Est-ce normal ? Rire en dormant est généralement normal et inoffensif. Dans la plupart des cas, le rire pendant le sommeil est une réponse naturelle à quelque chose qui se produit pendant un rêve. Le rêve peut souvent sembler étrange, bizarre ou même pas drôle au réveil.
On peut estimer que le fait de parler en dormant survient lorsque l'on est confronté à un épisode de stress ou un changement important dans son quotidien. Il s'agit peut-être aussi d'un comportement lié au rêve du dormeur. Aucune hypothèse n'a pour l'heure été avérée par la science.
La somniloquie est un trouble faisant partie des parasomnies, c'est le fait de parler en dormant, plus ou moins fortement, allant de simples mots à de longues phrases plus ou moins compréhensibles.
Parler la nuit n'a en fait aucune conséquence sur votre sommeil. “La qualité du sommeil n'est pas détériorée par le fait de parler en dormant. La somniloquie ne réveille pas la personne, le somnambulisme en revanche, oui. Ainsi, on peut parler toute la nuit sans être fatigué le matin”.
Chez les personnes souffrant de troubles du comportement en sommeil paradoxal (TCSP), ces signaux sont perturbés. Ce dernier peut alors être altéré par la survenue de rêves agités, durant lesquels les personnes peuvent crier, donner des coups de poings, de pieds, et se blesser ou blesser un partenaire endormi.
L'agitation nocturne peut avoir une origine psychologique et être liée à une anxiété, des angoisses ou un traumatisme (accident, agression...), ce qui va favoriser le déclenchement de rêves agités ou de cauchemars. La personne qui cauchemarde peut alors se réveiller en pleine nuit et avoir du mal à se rendormir.
Selon les experts, le fait de fermer les paupières permet d'hydrater l'oeil et de protéger sa surface. A l'inverse, lorsqu'on dort les yeux ouverts, les yeux s'assèchent et sont susceptibles de s'infecter car ils reçoivent plus de poussières. C'est donc tout simplement un mécanisme de protection de notre corps.
Les terreurs nocturnes sont un trouble du sommeil normal qui apparaît en général quand l'enfant est âgé entre 18 mois et 4 ans. Il est préférable de ne pas réveiller un enfant qui a une terreur nocturne. Il faut toutefois rester à ses côtés afin de s'assurer qu'il ne se blesse pas.
Elle se manifeste par le fait de parler en dormant, de façon périodique ou chronique. La personne atteinte peut dire des mots simples, des phrases complètes, émettre des sons intelligibles, des rires, des pleurs, des chuchotements ou parfois même dire des injures.
Car réveiller brutalement, un somnambule risque de se montrer totalement désorienté. Il peut alors chuter et se faire mal. Il peut aussi devenir nerveux et même se montrer violent.
Se parler à soi-même est lié à la pleine conscience, une pratique très en vogue de nos jours. Selon Sheri McGregor, “cette approche est primordiale parce qu'elle permet non seulement de prendre conscience de ses pensées, mais aussi de la façon dont on les formule intérieurement”.
Pour éviter les perturbations pendant le sommeil et minimiser le bruit de l'extérieur, utilisez les bouchons d'oreilles. Selon la Dr Joëlle Adrien, des modèles sur mesure en silicone sont aujourd'hui en vente. Peu onéreux et très efficaces, ils ne serrent pas trop, ne s'échappent pas et s'adaptent à tous.
Pourquoi l'appelle-t-on « paradoxal » ? C'est parce que durant cette phase, nous dormons très profondément mais montrons paradoxalement des signes d'éveil, comme une activité cérébrale intense.
Cette paralysie, qui génère une grande angoisse, serait due à une irruption du sommeil paradoxal dans l'état de veille: l'atonie musculaire caractéristique du sommeil paradoxal se poursuit bien que le sujet soit parfaitement conscient.
Hallucinations et sensations d'angoisses, la paralysie du sommeil peut parfois prendre des formes terrifiantes. Près de 10 % de la population en aurait déjà souffert, mais le Dr Daniel Neu se veut essentiellement rassurant.
Réveiller un enfant ou un adulte pendant un épisode de terreurs nocturnes n'est pas la meilleure chose à faire, car cela peut augmenter son état de peur et de confusion, et même prolonger l'épisode puisqu'il aura besoin de plus de temps pour se calmer et pour retrouver un sommeil plus calme.
Se concentrer sur le baiser
C'est en effet pour multiplier les sensations du toucher que l'on se priverait de la vue, car la stimulation visuelle réduit la perception tactile. Selon les chercheurs, le cerveau peine à se concentrer sur deux sens à la fois.
Selon les principes de l'Ayur Véda, les pôles nord du corps et de la Terre se repoussent. Cela cause des troubles du sommeil, affecte la circulation sanguine et augmente l'anxiété. Selon ce courant de pensée, dormir la tête au nord perturbe le sommeil et cause des cauchemars à répétition.
D'autres, encore, dorment avec les bras en l'air car elles ne respirent pas aussi bien qu'elles le devraient et le fait de dormir avec les bras au-dessus de la tête est une façon très naturelle d'ouvrir les poumons, facilitant ainsi la respiration.
Couple: vous dormez dans les bras l'un de l'autre.
En réalité, les couples dits « sensoriels » continuent de s'endormir dans cette posture tout au long de leur vie amoureuse. Ils ont besoin de se toucher, et plus il y a de zones de contact entre eux, corps, jambes mélangées, mains liées, plus le courant passe.
En effet, une nuit trop longue annoncerait un risque de développer une démence dans les dix ans, alerte une nouvelle étude publiée dans la revue Neurology. Elle conclut qu'une bonne nuit de sommeil est ce qu'il y a de plus bénéfique pour la santé, à condition de ne pas la prolonger au-delà de 9 heures.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
La meilleure heure pour se coucher et s'endormir ? Entre 22 et 23 heures, assurent des chercheurs. À quelle heure est-il préférable d'aller se coucher ? Entre 22 et 23 heures, répondent des chercheurs de l'université d'Exeter, en Grande-Bretagne.
Le manque de sommeil est un facteur de risque reconnu d'obésité. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, on ne dépense pas beaucoup plus de calories en restant éveillé qu'en dormant. Moins dormir perturbe le métabolisme (c'est-à-dire la façon dont on brûle les calories) et pousse à manger davantage.