédure médicale qui rétablit un rythme cardiaque normal. Il est pratiqué chez les personnes présentant certains types de battements cardiaques anormaux (arythmies). La cardioversion se fait généralement en envoyant des décharges électriques à votre cœur.
Pourquoi l'effectue-t-on? La plupart des cardioversions électives sont exécutées afin de traiter la fibrillation auriculaire, trouble du rythme des cavités supérieures (oreillettes) du cœur.
Récupération après la cardioversion
Vous resterez dans la même salle jusqu'à ce que vous soyez tout à fait éveillé. On vérifiera de près votre cœur et vos signes vitaux. L'infirmière surveillera régulièrement votre respiration, votre tension artérielle et votre pouls. On vous fera un électrocardiogramme (ECG).
Essoufflement. Pâleur, sueur et faiblesse générale. Nausées, vomissements et parfois indigestion. Peur et anxiété.
Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
La cardioversion, ou choc électrique externe, est un acte médical qui consiste à faire passer de manière brève et volontaire un courant électrique dans le cœur afin de rétablir un rythme cardiaque normal (sinusal) chez les patients qui présentent un rythme trop rapide (tachycardie).
La cardioversion électrique se déroule sous anesthésie générale brève, de quelques minutes, en respiration spontanée. De ce fait le patient doit avoir rencontré l'anesthésiste en consultation pré anesthésiste au moins 48 heures avant l'intervention.
La fibrillation auriculaire (FA, ou fibrillation atriale) est une forme d'irrégularité du rythme cardiaque (arythmie) qui résulte d'une perturbation des signaux électriques du cœur. La fibrillation auriculaire est le type le plus courant d'arythmie et affecte environ 200 000 personnes au pays.
Bien que la majorité des arythmies ne se guérissent pas, il est possible de les maîtriser avec un traitement adéquat. Le choix du traitement dépendra de plusieurs facteurs, dont le type d'arythmie et les symptômes associés.
Symptômes d'arythmies
Une grande fatigue (chronique) qui persiste même après le repos est un premier symptôme. L'essoufflement et des étourdissements peuvent survenir ainsi qu'une perte de conscience dans certains cas. Ces symptômes sont typiques à la bradycardie.
Un choc peut perturber le système nerveux
Les nerfs sont des tissus qui offrent une très faible résistance au passage du courant. Une électrisation qui touche les nerfs peut avoir différentes conséquences : douleur, picotements, engourdissement, faiblesse, difficulté à bouger un membre atteint.
L'électrisation peut être responsable d'autres lésions : insuffisance rénale aiguë , lésions de l'appareil respiratoire, lésions digestives (ulcération gastro-intestinale, nécrose...), vasculaires, oculaires.
Avant la délivrance des chocs, une brève anesthésie générale est effectuée pour que vous ne ressentiez pas la douleur que provoque le coup sur la peau du thorax ; Cette décharge d'énergie fait bondir le cœur, interrompt la fibrillation auriculaire et rétablit le rythme cardiaque normal.
La méthode la plus efficace reste l'application d'un choc électrique externe (via un défibrillateur). La défibrillation consiste à faire passer brièvement un courant électrique dans le coeur afin de restaurer le rythme cardiaque normal.
les antiarythmiques dits stabilisants de membrane, les bêta-bloquants (qui ralentissent et renforcent les contractions du cœur), l'amiodarone (une substance iodée qui agit sur les troubles du rythme ventriculaire et supraventriculaire), les inhibiteurs calciques.
Aujourd'hui les recommandations françaises, européennes et américaines placent majoritairement l'ablation par radiofréquence ou par cryothérapie en première intention de traitement, car elle seule garantit une guérison définitive de l'arythmie cardiaque et notamment de la fibrillation atriale.
évitez le surpoids ; privilégiez une alimentation équilibrée et modérez votre consommation d'alcool et de café qui sont des excitants cardiaques ; pratiquez une activité physique régulière en éviter le sport excessif notamment d'endurance qui peut déclencher une fibrillation atriale ou auriculaire.
La cohérence cardiaque en pratique
Pour entrer en cohérence cardiaque, rien de plus simple : il suffit de respirer 6 fois 6 inspirations/expirations par minute (soit un inspir de 5 secondes et un expir de 5 secondes) et de le faire pendant 3 minutes au moins.
Le choc cardiogénique est défini par l'incapacité de la pompe ventriculaire à générer un débit sanguin suffisant permettant aux organes périphériques de subvenir à leurs besoins métaboliques (3, 5). Il associe une baisse du débit cardiaque et des stigmates d'hypoxie tissulaire, en l'absence de signes d'hypovolémie.
On parle d'insuffisance cardiaque lorsque le cœur perd une partie de sa force musculaire et sa capacité de contraction normale ; il ne pompe plus suffisamment de sang pour permettre aux organes de recevoir assez d'oxygène et d'éléments nutritifs, essentiels à leur bon fonctionnement.
Chez les hommes et les femmes, l'inconfort ou la douleur thoracique est le symptôme le plus commun d'une crise cardiaque. Il est toutefois important de connaître les faits suivants : Les signes et symptômes ne sont pas toujours soudains ou graves. Certaines personnes n'éprouvent aucune douleur thoracique.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Pouvez-vous la reproduire en appuyant sur la partie sensible ? Une réponse positive à l'une de ces questions suggère davantage une douleur musculaire. Une douleur d'origine cardiaque est, quant à elle, persistante, peu importe la position ou le type de respiration.