La décharge hormonale que libère l'orgasme peut provoquer des réactions inattendues, comme des larmes, qui dans ce cas sont généralement l'expression d'une joie très intense. Mais lorsque celles-ci viennent à couler pendant l'acte, elles peuvent être le symptôme d'un véritable mal-être.
Un véritable lâcher-prise
Pendant l'acte sexuel, notre corps se relâche, notre esprit s'apaise. Autrement dit, on s'allège d'un poids. "Les larmes en sont la démonstration. On pleure parce qu'on dépressurise et pleurer continue de nous libérer" poursuit Laurence Siroit, psychologue et sexologue.
Vous avez un coup de blues, une envie de pleurer après le sexe ? Vous êtes peut-être concerné. e par la dysphorie post-coïtale, un état de tristesse, qui survient juste après un rapport sexuel. La sexologue clinicienne Camille Bataillon nous en dit plus sur ce phénomène fréquent mais mal connu.
Du grec 'dysphoros' (qui supporte difficilement), la dysphorie correspond à un « état psychique généralement durable, marqué par la présence de sentiments d'insatisfaction, d'ennui, de mal-être diffus, de goût amer de la vie et de dépression », décrit l'Académie nationale de médecine.
Ces tremblements se produisent après l'orgasme, dans une phase de détente. Voilà une explication possible! Nous vous proposons d'être attentive à la tension de vos muscles pendant le rapport, à la relâcher par moments, à bouger. Vous pourrez ainsi laisser circuler les sensations dans tout le corps.
Ils peuvent être dus par exemple à un manque passager de sucre dans le sang (hypoglycémie), à la fatigue, aux émotions (angoisse, peur, colère...), à un traitement médicamenteux ou à la fièvre. Lorsque l'on a froid aussi, le corps se met à trembler par réflexe.
Après l'orgasme, il est possible de rire. Cette réaction est provoquée par les endorphines, autrement dit les hormones qui ont la capacité de soulager la douleur et d'accroître le plaisir. Parfois les endorphines nous rendent euphorique. C'est notamment le cas après l'orgasme.
Après l'orgasme, il existe une période réfractaire. C'est un moment pendant lequel l'excitation sexuelle est impossible physiquement, un peu comme si l'organisme avait besoin de recharger ses batteries. Ce phénomène existe chez tous les hommes, et la durée de cette période réfractaire augmente avec l'âge.
Tu es une femme incroyable, et je t'aime plus que je ne pourrai jamais l'exprimer. ♥ La maison est partout où tu résides. J'ai hâte de te voir tous les jours car tu calmes les vagues les plus folles de mes rêves. Tu me remplis de tant de compassion et d'amour, je t'aime.
Ce terme anglophone contraction des mots "cry" (pleurer) et "climax" (soit le niveau de jouissance ultime), désigne simplement le fait de fondre en larmes juste après avoir atteint le septième ciel.
Tu es toujours présente pour moi, pour partager mes bonheurs et fêter mes réussites. Tu es également à mes côtés lorsque j'ai besoin de soutien. Tu ne m'abandonnes jamais même quand je suis au plus mal. Je sais que je pourrais toujours compter sur toi et c'est pour cela que je t'aime.
Dans tous les cas, la dysphorie post-coïtale peut arriver à chacun d'entre nous. La communication, au moins avec son partenaire, reste la clé de la guérison.
Les larmes sont un outil de communication, explique Patrick Lemoine. Elles permettent d'exprimer ce qui est vécu et ressenti en soi. Peu "bavards", surtout lorsqu'il s'agit de leurs émotions, les hommes pleurent donc moins "fort". Alors que les femmes pleurent pour dire quelque chose à l'autre, eux pleurent "pour eux".
S'il ose vous toucher, mettre une main sur votre genou ou toucher votre taille par exemple, il sent le sexe ! À moins qu'il ne soit quelqu'un de très accessible avec tout le monde, ses petites touches signifient qu'il a envie de vous.
L'orgasme : au moment de l'éjaculation, un message sensoriel de plaisir intense et maximal est envoyé au cerveau. Hormone du plaisir, l'endorphine se propage dans tout l'organisme, source de frissons. S'en suit une augmentation de la fréquence cardiaque, de la tension artérielle, les pupilles se dilatent.
Les éternuements pourraient être causés par le tissu érectile présent dans le nez (similaire à celui des organes génitaux), qui s'engorge du fait de l'excitation sexuelle. Concrètement, lors d'un acte sexuel, les tissus du nez gonfleraient et provoqueraient une obstruction nasale.
Le fait de pleurer permet d'évacuer positivement la pression psychique, et ainsi de sauver l'organisme. De la même façon, des personnes réagissent devant certaines situations complexes par un fou-rire, alors qu'elles auraient pu pleurer. C'est fonction de la personnalité des individus et de leur mode d'expression.
Lorsque nous nous embrassons, la fréquence cardiaque augmente et le débit sanguin est positivement impacté. Cela aide à augmenter le niveau d'énergie.
Souvent ces mouvements sont liés au stress, à la fatigue, à une exposition prolongée aux écrans ou encore à l'abus de caféine. Autant d'éléments qui peuvent mettre nos nerfs à l'épreuve et ainsi provoquer des spasmes musculaires involontaires.
Le tremblement essentiel résulte d'une anomalie de communication entre certaines régions du cerveau, notamment le cervelet, le thalamus et le tronc cérébral. La cause du tremblement essentiel est inconnue, mais il a été démontré que, chez certaines personnes, ce trouble est génétique.
La dysphorie (sémantiquement opposée à l'euphorie) est le trouble émotionnel et mental perçu chez un individu insatisfait ou mécontent, et dans certains cas, le trouble caractérisé par l'indifférence concernant son entourage.
Le monde devient merveilleux et lumineux quand je suis avec toi. J'ai besoin d'être avec toi, de vivre et de jouir de notre si bel amour. Sans toi, il n'y a pas d'amour, sans toi, je n'existe pas. Sans toi, le monde est vide et n'a aucun sens, je te demande de rester à mes côtés, car j'aurai toujours besoin de toi.