L'alcool a un effet vasodilatateur. La dilatation des vaisseaux sanguins au niveau du crâne provoque des maux de tête chez beaucoup de personnes. Le mal de tête peut être aussi causé par la contraction des vaisseaux sanguins qui suit la diminution de l'influence de l'alcool.
Symptômes de l'intolérance à l'alcool
À la consommation de ces produits, la personne ressent des symptômes très variés, associés ou isolés : Nausées, vomissements. Douleurs abdominales, diarrhées. Flush au visage (rougeur subite), bouffées de chaleur, sueurs, sensations thermiques perturbées.
En cas d'alcoolisation chronique
L'éthanol agit sur les fibres nerveuses, au niveau de la gaine de myéline (la graisse formant la gaine des cellules nerveuses), et peut provoquer une atteinte de plusieurs nerfs, appelée polyneuropathie ou polynévrite, qui va toucher les deux membres inférieurs.
Le muscle et le coeur
La consommation modérée d'alcool n'a pas d'effet dommageable à long terme sur le muscle. Toutefois, prise en grande quantité et sur une longue période de temps, l'alcool devient toxique et peut causer des myopathies (maladies du muscle).
Le vin blanc sec contient en moyenne 30 % de plus de soufre que le vin rouge. On peut alors se dire que le vin blanc sec cause plus de maux de tête que le vin rouge.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
L'alcool fait prendre du poids pour plusieurs raisons : les calories de l'alcool, un stockage des graisses par l'organisme, un dérèglement de la satiété et de l'appétit. L'alcool fait grossir pour plusieurs raisons. La première est que c'est un produit très calorique. Chaque gramme d'éthanol contient 7 calories.
Il était déjà bien établi qu'une forte consommation d'alcool pouvait augmenter le risque de souffrir de la goutte. En effet, la transformation de l'alcool dans le corps produit une substance appelée acide urique qui est la principale coupable dans le développement d'une crise de goutte.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
La polynévrite est une atteinte des nerfs périphériques, situés hors du système nerveux central c'est-à-dire hors du cerveau et de la moelle épinière. Elle touche en particulier les pieds et les jambes.
Certaines personnes ne tiennent pas l'alcool. Cela ne dépend pas forcément de la quantité bue. C'est peut-être le signe d'une allergie, communément appelée "intolérance à l'alcool".
Pour limiter aux mieux les problèmes d'articulation, il est peut-être conseillé de proscrire certains types d'alcool. Par exemple, il est conseillé de limiter la consommation de bière, elle augmenterait le risque de gonarthrose et de coxarthrose.
"Lorsque l'on avance en âge, le foie devient moins efficace. Il métabolise ainsi moins bien l'alcool", explique le Pr Mickael Naassila. "Cela peut être accentué par certaines pathologies hépatiques et par la prise de certains médicaments qui peuvent saturer le foie."
Boire beaucoup d'eau (1,5 à 2 litres par jour) pour faire fonctionner le foie et détoxifier l'organisme. Adopter un régime alimentaire équilibré et pauvre en graisses saturées (viandes rouges, fritures, pâtisseries, plats préparés, fromages). Opter pour les huiles végétales, les viandes blanches et le poisson.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Pourtant, boire un verre d'alcool tous les jours augmente le risque de développer certaines maladies, dont certains cancers. Pour limiter ce risque et protéger votre santé, il est recommandé : de ne pas boire plus de 2 verres par jour. de ne pas boire tous les jours de la semaine.
Un ventre qui dégonfle
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
L'alcool, surtout la bière et le vin rouge, de même que les boissons sucrées comme les boissons gazeuses, sont riches en purines. Toutes les sortes d'alcool peuvent déclencher la goutte. Il est donc préférable de s'en tenir à un maximum d'un verre par jour pour les femmes, et de deux verres par jour pour les hommes.
Une banane contient environ 105 calories et est pauvre en sucre mais très riche en vitamines B6, vitamine C, fibres, magnésium, acide folique et potassium ; ce qui est très bénéfique pour les personnes souffrant de la goutte et devrait faire partie de votre alimentation quotidienne.
Le pastis, la vodka, le whisky… augmentent la production de l'acide urique par l'organisme.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Si vous êtes au régime, gardez en tête que la bière, le vin blanc sec, le vin rouge et le champagne sont les boissons les moins caloriques.
Il existe vraiment un lien entre l'affectivité et la compulsion. La plupart des alcooliques ont une intelligence émotionnelle moins développée. Leur réponse aux affects négatifs qui les assaillent est le craving. Le produit toxique, quel qu'il soit, a pour but d'éviter les effets négatifs des émotions.