Les glycémies postprandiales (2h après les repas) ont pour but une correction éventuelle de la glycémie. La mesure de la glycémie au coucher oriente vers une collation en cas de valeur trop basse ou une injection supplémentaire d'insuline rapide en cas de valeur trop élevée.
Chez les personnes sans diabète, la période postprandiale, qui correspond à la phase de digestion et d'absorption des glucides (leur passage dans le sang), s'accompagne d'une augmentation de la glycémie qui va être rapidement compensée par une augmentation importante de l'insuline fabriquée par le pancréas.
L'organisme produit une poussée d'hormones qui commence environ 2 h à 3 h avant l'heure habituelle du réveil, ce qui fait augmenter la glycémie à jeun (avant les repas). Sans l'action de l'insuline nécessaire pour réguler cette augmentation, la glycémie à jeun est élevée tôt le matin (ou à l'aube).
Deux de ces réactions sont stimulées par l'insuline et permettent de diminuer la concentration de sucre dans le sang : Glycolyse : Après un repas, une partie du glucose présent dans le sang est directement utilisé par les cellules pour produire de l'énergie. C'est la glycolyse.
Mesurer la glycémie au bon moment
Habituellement les [GA1] mesures de glycémie peuvent se faire avant les repas, deux heures après les repas, au coucher ou la nuit. Au besoin, vous pouvez aussi mesurer la glycémie hors de ces moments, par exemple si vous pensez faire de l'hypoglycémie (glycémie trop basse).
Même une toute petite quantité de sucre sur les doigts peut fausser votre résultat (par exemple, si vous avez mangé un aliment sucré, comme des cerises, et que vous ne vous êtes pas lavé les mains). Conseil : N'oubliez pas de vous laver les mains avec de l'eau et du savon, même si vos mains semblent propres.
L'eau, cette alliée de toujours
L'eau est essentielle pour les diabétiques comme pour tous. Il est donc recommandé de boire entre 1,5 et 2 litres par jour pour assurer le bon fonctionnement de l'organisme et l'élimination des déchets. Cependant, elle a aussi son rôle à jouer quant au contrôle de la glycémie.
Avant toute vérification, il est nécessaire de connaître vos objectifs glycémiques : à jeun et 2 heures après les repas (post-prandial). Votre médecin déterminera avec vous ces objectifs ainsi que la fréquence de mesure.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
En situation de stress, la glycémie augmente, car le corps se prépare à subir des pressions mentales et physiques. La libération d'adrénaline entraîne une hausse de la glycémie, ce qui, couplé à l'augmentation de la tension artérielle, assure que l'oxygène et le glucose sont transportés à toutes les parties du corps².
Préférez, par exemple, le pain complet, de campagne, aux céréales, pain bis, les biscottes au blé complet… à la baguette de pain blanche qui augmente rapidement la glycémie !
Le taux normal de glycémie à jeun se situe entre 0,70 grammes et 1 gramme de glucose par litre de sang. En-dessous de 0,70g/L, il s'agit d'hypoglycémie. Au-dessus d'1g/L, on parle plutôt d'hyperglycémie. Le diabète se caractérise pas un taux de glycémie supérieur à 1,26g/L.
Les objectifs glycémiques chez le sujet âgé (à partir de 65 ans) en bonne santé, visent une glycémie à jeun entre 0,90 et 1,26 g/L et une HbA1c entre 6,5 et 7,5 %.
Le contrôle de l'hyperglycémie postprandiale est essentiel pour atteindre la valeur cible d'une HbA1c < 7%. Par conséquent, le patient diabétique doit être encouragé à contrôler non seulement la glycémie à jeun mais aussi la glycémie deux heures après les repas (tableau 2).
Habituellement, la norme se situe entre 0.72 et 1.26 g/L (4 à 7 mmol/L).
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Le thé vert est une boisson qui serait capable de faire baisser la glycémie naturellement. Il réduirait le taux de sucre dans le sang et stimulerait le métabolisme. C'est principalement grâce à L'EGCG (un antioxydant de la famille des catéchines) que l'on accorde au thé vert des vertus de brûleur naturel de graisse.
Dans la population française, l'augmentation de prévalence du diabète avec l'âge n'est en fait observée que jusqu'à 75 ans. Au-delà, elle diminue fortement, probablement du fait de l'ex- cès de mortalité des patients diabétiques [4].
une glycémie normale à jeun se situe entre 70 et 110 mg/dl. entre 100 mg/dl et 125 mg/dl à jeun, on parle d'intolérance glucidique ou de "prédiabète" si la glycémie égale ou dépasse les 126 mg/dl à jeun ou 200 mg/dl à n'importe quel moment, on pose un diagnostic de diabète.
Il y a les fruits qui ne font pas tellement monter le taux de sucre mais qui sont riches en fructose. Si vous en consommez des grosses quantités, ce n'est pas bon pour le pancréas et cela entraîne une insulino-résistance. On peut citer le raisin, les cerises, la banane, les mangues…
Le diabète et l'apéritif
Pour ménager votre diabète pendant l'apéritif (surtout si la soirée ne fait que commencer…), vous pouvez par exemple opter pour des légumes crus accompagnés d'une sauce légère au yaourt ou encore pour des en-cas sans glucides (noix et amandes, dés de fromage, olives…)
le diabète et l'obésité! Contrairement à ce que veulent nous faire croire les marques qui produisent des boissons allégées, elles sont loin d'être meilleures pour la santé. Elles favoriseraient même certaines maladies, voire l'obésité…