Le sentiment de bonheur (ou pourrait-on dire de joie ?) est causé par des hormones sécrétées dans le cerveau dont l'effet est non seulement de courte durée et mais en plus, certaines personnes sont plus enclines que d'autres à les sécréter. En outre, le bonheur dépend en grande partie de nos attentes.
Le bonheur est un choix, une certaine approche de la vie que l'on prend et dont on doit être conscient. Le bonheur, c'est une question d'être bien dans sa peau, un état où on est en harmonie parfaite avec la vie, avec l'univers, avec tout. C'est un sentiment. Une expérience de bien-être qu'on peut créer soi-même.
La recherche du bonheur semble naturelle à tout homme. Ainsi comme le dit Pascal dans les pensées « Tout les hommes recherchent à être heureux. Cela est sans exceptions, quelques différents moyens qu'ils y emploient ».
On ne doit pas tout faire pour être heureux
En effet, si, comme son étymologie l'indique, le bonheur ne dépend pas de nous, s'il ne dépend pas de nos efforts ni de notre volonté, mais du hasard et de la chance, alors tout ce que nous ferions en vue de l'obtenir serait vain.
A-t-on le devoir d'être heureux ? A priori, le devoir implique une obéissance à la loi morale qui peut contredire les aspirations propres au bonheur. Pourtant, être heureux apparaît comme une exigence que l'on peut avoir envers soi-même.
Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L'être humain heureux accomplit les objectifs qu'il s'est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même. Le bonheur est donc ancré dans l'individu, dans ses projets et ses représentations.
Il peut exister diverses causes à cette humeur changeante. Ces causes peuvent être actuelles (un changement récent dans votre rythme de vie, un évènement relatif à la vie de famille ou au travail), mais elles peuvent également être plus anciennes et resurgir aujourd'hui de façon inconsciente.
Selon Martin Seligman, il existerait trois chemins pour accéder au bonheur : la vie plaisante, c'est-à-dire, la poursuite des expériences et des émotions positives ; la vie engagée, relative à la poursuite de l'engagement ; et la vie signifiante, propre à la poursuite du sens.
Aujourd'hui, les dictionnaires signalent les deux graphies en entrée, mais le Petit Robert (2016) donne « clé » dans tous ses exemples. Certains préfèrent écrire « clef » par coquetterie étymologique. Et puis, en musique, on peut préférer « clef » dont le f » final, en calligraphie, peut faire penser à la clef de sol.
Quand vous êtes heureux, non seulement vous vous réjouissez de vos propres réussites, mais vous savourez également celles des autres. Vous savez que célébrer les victoires des autres vous lie à eux, et que vous y gagnez quelques grammes de bon karma en conservant votre apparence radieuse.
Il n'y a pas de règles pour être heureux. La difficulté est d'abord technique puisqu'il s'agit de maîtriser les moyens empiriques susceptibles de satisfaire nos désirs. On peut alors d'autant plus s'étonner d'entendre ces personnes qui possèdent la plupart des instruments du bonheur (richesse, amour, santé, etc .
Contrairement aux femmes, le travail en général est une grande source de bonheur pour les hommes. Cela est peut être dû au fait qu'ils peuvent utiliser leur capacité à trouver des solutions aux problèmes, au travail.
- de notre nature : d'un côté, tout homme aspire au bonheur (Freud) et de l'autre, notre nature est un des trois obstacles au bonheur (corps voué à la déchéance, à la dissolution). 2. Le bonheur se réduit souvent à une situation : être riche, être en bonne santé.
Le devoir est alors une condition du bonheur.
« Assurer son propre bonheur est un devoir » affirme Kant (Fondements de la métaphysique des mœurs), car l'homme frustré et malheureux est tiraillé par la tentation constante d'enfreindre ses devoirs afin d'apaiser son malheur.
Le devoir s'oppose aux tendances égoïstes de notre nature humaine qui voudrait jouir de la vie sans se soucier d'autrui. Le devoir est par essence social, tandis que le bonheur a une tendance souvent foncièrement individualiste, voilà pourquoi ils semblent si opposés dans certains cas.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Pour rendre une femme heureuse, le combo parfait est à la fois d'être présent en la mettant en tête de liste de vos priorités, tout en lui laissant de l'espace. Montrez-lui que vous avez confiance en elle. Faites de même en lui prouvant qu'elle peut vous faire confiance.