Un esprit plus clair. Après 30 jours sans boire d'alcool, vous pourrez avoir l'impression d'être plus lucide, d'y voir plus clair dans vos idées et d'avoir une meilleure mémoire. La consommation d'alcool peut jouer sur ces facteurs à long terme, et ces effets seront inversés en cessant d'en consommer.
Les effets bénéfiques de l'arrêt de l'alcool
l'arrêt de l'alcool vous aide à dormir beaucoup mieux, à ressentir moins de fatigue, et à récupérer votre énergie ; vous améliorez également votre capacité de concentration, vous êtes plus attentif ; les bienfaits de l'arrêt de l'alcool se voient même sur le visage !
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Les symptômes de sevrage les plus connus sont : tremblements, transpiration, anxiété et nervosité, angoisse, sentiment de «malaise», insomnie, nausées et vomissements. Ces symptômes ne sont pas dangereux en soi et disparaissent habituellement au bout de 7 à 10 jours d'abstinence.
Boire une unité d'alcool de manière quotidienne ferait vieillir notre cerveau de six mois, selon les scientifiques. Ce vieillissement prématuré serait de l'ordre de deux ans, avec une consommation de deux unités quotidiennes.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Malheureusement, l'envie de boire ne disparaitra sans doute jamais complètement, Cela dit, elle s'atténuera avec le temps, déja au bout d'une semaine tu devrais te sentir mieux, Il faut prendre plaisir à accomplir cette décision, car elle en vaut la peine, tu en vaut la peine.
Tenter de quitter l'alcool pour céder à la pression mise par sa conjointe, ses enfants ou ses collègues est voué à l'échec. La guérison démarre le jour où l'on se dit « cette fois, c'est terminé, ce verre c'était le dernier –à vie ». On appelle cela « le déclic« .
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
Cette affection est causée par une infiltration granulomateuse secondaire à une rosacée évoluée. Dans le passé, elle était à tort considérée comme étant la conséquence d'une consommation excessive d'alcool.
Buvez 1,5L à 2L d'eau par jour
Il est donc important de bien boire, à savoir entre 1,5L et 2L d'eau par jour, pour que le foie puisse faire son travail correctement et éliminer les déchets. C'est pour cette raison qu'il est particulièrement important de boire beaucoup d'eau lorsque l'on consomme de l'alcool.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes. Mais d'autres indices peuvent alerter, comme un laisser-aller général : du désordre, des machines à laver en retard, de la nourriture périmée dans le frigo...
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
La dépendance à l'alcool s'installe souvent de manière insidieuse. Cela peut prendre des années avant que la personne qui boit ou son entourage prenne réellement conscience de son existence.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
L'alcool aggrave les problèmes de peau
Il est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. Sans compter la forte teneur en sucre des boissons alcoolisées, qui augmentent le taux de glucose dans notre sang et empêchent les cellules de la peau de bien se régénérer.
Lorsque l'addiction est installée, l'alcoolique boit pour supprimer des émotions qu'il n'est plus capable de gérer. Boire permet de lever ces affects négatifs, mais la boisson n'améliore pas sa situation, et bien souvent ce sera pire après.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.